Mercredi 3 mai 2006 à 4:54

Amis du soir, bonsoir

Bon ,je l'admet, je suis ne suis pas sympa, et j'ai un sale caractere. Mais que faire quaand on souffre et qu'on a mal au point d'en hurler son nom. Je hais les femmes.
Non, c'est faux. Je hais LES femmes. Qu'y puis je, si elle me plait, si elle me fait tripper, si mon ame vibre rien qu'à son idée. Et si c'est une abrutie qui n'arrive qu'à me faire mal.
Et pourtant, je ne suis pa du genre douillet. Dommage d'ailleurs. Ptet que si j'avais l'air de souffrir le martyr, elle s'interesserait à mes tourments. Mais je crois qu'elle s'en fout. Le seul et unique truc qui la branche, c elle, elle, et encore elle. J'en peux plus. Bref, j'en peux plus. Plus je reste, et plus elle me devalorise. J'ai l'impression d'etre une tache, plus le temps passe. C'est désagreabl

Samedi 22 avril 2006 à 3:17

Les gens sont amusants, des fois. 
On leur dit qu'on se sent mal, qu'on deprime. Et eux ils font quoi ? Ils embrayent sur leurs propres problemes. Amusant, hein. Tu appeles quelqu'un pour un peu de reconfort, et tu finis par redevenir la page courrier du coeur de fouillole; Et apres, quand je deviens sadique, personne ne comprends jamais pourkoi. J'en ai marre d'etre sympa. Carrement ras le bol.
Vous deconnez, serieux.
J'en ai ras la casquette de jouer les mecs heureux et enjoués. Ca vous file le cafard ? Mais je m'en bats les couilles severe. C'est ca que vous ne comprenez jamais. Vos vies ne sont q'une perte de temps à mes yeux. Que vous viviez ou  que vous soyez une meurtrissure pourrisante au fond d'une tombe, c'est kif kif bourricot, pour moi. Meme truc. Aucune difference. Vos petites histoires etriquées sont tout au plus pour moi une distraction et encore, meme pa drole. J'en ai marre d'etre un " support ". Allez tous crever. Votre vie, c'est un gachis, pour moi. Tant de mesquineries et de petites bassesses. Tous vos mensonges et vos non dits. Allez tous pourrir en enfer



Samedi 22 avril 2006 à 1:20

Le monde est dur , quelque fois. Ca devient agacant.
J'aimerais changer de vie. Pas que ma vie ne soit pas interessante, ou bien qu'elle soit stressante, ou bien si horrible que ca. C'est peut etre pour ca que c'est si insuportable de deprimer. Je devrais être heureux, non ? J'ai un appart, quasiment une petite amie,  voire plus, j'ne sais rien. Je  suis pa trop moche, en plus ou moins bonne santé, jesuis intellligent. J'aurais mon semestre, meme si fo que je bosse mucho mucho. Je suis pa trop bête, et plutot cool. Et pourtant, ma vie me debecte. J'ai envie de me jeter par la fenetre en esperant qu'il y ait une grosse pique qui sorte du sol à cet instant precis. Mais on ne me fera meme ce plaisir.
J'ai envie de disparaitre. Le monde, c'est la dèche
J'en peux plus. Vraiment plus. Je sais pas cke j'ai. Et personne ne peut m'aider. A qui me confier ? J'ai pa d'ami à ki en parler, ils vont tous me sortir des anneries meme pa digne des grosses têtes.
Pfffffffffff, j'en ai marre des fois. Je suis le soutien de tout le monde, et personne ne peut m'aider. Amusant, pas vrai ? Enfin, pas vraiment, en fait. J'aimerais tellement que ce soit different. Je ne sais dire en quoi. Mais ma vie, elle devient un calvaire


Mardi 11 avril 2006 à 2:45

Amis du soir, bonsoir


Je daigne l'avouer, entre les deux, mon coeur balance . Ou ptet pas. je sais pas. Je ne sais plus

Si on etait intelligent, le choix serait vite fait

A ma gauche,  ADMA, folle, skyzo, cruelle par inadvertance, avec epu de consideration pour moi, maquée avec un mec, mais qui me sort des " je t'aime " toute la journée, au point qu'on pourrait se demander si elle sait vraiment cke ca veut dire, sadique, mais accessoirement, belle, intelligente, douce, drole, et incroyablement sexy, et avec un appetit des plus agreables

A ma droite , Karie, douce, jolie, qui m'aime, qui n'aime que moi, qui me veut. Qui a meme fait l'effort de me demander à sortir avec elle. En plus, elle est cent fois plus libre qu'adma, la preuve, je viens de passer mes 3 derniers week ends avec elle dans mon appartement.

Mais la ou le bat blesse, cest que coté sentiment, adma a une ligne d'avance. Je l'aime. Qu'y puis je ? Non pas que je n'aime pa l'autre, loin de là. Si je l'avais connue avant, je n'aurais meme posé mes yeux sur adma. Seulement, je l'ai fait. Pas de chance,  hein ?    

L'infidelité, mes amis, c'est la pire des tares qui soit. Non pas qu'elle soit dangeureuse. non. En fait, s'il n'y avait des sentiments, cette situation serait idyllique. Deux superbes femmes qui me veulent, toute deux. Une pour la semaine, l'autre pour les week ends. Le plan parfait.
Seulement, voila. J'aime la premiere, et j'adore la deuxieme. Ca devient un ourobouros de merde.
Je hais ma vie, quelques fois


J'aimerais tellement ne pas avoir commencé. Et en meme temps, je ne regrette rien.
J'aimerais tellement pouvoir plaquer adma, pour faire tranquillement un bout de chemin avec karie.
Mais ca non plus, pas possible. Car cela signifierait taire mon coeur. Et ca, je ne peux pas
Life sucks, mes amis. But really

Pourquoi avoir fait cette betise, à la base ? Exellente question , apres tout. Rien ne m'y obligeait. Non, le problmee, c'est que rien ne m'en empechait.
J'etais la, seul , avec une superbe femme qui me voulait, et puis soudain, je me suis posé cette question .............. Pourquoi dire non ? Non pas que ctait ma seule occasion. En fait, entre septembre et mars, j'ai eu plus d'une demi douzaine de cas similaire. Moi, et une femme qui me veut, dans un endroit clos, sans la possiblité d'une filtration. Et pourtant, j'ai toujours dit " non , je suis pris" . Sauf que c'est pa vrai. Je ne suis pa pris. Juste bete. ELLE, elle ne se gene pas. ELLE, elle couche avec lui. Par devoir ou par amour, je n'en sais rien, et pour etre franc, je m'en fiche. Elle me trompe. Je ne fais qu'imiter l'exemple. Et pour etre franc, ca a été la premiere fois que je n'ai pa piqué une crise interieure quand je savais qu'elle etait avec son cretin. Autant apprecier l'instant présent, non ?
C'est  à ce moment précis que je me suis posé cette question bete

Suis je infidele ?

Pour moi, non. Enfin si. Enfin, c compliqué.
Si je me contentais de la version intelligente, je ne suis pas infidele. On ne peut pa etre infidele à quelqu'un qui ne vous a jamais été fidele. Mais pourquoi je me sens aussi mal, alors ? Pourquoi ? J'aimerais tant savoir pourquoi cette douleur sourde me ronge les entrailles. J'ai honte, mal et pourtant, je ne regrette pa . J'etais dans mes droits, dans mes envies.
Et puis, j'en avais vraiment envie. Peut etre voulais je voir si je plaisais encore, si je n'etais pa juste une loque pouvant etre juste une distraction. Qui sait, peut etre voulais reveiller mon honneur de male. Pffffffffffffffff soyons realiste, mon honneur de male, je m'en fous. Je l'ai fait juste par envie subite, c'est tout, nul besoin d'épiloguer. Et puis, elle me plaisait infiniment. Elle est superbe. Et tellement douce. Une perle, ctenfant.

Et maintenant, que faire ?
Exellente question

1) le choix intelligent : Je plaque adma, et je sors avec kissy. Ca pourrait etre interessant, mais j'aurais le sentiment d'etre un cretin

2) le choix suicidaire : je plaque karie, et je sors avec adma. Ca voudrait dire continuer une situation qui me ronge

3) le choix VRAIMENT intelligent : Je plaque les deux et je me fais bucheron à montreal. Reste le probleme du billet

Rahlala, la vie ne me facilite pa vraiment les choses

Mercredi 5 avril 2006 à 0:08

Amis du soir, bonsoir

Il semblerait que j'ai un sale caractere. Bon. Peut etre. Mais il arrive quelques fois ou on perd patience, non ?
Serieusement, quelques fois, j'en ai assez d'etre une " bonne pâte ". J'en ai assez de jouer les béni oui oui. Il faut quelques ofois laisser parler sa nature. Et la mienne, elle est assez agressive, je le crains. En gros, je suis juste un type qui n'aime pas trop qu'on l'embete trop souvent. Et dieu seul sait que jepeux encaisser, mais quelque fois, la coupe deborde. Et il faut avouer que la, elle a salement debordée. J'en ai assez d'etre toujours le perdant. C'est gavant, quelque fois. Je veux bien etre gentil, doux, compréhensif, et tout et tout , mais il arrive tuojours un moment ou il faut dire stop L Et la, c'est mon moment. J'ai encaissé, beaucoup. J'ai accepté, beaucoup. J'ai pardonné, beaucoup. J'ai été comprehensif, beaucoup. Mais si c'est pour jouer les agressives et me sortir des boniments à dix sous, ne t'etonne pas que je t'envoies severement paitre, choupette en sucre. Il arrive des fois ou la cruauté fait du bien. Et là, c'est un des cas. J'ai toujours dit que je ne me mettrais jamais en colere contre elle. Mais quelques fois, fo pa abuser. Je suis exaspété. Demerde toi, choupette. Tu veux mon aide ? Excuse toi, ce que tu ne feras pas. Et ne compte pa sur moi pour le premier pas, je suis pas mere therasa


Jeudi 30 mars 2006 à 19:57

Je  ne sais pas du tout à quel genre d'article tu t'attends, ni si tu t'imagines sincèrement que moi je serais sincère...

Bon je fureter sur le net et je suis tombé sur ça, âmes sensibles s'abstenir:

Susan DaLucci, 22 ans, originaire de la ville de Kittery dans l'état du Maine, se réveille un matin avec un horrible mal au ventre. Elle croit d'abord avoir la diarrhée mais se rend compte que le mal vient du mauvais "trou".Elle trébuche tant bien que mal jusqu'au toilettes. Au moment où elle s'assied sur la cuvette son vagin explose dans un bruit effrayant. Les instants suivants, un liquide visqueux coule de son vagin. Les voisins qui entendent les cris de Susan appellent la police. La police arrive après quelques instants. Ils découvrent Susan évanouie recroquevillée sur le sol de ses toilettes. Un des agents veut relever Susan. Au moment où il soulève doucement sa jambe, une petite bête glisse hors de son vagin. De ses jambes coule une substance verdâtre. L'agent en état de choc, regarde d'un air incrédule la petite bête qui tombe sur le sol : une petite crevette. L'agent sent son estomac se retourner et se retourne vers la cuvette pour vomir. Ce qu'il vit ce jour la, il s'en souvient encore aujourd'hui avec dégoût à chaque fois qu'il se rend aux toilettes. La cuvette des toilettes était remplie de petites crevettes. Si vous croyez avoir entendu le pire, vous vous méprenez ! Susan DaLucci est morte ce jour là, résultat de l'état de choc ainsi que de sa blessure grave à la tête. Elle avait sûrement dû se lever des toilettes pour voir ce qui coulait de ses entrailles. Effrayée, elle avait dû s'évanouir et cogner sa tête sur la cuvette ou sur le sol. Après enquête, la police arriva à ces conclusions : Susan avait acheté un homard vivant au Supermarché quelques jours avant sa mort. Elle voulut utiliser la queue de l'animal pour se satisfaire. Pour accentuer son plaisir elle tint un briquet allume sous la tête de l'animal qui réagît en secouant sa queue avec vivacité. La police a trouvé des cassettes vidéos pornos zoophiles dans sa maison. Le homard fut retrouvé dans la poubelle. La tête du homard était brûlée ; des traces d'ADN de Susan furent retrouvées sur le homard ainsi que quelques poils pubiens. Après examen du homard on constata que celui-ci était rempli d'oeufs. Les médecins pensent que pendant latorture, le homard a dû déverser ses oeufs dans le vagin de Susan. Sachant que les oeufs des crevettes mettent deux jours à éclore, les médecins supposent que le vagin de Susan avait un PH suffisant pour que les oeufs puissent se développer. Les oeufs crevettes du homard sont très petits. Mais pendant leur croissance, ils doublent de taille toutes les dix minutes. En sachant que le homard peut avoir des milliers oeufs, vous pouvez imaginer la souffrance qu'elle a dû endurer. Ce qu'on ne ferait pas pour son petit plaisir

Je sais je suis dégeu, et vache de pas écrire quelque chose de franc pour une fois d'être moi...mais c'est si facile de se cacher derrière tout un tas de trucs sans véritables significations.J'écoute Macy Gray je me trémousse parfois c'est marant à voir.Pour t'avouer quelque chose je trouve que tu as déconné grave en ne venant pas à Paris cette année...Vraiment c'est ce qui s'appelle jouer dans le travail.

J'y pense, mon soleil me manque, comme pourrait me manquer les pommes lianes...je ne pense qu'avec mon estomac...c'est afligeant.

Tu veux savoir à quoi je pense juste now, ben à mon future apart: un lieu où on aimera rester pour lire des BD, manger des tagliatelles/cabillau, ou même écouter un album de jazz...Un lieu où j'ai l'intention de mettre un peu de couleur, c'est pourquoi la prochaine fois que je pars à la République Dominaicaine c'est à dire au mois d'Aout ben je pense ramener de là bas des natif Haïtiens...Je parle pour ne rien dire c'est ma spécialité.

Tu sais si je l'aime autant c'est parce que il c'est réaliser ce que j'appelle le moment unique: tu sais quand tu te dis mais merde, j'ai en face de moi Ze personne.Et du coup je réfléchis à ce que pourrait être ma vie sans Ze personne et je me dis fade et sans interet...no quand même pas.Mon frangin qui a ce petit coté lucide des mineurs, m'a sorti un truc hier: les femmes espèrent toutes faire changer leur homme,et lui le mec il espère qu'elle ne changera jamais.En cela, je réfléchis comme un mec, je ne veux pas changer la personne avec qui je suis, j'aime indéfiniment plus que tout ceux qui crient je t'aime, moi j'aime à mourir.

bref c'est la vie qui veut ça.

Tu veux savoir à quoi je pense juste now, ben à mon future apart: un lieu où on aimera rester pour lire des BD, manger des tagliatelles/cabillau, ou même écouter un album de jazz...Un lieu où j'ai l'intention de mettre un peu de couleur, c'est pourquoi la prochaine fois que je pars à la République Dominaicaine c'est à dire au mois d'Aout ben je pense ramener de là bas des natif Haïtiens...Je parle pour ne rien dire c'est ma spécialité.


Tu sais si je l'aime autant c'est parce que il c'est réaliser ce que j'appelle le moment unique: tu sais quand tu te dis mais merde, j'ai en face de moi Ze personne.Et du coup je réfléchis à ce que pourrait être ma vie sans Ze personne et je me dis fade et sans interet...no quand même pas.Mon frangin qui a ce petit coté lucide des mineurs, m'a sorti un truc hier: les femmes espèrent toutes faire changer leur homme,et lui le mec il espère qu'elle ne changera jamais.En cela, je réfléchis comme un mec, je ne veux pas changer la personne avec qui je suis, j'aime indéfiniment plus que tout ceux qui crient je t'aime, moi j'aime à mourir.


bref c'est la vie qui veut ça.

Dimanche 19 mars 2006 à 16:39

J'ai envie de lui faire mal. Je pourrais mentir, raconter des bobards, dire que ca va, faire comme si de rien etait. Mais ca ne serait pas vraiment credible pour les personnes qui me connaissent. J'ai envie de lui faire mal, de lui faire hurler sa peine comme je voudrais hurler la mienne. Je veux qu'elle pleure, qu'elle crie, qu'elle hurle, qu'elle se griffe, qu'elle se larcere, que son sommeil disparaisse, que ses nuits ne soient que les fantomes de nos instants passés. Je veux qu'elle maudisse son absence de choix. Je veux qu'elle se rende compte de ce qu'elle a perdu. Je hais ce coté de moi qui crame toute velleité de douceur chez moi. Je veux juste qu'elle souffre. Beaucoup. Longtemps. Et atrocement. J'ai tellement d'idées qui me font frissonner. J'aurais presque peur si j'en avais pas tant envie. je veux qu'elle souffre dans sa chair. Je veux qu'elle comprenne que je ne suis pas un jouet. Tellement de moyens. Tellement. Ca pourrait etre amusant. Vais je simplment couper les ponts du jour au lendemain , brutalement, sans crier garre ? Ou vais je lui faire mal à petit feu, lentement, sournoisement ? Vais je lui faire des crasses lourdes et sans concessions ? Ou bien de toutes petites cruautés mais qui  s'ammoncellent ? Vais je la rendre encore plus amoureuse qu'elle n'est encore pour la plaquer sans pudeur ? Ou vais je juste me contentetr de couper litteralement en me prenant une petite amie. Et tout cela ne sont que les version gentilles. J'ai tellement de choses qui se bousculent. Je pourrais lui faire peur. Ou bien tout simplment la detruire moralement , lentement, lentement , si lentement, qu'elle regrette tous les jours de se lever, jusqu'à ce que la vie lui soit insurmontable et qu'au dernier momen, je lui dise que c'est ma faute pour jouir de l'instant ? Tant de possibilités. Je ne sais que choisir. Mais je choisirais, cela est sur. Je veux qu'elle souffre autant qu'elle me fait souffrir. J'en ai assez que ce soit ELLE la victime. C'est elle qui me fais mal, c'est elle qui reste avec lui alors qu'elle me jure son amour tous les matins. C'est elle qui fait l'amour avec lui alors que moi, je lui reste fidele. C'est normal , apres tout, il est l'officiel, je ne suis que l'ombre. Mais l'ombre qu'elle harcele, l'ombre " dont elle ne peux se passer " . Tu parles, faut il que je sois idiot pour gober pareilles inepties. Est ce de ma faute si les autres me paraissent fades, si les autres ne m'interessent pas, si je ne veux pas lui faire de mal. Pardon, ne voulais pas lui faire du mal. Je veux qu'elle souffre. A en hurler. A en mourir. Ca ne sera que justice. Pour 8 mois d'attentes, d'espoir , de souffrances, de mensonges


Dimanche 19 mars 2006 à 16:38

quiet
C'est amusant, la vie. On se dit toujours qu'on pourra supporter certains trucs. Et on se rend compte violement, que c'est faux. Mais fo faire avec , j'imagine. Se contenter d'oublier, de rayer le noeud qu'on a à l'estomac, brider son imagination, ne pas penser à certains, ne pas se souvenir d'autres. Ca la l'air tellement simple quand on en parle. Mais on se rends compte que c'est ridicule. Que ca ronge, que ca tue , et qu'un tournant vient d'ere passer. L'heure de l'eclipse approche, lentement mais surement. Il faut savoir faire des choix. Ou ne pas faire de choix.
Mais je crois que quelque chose s'est brisé, et que je n'ai pa envie de le recoller.
Il faut savoir arreter les frais

L'espoir, c'est vraiment kelke chose de pernitieux. On se met à esperer kelke chose, tout en sachant tres bien que c'est faux. L'automensonge, c kelke chose de litterament stupide. Pourkoi , alors ke je connaissais la reponse, ca me ronge autant ? Je ne saurais dire, mais dire que ca m'agace est quelque de tres tres petit.
Je crois que je ne pourrai plus jamais recommencer

Jeudi 16 mars 2006 à 23:55

Again, again

Encore une journée de merde. J'aurais du m'en douter, remarque, mais bon
Alors, on fait l'etendue des comptes

J'ai completement foiré ma chimie

Je me suis faché avec un imbecile

Je me suis fait embrassé par un thon ( je suis vanné, j'ai pa envei d'etre delicat )

J'ai pa pu retirer mon colis ces enculés de la poste ont un probleme avec les diminutifs

J'ai commandé une mini sdcard à la place d'une micro sdcard , ce qui fait 80€ foutus en bois.


Je sais pa pour vous, hein . Mais aujourd'hui , ce n'est pa un bon jour, pour moi. Mais alors la, vraiment pas. J'en ai marre. Mais vraiment marre. J'en peux plus . Tout ce que je fais tourne à la cata. J'en ai marre d'attendre, d'esperer, pour toujours tout voir finir en eau de boudin. Allez, j'arrete les frais. Je vais recommencer à vivre sur mon nuage. C'est mieux. L'espoir, c'est l'ennemi de la tranquillité. J'en ai assez des plans foireux, des complexes vaseux, des trucs bizarres. Je veux jsute qu'un truc normal m'arrive, pour une fois. Juste pour une fois. J'en ai assez. Cette fois ci, j'arrete les frais. Pour tout. Vraiment pour tout. J'en ai vraiment ras le bol de tous ca. C'est pourri comme situation. Et j'aime pa quand ca sent la vase.

Vivement les vacances de paques. Au moins, je vais vraiment m'amuser, pour une fois. Farniente , sortie et bon ptits plats. Pour une fois que j'ai uen invitée, je vais pa me priver

Mardi 28 février 2006 à 0:11

Bon, piskil fo continuer, an nou ay


Alors, ou en étais je ?
Ah ,oui

- Tu me laisse entrer ou bien tu compte me laisser poiroter longtemps ?
- Je me demande repondiit il en prenant l'air le plus agacé qu'il put trouvé. C'est pas vraiment une heure pour se pointer chez les gens, si t'es pas au courant
Il s'effaca néanmoins pour lui permettre de rentrer
- Alors, continua t'il, tu me dis ce que tu fous chez moi à une heure pareil ou bien tu preferes que j'utilise mes talents de sherlok holmes ?
- Je te laisse deviner, repondit elle , du tac au tac. Meme que si tu gagne , tu auras une recompense
- Mouais, pas confiance, retorqua t'il en essayant de chasser les idées peu orthodoxes qui affluaient à la porte de son esprit . Enfin, bon . A voir tes fringues, tu etais de sortie
- Bon debut , mais insuffisant
- Tu dinais avec un mec , et plutot interessant le mec
- Pourquoi tu dis ca
- Le wonderbra , repondit'il l'air amusé.
- Je vois pas ce que tu veux dire, bredouilla t'elle en croisant maladroitement les bras sur sa poitrine
- Ouais , ouais, ouais. La derniere partie, c'est qu'il t'a planté
- Ah ouais, et comment t'a fait pour croire ca ?
- Facile. Un , tu portes des talons. Deux, tu les as enlevé avant d'etre arrivé dans l'appart. Ca veux dire que tu as marché jusqu'ici. Et aucun mec decent n'aurait laissé une femme alors qu'elle et habillée comme ca avecd un decolleté pigeonant. Trois, si tu n'avais pa été planté , ce n'est pas chez moi que tu serais. C'est de la logique simple. Je me trompe peut etre ? glissa t'il avec un sourire au coin des levres
- Ouais, bon, on va pa epilogué. J'avais rendez vous, il m'a dit qu'il a un imprevu. Il est trop tard, j'aurais pas de metro. Et surtout, j'ai pa envie d'essayer. Donc , ce soir , je dors chez toi.
- Hein ? C'est pas un hotel , je te signale. Attends, et puis tu pourrais demander
- Non ,pas la peine de demander, t'a gagné. Alors, la recompense, c'est moi.
- Tu parler d'un recompense, grommela t'il. Bon, ok, ajouta t'il sur un ton resigné. Prends ma chambre, je me contenterais du canapé. Evite de fouiller partout por favor. Bon, va dormir, j'ai pa que ca à faire, termina t'il en la bombardant sur le lit.
Il se dirigea vers la porte, se retourna, et ajouta
- tu peux prendre une de mes chemises, si ca te branche. J'espere que tu ne ronfle pas trop fort.
Il partit dans un eclat de rire en evitant un coussin.
Il avait bien besoin de ca. Enfin bon, ca ne durerrait q'une nuit. Et puis le canapé n'etait pas si incofortable. La preuve, c'est qu'il dormait deja dedans. Il ne s'etait meme pas rendu compte qu'il somnolait. Il se laissait choir dans le canapé en grignotant un cookie. Il esperait qu'elle ne s'incrusterait pas.
Cette fille etait un vrai probleme pour sa santé mentale. Elle balayait toutes ses decisions avec une facilité déconcertante. Il devait dormir. Ctait le moyen le plus sur de ne pas se prendre la tete. Il se recroquevilla sur le canapé et s'ssoupi lentement.
Malheureusement, fortune est pa sympa
Il dormait depuis un moment quand soudain un grands fracas l'eveilla en sursaut. Mais qu'est ce qui se passait encore ? Un tremblement de terre ? Un coup de mortier ?
Il se precipita vers la cuisine, en choppant un poignard de deco qui etait accroché contre un mur. Il s'approcha en catimini , et degaina le poignard, en esperant qu'il n'aurait pa trop de probleme. Il franchit la porte à toute vitesse en criant ....... et tombant sur elle en train de faire à manger
- BAKA !!!!!!!!!! Ca va pas de faire un boucan pareil à 3 h du mat ??????
- Arrete de raler , tu veux ? J'avais faim, et y a meme pas un bout de pain chez toi
- Mais .............
- Tais toi , et prends ca
Elle lui colla une assiete de pates entre les doigts, et il devait l'avouer, ca sentait bon . En plus, il n'avait rien mangé depuis des jours, et honnetement, il mourrait de faim. Alors, il pris une fourchette, et commenca à picorer dans l'assiette. Qu'est ce que ca pouvait faire du bien. Et elle avait l'air bizarre avec son tablier de travers. Il se demandait eme comment elle avait fait pour arriver à l'attacher toute seule. Il e mit à rire doucement dans son coin. Bah, elle etait une amie avant. Autant eviter de se prendre la tete et la considerer simplement comme une amie, ca allait plus vite non ?
Et il engagea la conversation, avec une assiete de pates , debout au beau milieu de la cuisine avec une femme qu'il avait tenté de fuir depuis presqu'un mois.
Elle avait l'air anormalement detendue. Ca faisait drole d'entendre un rire dans cet appartement. En fait, il ne se rappelait meme plus qu'elle etait la derniere fois qu'il avait bien pu laisser quelqu'un rentrer chez lui. Et elle etait bien la derniere personne qu'il aurait cru.
Et pourtant, ils discuterent de tout et de rien , jusqu'à ce qu'il se rendent compte qu'elle sautillait d'un pied à un autre. Elle devait avoir encore mal , mais elle etait trop fier pour aller s'assoire.
- On va dans le salon ?
Elle sortit de la cuisine en evitant de pousser un soupir de soulagement. Ses pieds etaient dans une etat deplorable. Elle detestait les talons. Mais elle n'avait pas eu le choix. Sinon , ca n'aurait jamais marché Il s'assit sur la moquette , deposant sans tete sur le fauteuil. Ce n'est pas vraiment ce à quoi il s'attendait comme soirée. Ca faisait un moment qu'il s'etait habitué à sa petite routine. Metro boulot dodo, ca n'avait pas que des inconveniants. Ca evitait de se prendre la tete. Mais ca isolait, il ne s'etait pas rendu d'a quel point c'etait vrait . Il se sentait bien comme ca faisait un moment.
Elle se coucha sur la moquette, et ils se mirent tranquillement à discuter. Il se sentait bien. Elle etait bien. C'etait tranquille en somme. Il avait toujours adoré discuter avec elle. Elle etait spécial. Difficil à decrire. Il avait besoin d'o pour se raffraichir les idées. Quand il revint, elle etait à moitié assoupie. C'etait tellement mignon, qu'il ne put s'empecher........................ de lui renverser la bouteille dessus
- Allez , hop , reveille toi, ma moquette, c pa un matelas
Elle lui balanca une chaussure, l'air carrement furibarde , en le qualifiant de jolis noms d'oisieaux que je tairais pour les mineurs qui sont par ici.
Soudain, elle se releva et tenta de lui coller son poing dans l'estomac. Mais il lui attrapa le poignet et la tira contre lui
- Tsssss quelle violence . Tu sais, c pas sexy , une meuf qui boxe à tout va
Pour toute reponse, elle lui projeta son genou la ou un homme n'apprecie pas beaucoup. Mais il bloqua sa jambe avec sa main
Il approcha lentement son visage du sien, et dit lentement, d'une voix presque inaudible
- Ya mieux comme facon de l'utiliser , non
Et il l'embrassa tendrement.




La suite apres, la je suis tchad

Mardi 28 février 2006 à 0:08

Boarf, pa génial
Boarf, pa génial
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Juste une envie de sang, de sueur , de larmes
Je veux sentir la douceur de ce fluide le long de mes doigts
J'aimerais tant pouvoir regouter à l'ivresse de cela
Just me repaitre des souffrances des autres , encore
Mais je ne peux, tout en moi me montre comme je suis las
Las de de toute cette vie insipide, de ses senpiternels choix
Peu importe mes efforts , elle n'a plus de charmes

Juste une envie de cri, de pleurs, de rage
Je veux à nouveau voir la haine dans leurs yeux
Que ne donnerais je pour recuperer ma vie d'antan
Savoir que seul moi comptait, seul moi vivait
Le reste n'etant que des parasites grouillants autours
Mais il semblerait que mon existant ne soit qu'une cage
Une prison, ou bien simplement un cachot branlant
Nul ne peux m'aider et je ne sais comment appeler
Seul restera celui qui a franchit le point de non retour
Juste une envie de nuit, de solitude, de néant
Je me laisse aller à ses sentiments qui me detruisent
Ils m'enferment, me cloisonent dans ma solitude et pourtant
Je reste aupres d'eux et je les assure, les cajolE , les cultive
Je les gardes aupres de moi , car ils me reconfortent
Dans le froid, la plus petite chandelle devient un feu de joie
Je me contente des petits plaisirs , le bonheur m'st refusé
Comment sortir de cette vision qui m'obscurcit ? Cette idée
Elle restera mienne, car moi seul sait quelle bete me ronge
Suis je celui qui me terrifie ou n'est qu'un horrible songe ?
Nul ne sait, car nulle ne la connait, cette horreur viciée
Elle m'ensere le coeur et me corrode l'ame, elle tant souillée
Nul ne comprendrais pourkoi je continue à porter mon poids
Ces idées noires qui m'assaillent, tant et tant de cohortes
Quelles autres voies , quels sentiers, quelles alternatives ?
Peut etre suis je simplement une anomalie, d'un autre temps
J'aimerais me laisser partir, disparaitre dans une brise
Qu'on me laisse choisir seul , le choix echéant

Juste une envie de douceur, de calme et de joie
Je voudrais juste pouvoir partir, laisser ce monde qui me hait
Et n'emporter qu'une ideé, une vision, une image incertaine
Celle des deux plus jolies création de cette terre
Peut etre si je partais enfin pour l'ultime, je pourrais voir ce pere
Cet homme qui ne m'a legué autre chose que des legendes
Rien d'autre que des contes et des responsabilités
Je veux juste disparaitre dans un creux de la realité
Mon seul et unique souhait, est ce une si grande demande
Que tous , vous me refusiez ce depart, ce souhait amer
Ce monde , cette vie , pour moi, n'est qu'austere
Rien ne m'est permis, ni joie , ni plaisir, ni meme haine
Rien ne m'a été alloué , rien depuis le jour ou je suis né
Rien, je n'ai aucune raison, aucune foi

Mardi 28 février 2006 à 0:07

Un ti dernier pour la route
Certains revent de vie, moi je reve de son absence
Poids inexorable qui m'enchaine à cette terre
Je ne veux plus me battre, quel interet apres tout ?
Je ne serais qu'un eternel perdant face à elle ,
Vu que dame mortis viendra me prendre, tot ou tard
Mais pourquoi prends t'elle tant de retard ?
A elle non plus, mon etre deplait ? Suis je donc laid à ce point
Pour que meme la faucheuse me refuse son glacial baiser ?
La vie me pese, me fait mal , me sied mal , m'enferme
Peut etre devrais je chercher mon reconfort ailleurs
Alors pouquoi ne pas m'abandonner à l'eternel sommeil ?
Je regarde mes poignets, freles attaches qui me separe
De mon ultime voyage, peut etre celui qu'il me faut
Sauterais je le pas, dites moi ? Me laisserais je tenter
Par cette fuite en avant ? Le chant de la mort glisse
A mes oreilles comme le tendre cri des sirenes
point de mat pour me retenir, juste la peur
Et pourtant, elle m'attire, le creux de ses bras morbides
M'obsede nuit et jour, appelant sans cesse mes baisers
Je veux m'en aller , quitter à jamais cette vie insipide
Mes tourments me laisseront peut etre enfin la paix
Car c'est elle que je desire, elle que je pourchasse
Mais egalement , elle qui me fuit . Pourquoi , fortuna ?
Pourquoi ne veux tu pas me laisser ma chance ?
O toi destinée, je veux tenter ma roue du destin
Enfer, paradis ,purgatoire , neant ? Quelle sera donc
Mon ultime destination ? Reponds, o toi, regard envoutant
Je te vois roder autours de moi, creature glaciale d'entre les pales
Le degout me submerge, sentiment ecoeurant, mais si plein
Je veux juste oublier, cesser de penser . Quelle meilleur abri
Que le froid ultime de la mort ?

Mardi 28 février 2006 à 0:06

Ma peine, o toi douleur qui m'englobe, me devore
Car la nuit m'appele , douce compagne
Amante qui seule m'ouvrent ses bras
Sans jamais rien me demander. Ni fidelité,
Ni complaisance, ni delicatesse, ni foi
Tu m'es infidele, o nuit, mais pourtant , tu reste mienne
Car tu sais que seul moi t'aime autant
Seule moi te desire autant , o toi artemis
Tu te sais mienne, et pourtant, tu me fuis. Pourkoi ?
Appolo, ton ennemi et ame soeur serait il si jaloux ?
Ou bien mon culte, à moi, pauvre mortel serait il si fade ?
Apres tout , que puis je offrir à celle qui a tout ?
Toi , dont le nom est scandé, dont la presence est reclamée
Que t'importe qu'un pauvre here, une petite ame te quemande?
Apres tout, tu es celle que tout le monde convoite , alors
Pourquoi te perdrais tu avec l'un des pauvres qui te guete ?
Tu es l'adulée , et moi, je ne suis qu'un adulateur
Alors , tu resteras , et je te comtemplerais , encore
Refermant mes main en coupelle, esperant ceuillir un peu
De cette essence si delicieuse, afin qu'au moins un temps
Tu ne sois qu'à moi
Ptite nuit

Mardi 28 février 2006 à 0:06

Encore un, je me sens d'humeur loquace
Je me sens seul, si seul
Et pourtant, je ne cherche compagnie
Je ne veux pas qu'on me pleure, quel interet ?
Plaisir et douleur se melent en moi sanc cesse
Dans le simulacre d'existance qu'est la mienne
Ca m'amuse pourtant, mais ca me detruit
Je l'ai choisie, telle est ma vie
Peut etre mon choix n'est pas la bon
Et meme ? Cela reste le mien, alors
Que m'importe vos sentiments, à vous
Vous, qui vivez sans larmes, vous dont la vie
N'est qu'un plaisir, vous qui vous prelassez
Qu'en aurais-je à faire de votre avis ?
Je resterais seul , car tel est moi.
Et moi ne fera pas d'autre choix
Ma vie m'horripile, pire me repugne
Mais elle reste mienne, et seulement mienne
Je veux qu'on m'oublie , qu'on me laisse savouerer
Cette souffrance inassouvie dans le silence

Mardi 28 février 2006 à 0:05

J'attends
Elle court le long de mes veines
Sans cesse , aiguillant ma peine
Puissance ecoeurante,
et pourtant, si tentante
J'aimerais me laisser porter
Mais je ne peux me laisser aller
Langue de serpent, oeil de cobra
Je merite pas pareille aura

Alors j'attends, j'attends
Et dieu seul sait que pourtant
Ca me ronge, vipere incandescente
Pourquoi ,sans cesse , me hante
Cette vision , si nette
Sur cette idée, je m'entete
Cela l'amuse ,mais ca me desespere
Pourtant c'est ainsi, que faire ?

Alors j'attends, j'attends
Et dieu seul sait que pourtant
J'aimerais pour toujours oublier
Mais elle et moi, à jamais sommes liés
Alors cette vision fugace à jamais
Et poursuit. Pourquoi me pamer ?
Je savais deja à quoi m'en tenir
Mais pourquoi cela rime avec punir ?

Alors J'attends, j'attends
Et dieu seul sait quand
Mon cauchemard se terminera
Mais savoir comment pour moi
Tout cela prendra fin
Quel sera mon chemin
Seul cela est mon but
En attendant

Mardi 28 février 2006 à 0:04

again
De sang et d'or , toutes mes pensées
sans doutes , e là, sont elles tirées
Rah, quel plaisir que d'imaginer
Ces peaux tendues sans cesse par l'effort
Ces coeurs battants, comme sous un sort
Ces images me plaisent, je m'en delecte
Car, ici et là, elle m'assaillent, sans cesse
Fuyez, idées, mots, visions qui me blessent
Je hais me sentir prisonnier de ces hires infectes
Laissez moi, liberz moi ! Je vous abhores
Vous, images qui sans me mutiler, ecrasezmon corps
Pourquoi ne m'abandonnez vous, moi l'homme miné
Tenez vous tant que ca à le faire empirer ?
Ce mal qui sans cesse, un cri , me laissant haracé

Mardi 28 février 2006 à 0:04

Me poursuivras tu encore, toi l'ame tourmentée ?
Ou me liberera tu , enfin, moi , here errant
Ici et là, sans but , sans attache, sans reves, sans espoirs
Je ne suis qu'une bete traquée, jamais libérée
Toujours poursuivie , inlassablement par son passé
Par son futur. La paix m'est interdite. Ici du moins
Peut etre ailleurs, dans un autre monde,une autre vie
O Fortuna, pourquoi me faire ca à moi ? Cela te ravit ?
De persecuter un etre deja maudit par ses pair ? Ausi loin
Que sa mémoire regarde, o memnir, oiseau harassé
Sans doute aurais tu préféré, d'autres atours, etre paré
Mais seuls ceux la restent, sans cesse me poursuivant chaque soir
Cauchemards éveillés , reves éthérés, tous puisant dans l'abhérant
Alors, Hypnos , o dieu sans pareil, je vous en prie, Arretez !

Vendredi 24 février 2006 à 5:36



Alors, où en étions nous avec les peripéties de notre jeune homme ?
Ah oui. Apres une nuit où lui et son amie ,ont fait ce qu'on passe la nuit sur xxl , il est reparti dans son oiseau de fer, non sans quelques regrets, mais bon, on ne fait pas toujours ce que l'on veux. La vie est cruelle, quelques fois. Mais bon, quand il n'y a plus de choix.
So welcome to paname city , ses parisiens , sa tour effeil et ses merdes sur le trottoir. La routine en somme. Il reprit donc ses habitudes, ses amis, ses études. Mais je crains fort qu'il ne fut plus le meme durant cette periode. Comprenez qu'il est assez dur de se rappeler de ses cours quand on a des images qui dansent devant ses yeux. Et lui, il tenait à ses images. Toutes ses pensées ne tendaient que vers un regard chaviré, des levres gonflées par le desir, et des cheveux eparpillées sur un lit. C assez dur de se replonger dans la psychologie , dans ce cas surtout .
Pourtant, il le tenta. Mais comme tout étudiant avec les idées royalement ailleurs , il se vianda malproprement.
Il s'en foutait royalement, remarquez. Il n'avait choisit cette voix que parce que c'était relativement facile. Rien à voir avec un plaisir quelconque. Alors ca ou autre chose.
Non, il ne pouvait se laisser aller. Il n'allait quand même pas se morfondre dans son coin pour rien. Le meilleur moyen de ne pas se prendre la tête était encore de se noyer dans le probleme. Donc, il fit ce qu'on evite de faire ce cas ci: Il lutina de droite à gauche. Et pourtant, il n'arrivait pas à decrocher ce regard de ses pensées. Mais qu'avait elle bien pu lui faire ? Cela semblait plus à un cauchemar qu'à rellement ,une lubie passagère.
En fin de compte, il cessa toute relation avec qui que ce soit aussi rapidement qu'il avait décider d'exagerer la dose. Il savait tres bien que ca ne serait jamais une solution. Et puis, nul besoin d'une femme pour oublier. Il suffisait qu'il s'occupe l'esprit d'une maniere differente. Et aléatoirement le portefeuille. Il choisit donc le seul truc qu'il avait dit qu'il ne ferait jamais: Il devint infirmier. C'était plutot sympa en fait. Se sentir vraiment utile était un sentiment somme toute assez grisant. Et puis, il se faisait un peu d'argent comme garcon de salle, en attendant de trouver mieux. Il travailla comme un fou pendant des mois, se contentant de sorties entre amis de temps à autre , plus souvent autre qu'autre chose d'ailleurs. Il preferait eviter les gens, pour l'instant. Il ressentait des choses troublantes , et tant qu'il ne saurait pas ce que c'etait, il n'avait pa envie d'approcher quiconque.
Malheureusement, fortuna est plutot cruelle avec les gens qui cherchent à eviter les problemes.
Ses pensées revinrent sur le devant de la scene alors d'une bête soirée chez une de ses meilleures amies. Soirée ou il etait obligé de venir, vu qu'il l'avait evité pendant quasiment un mois. Elle finirait par lui arracher les yeux, et il y tenait encore un petit peu.
Une soirée "tenue decontractée" . Traduction , choisir le truc qui est moins chic que le smoking et plus que le blazer. Pour un homme qui s'habillait de chemises de surfeur, ctait tout de même assez agacant. Il avait tendance à se voir comme un serveur en costume. Finalement, il se contenta d'une veste demesurement longue. Elle se contenterait de ses baskets. C'etait "decontracté" non ?
Il sortit de chez lui , et se dirigea en gromellant vers l'appartement de son amie. Il aimait marcher à travers Paris. Il n'aimait peut etre pas les gens dedans, mais paris, en elle meme , degagait une atmosphere etrange. Surtout ce soir, par cette nuit sans lune . Il se sentait badin, Peut etre finalement qu'une soirée tranquille ne lui ferait pas de mal. C'etait toujours mieux que rien. Apres tout , il n'avait que 21 ans. On ne se terre pas chez soi , à cet age la. Il sonna , se sentant rasseneré, soudainement. Qui sait, il trouverait peut etre quelqu'un avec qui oublier l'espace d'une nuit sa solitude ambiante.
C'etait une fête assez animé; quoiqu'un peu guindé pour lui. Il n'était pas tres social, encore moins quand il fallait parler , et la , on etait vraiment la pour parler. Il se mit quelques trucs à grignoter dans une assiete et se refugia sur le balcon. Qu'est ce qu'il n'aurait pas donné pour etre chez lui .Il s'assit tranquillement sur un transat et comtempla le ciel. Il se demandait ce qu'elle pouvait bien faire à cet instant précis. Mais il ne voulait pas y penser. Rien ne servait de s'imaginer des trucs qui n'arriveraient jamais. Mieux vallait s'accrocher au present, et en profiter. Il se dit qu'il devrait peut etre songer à courtiser quelques demoiselles. Ca ne serait peut etre pas du luxe, apres tout. Il etait sur le point de se lever quand soudain son amie surgit devant lui, le faisant presque sursauter
- Tu etais donc la?!? dit elle sur un ton de reproche
- Ben tu me vois, non? maugrea t-il
- Soit pas vache, j'ai besoin de te presenter quelqu'un , tu verras, elle est super. Tiens, ajouta t'elle,justement elle arrive.
Il se tourna, interessé par la nouvelle catastrophe qu'elle voulait encore lui balancer dans les pattes , quand soudain , il palit, s'etouffant presque d'une bouchee d'aperitif. C'etait impossible. C'etait ELLE. Ctait un cauchemar. Ca pouvait pas etre elle. Un ocean devait les separer. Elle ne pouvait pas arriver. Pas maintenant.
- Alors, elle te plait, lui chuchotta son amie à l'oreille. C'est une vielle amie à moi, ajouta t'elle. Elle debarque parce qu'elle s'est disputé avec ses parents, donc elle a decidé de venir finir ses etudes ici.
Une alarme etait en train de rugir dans sa tete. IL DEVAIT FUIR. Et vite. Mais comment, par où ? Son portable !!!! . Il envoya discretement un message à un ami pour qu'il le rapele et se prepara à faire face à sa nemesis.
- Bonsoir, dit elle avec une voix velouté. Ca faisait longtemps ajouta elle, avec un sourire mutin
- Bonsoir, repondit'il en essayant de d'eviter son regard, et de ne pas chercher une issue avec un regard de bête traquée. Hum, ca fait longtemps que tu es la ?
- Depuis le debut de la soirée. Je n'ai même pas vu quand tu es arrivé.
- La discretion est ma marque de fabrique, non ? Et puis, je n'avais pa envie de me faire remarqué , je n'avais pas vraiment envie de venir en fait, ajouta t'il, en evitant le regard courroucé de son amie. En fait, normalement, j'avais un truc à faire ce soir avec un medecin, mais il ne m'a pa rappelé , donc j'ai cru qu'il avait laissé tombé. Quand j'ai vu ca, je me suis dit " autant venir ".
Il essayait par tout les moyens de ne pas la deshabiller du regard. Il savait que ca ne faisait que ca ne faisait qu'une année grosso modo, mais il avit l'impression que ca faisait des siecles. Elle avait quelque chose de changé , mais il n'aurait pu dire quoi. Il devait partir. Pouquoi ce maudit portable ne sonnait t'il pas ?
- Bon, et bien je vous laisse, lanca son amie. Je prefere vous laisser entre vous .
Elle sortit avec un large sourire, en prenant soin de fermer la fenetre du balcon derriere elle. Il lui garderait un chien de sa chienne, elle et ses fichues manies d'entremeteuses.
Un silence pesant s'installa pendant une minute, quand soudain elle rompit le silence en se mettant à rire
- Tu etais un peu plus causant d'habitude.
- Disons que je suis un peu surpris. Tu etais la derniere personne que je m'attendais à voir ici.
- La vie n'est qu'une somme de peripeties. C'est bien ce que tu m'as dit une fois , non ?
- J'ai dit que la vie est somme de peripetie, pas que je suis une calculette qui les avale. Ca m'arrive d'etre surpris. Mais j'ai vu pire comme surprise ( tu parles )
- Tiens donc. Ce n'est pas ce que l'air terrifié que tu avais sur le visage
- Ah bon ? Et bien ...........
Il fut soudain interrompu par la sonnerie de son portable. Cet imbecile avait pris son temps . Il se precipita dessus, et decrocha à toute vitesse
- Allo ?
Une voix un peu ensommeillée grommella un " qu'est ce que tu veux
- C'est vous professeur , hurla t'il avec la voix la plus terrifié qu'il put reussir.
- Non c'est moi
- Ou ca ? Maintenant ? Mais ecoutez ................ Non ,j'y serais
Il raccorcha prestement, lanca des excuses à la volée , et se precipita vers la sortie en priant pour que son hotesse ne le voit pas . Elle tenterait de le tuer dans la minute.
Il fonca chez lui et ne se sentit reelement en securité qu'àpres avoir mis le verrou.
Il etait lache, il le savait . Mais il ne pouvait faire autrement. Pas maintenant. Il avait presque reussi à se sevrer. C"était pas le moment.
Mais fortuna est cruelle quelques fois.
Elle etait patout ou il etait. A croire qu'elle le suivait à la trace. Soirées, concerts, meme diners entre amis. Rien à faire, elle etait partout. Et à chaque fois, il la fuyait avec une raison encore plus minable que la precedente. Il devait fuir . C'etait une obligation. Il y laisserait sa santé mentale, sinon.
ll s'abrutit par le travail. Et reussit à tenir 2 semaines sans meme lui adresser la parole. Il s'approchait de son but.
La nuit du 31 approchait. Et la fete d'anniversaire de son ami aussi. Pourquoi fallait il qu'elle naisse le soir d'halloween. Enfin bon, ctait son ami, il n'avait pas le choix.
Il aurait donné un bras pour ne pas y aller. Mais elle le lui aurait arraché s'il ne venait pas; donc il fit contre fortune bon coeur. Et s'habilla de facon à etre meconnaissable. Scream avait du bon. Un masque qui prends tout le visage, une cape à cagoule et des rangers. Pour deviner que c'etait lui, il aurait fallu etre devin. Et il avait interet. Il s'occuperait du bar, il n'avait pas envie de se faire draguer. Pas maintenant. Et surtout, il n'avait aucune envie de la voir , elle. Alors, autant jouer sur la carte de la discretion. L'aprehension ne le quitta pas de la nuit. Pourtant, c'etait une bonne soirée. Il avait toujours aimé s'occuper des cocktails. Et preparer des trucs que seul lui pouvait avaler sans probleme. Il revit deux trois amis . Mais elle ne pointa jamais le bout de son nez. Et bizarrement, ca l'inquietait un peu. Ce n'etait pas normal. Il se serait plutot attendu à la voir la à la premiere minute du premier morceau de la sono. Il y avait quelque chose qui clochait. Et il devait en avoir le coeur net.
Donc, il deglutit lentement, et se dirigea vers son amie.
- Ou est elle ?
- Qui ?
- Ta voisine , cretine.
- Qu'est ce qui a ? On est inquiet pour sa meuf ?
- Hahahaha ! Ton humour me laissera toujours pantois. Bon, allez, ou elle est ?
- Je sais pas. Elle est pas venue
- Comment ca, pas venue.
- Elle n'a pa mis les pieds dans mon appart ce soir. C'est mieux ? J'ai essayé de l'appeler , mais ca reponds pas.
Réaction bizarre d'un homme qui cherche à fuir une femme, il traverse paris à pied pour se rendre chez elle ( vous imaginez bien que les fringues, ca a pa aidé. C que c lourd, une faux de 2m , meme en plastok ) Il se fait plein de mauvais films durant tout le trajet. Il s'attends à un choc, une nouvelle grave. Et ce fait ouvrir la porte par un espece de zombie en robe de chambre.
- Laisse moi deviner, la grippe ?
- D'apres toi ? articula t'elle entre 2 quintes de toux. Qu'est ce que tu fais la, demanda t'elle
- Je sais pas. Mais je sais ce que je vais faire. Je vais te coucher, te faire un truc à avaler, et attendre que tu t'endormes. Allez, file dans ton lit
Le ton ne laissant aucune replique, elle clopina jusqu'à son lit, les poumons à demi arrachés. Elle avait vraiment l'air mal en point. Meme lui, il ne pouvait la laisser dans cet etat sans rien faire. Alors , il lui prepara une decoction et pendant qu'elle dormait, rangea un peu son appartement. Qu'elle fouilli ladedans . La femme de menage devait etre morte durant l'ere mezozoique. On aurait dit un vide grenier. Mais on s'y sentais plutot bien.
Il alla lui dire au revoir, mais elle etait encore plus mal en point qu'à son arrivée. Elle etait pâle à faire peur, et elle etait brulante. Il ne pouvait pa la laisser seule. Pas cette nuit, en tout cas. IL passa sa nuit à son chevet, passant des compresses sur son front, et lui racontant des histoires ( vu qu'elle etait dans un etat comateux, je pense que ca lui faisait une belle jambe )
Au matin, elle avait repris quelque couleurs, mais il ne put se decider à partir aussi froidement. Au final, il passa 3 jours dans son appartement, jusqu'à ce qu'elle soit dans un etat plus ou moins satisfaisant. Apres, il decampa le plus rapidement possible en esperant n'avoir plus jamais à mettre les pieds dans ce quartier
Mais il semblerait que fortuna n'aime pas ce mec.
Une nuit ou il etait de jour, donc, passablement crevé, on sonna à son appart. Et le coup de sonnette etait rageur. S'il tenait l'imbecile qui se permettait de se pointer à une heure pareillle. Il ouvirt la porte violemment et se prepara à dire un chapelet de gros mots quand ses injures mourirent sur ses levres. C"etait elle .............


Bon , ca suffit pour ce soir , la suite demain

Vendredi 24 février 2006 à 5:33

Appelée Diane par les Romains, Artémis est la fille de Zeus et de Léto. Elle naquit dans l'île de Délos le même jour qu' Apollon, son frère jumeau, auquel elle emprunte bien souvent les traits de caractères et les attributs. Armée de flèches, elle tue impitoyablement ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont osé insulter sa personne divine et celle de sa mère, notamment les enfants de Niobé, et Orion, qui avait tenté de la séduire. D'une manière générale, elle responsable des morts soudaines : ses flèches sont toujours précises, foudroyantes de rapidité et mortelles ; comme Apollon, elle se trouve aux côtés des Troyens contre les Grecs et oblige Agamemnon, coupable de s'être vanté de la surpasser au tir à l'arc, à sacrifier Iphigénie, qu'elle sauve à la dernière extrémité.

Belle, chaste et vierge, ombrageuse et jalouse de ses talents de chasseresse, elle punit Actéon, qui prétendit la surpasser, en le transformant en cerf et le faisant dévorer par ses chiens. Dans le monde antique, on connaît toutefois plusieurs Artémis. Ainsi, en Tauride, on adorait une Artémis, cruelle déesse montée sur un char traîné par deux taureaux. Elle portait un flambeau à la main, et son front était surmonté d'un croissant de lune. On lui sacrifiait les étrangers ; Oreste, grâce à sa soeur Iphigénie, put s'enfuir et échapper à cette sauvage coutume. Une autre Artémis, celle d'Éphèse, diffère de la déesse traditionnelle : en effet, loin de se refuser à l'amour, elle s'y livre sans retenue et nourrit, grâce à ses multiples mamelles gonflées de lait, les hommes et la Terre. Cependant, malgré toutes ces confusions, l'Artémis grecque demeure la chasseresse et la chaste, et c'est sous ces traits et ces attributs qu'elle figure dans la plupart des légendes.


Artémis, déesse de la Lune, de la chasse et de la vie sauvage, protectrice des femmes qu'elle assiste,Ma déesse

Vendredi 24 février 2006 à 5:30

Ouaicheuh
Ouaicheuh
ASSOCIATION DE GENS NORMAUX - TTC FEAT LES SVINKELS

Refrain

Association de gens normaux,
Que des types hyper sympa.
Albiance ultra amicale
Association de gens normale

L'occasion d'une video style "lucie avale "
Bedot , liquide jsuqu'au ptit tinams



j'te jure chui un mec normal
Le probleme c'est quand j'picole
J'deviens comme OJ Simpson

C'est la fete avecles ingals
Le grand partage de l'alcool
Y en a un qui t'a piqué ton verre , mais tu sais pas lequel
Normal si apres si j'men sors mal
J'me sens informe tellement j'dors mal
Et qu'dans ma piole, ca sens fort
Familiere, soirée banale;,
Avec ttc on buvait de la bierre
Mais jvous jure chui normal et j'ai rien fait msieu l'comissaire

Un mec normal, un espece rare à garder dans du formol
Qui va jamais à la pharma, qu'a fait normal sup et harvard
Un rappeur normal, un noir plein d'putes quirafle tout aux grammy award
Un mec normal qu'à peur d'un pitt et surtout qu'aime pas l'rap
Un mec qui economise comme un maudit pour mourir dans un virage en audi
Un quadr' grsouillet chez son psy qui s'fait tout ptit,
qu'a pa fait pipi au lit tard, se couche tot
Regarde pas d'films porno et surtout faute pas dans l'metro

Un mec qui sort des gaps sans faire un rot, compte deja en euros
Qui s'grille aucun neurone, pas un mec qui s'crache comme pauli
Ou un mec qui clache comme xanax, qu'a pris d'la dope un max
Et surtout qui s'en tape de faire des raps sur des mixtapes

Le soleil brille dans le ciel , il est deja midi
Je me reveille et dans la rue, tous les passants me sourient
Instantanement , j'oublie tous mes soucis
Je suis normal, depuis qu'ils m'ont fati sortir de l'hopital
Les gens qui passent ne comprenaient pas mes envies sales
Je me suis senti mal, ils ont froissé mes sentiments
Je me suis enfermé dans une salle en disant
Je suis brisé, je vous en supplie , laissez moi respirer

TTC, le groupe dans l'rap qui s'eclate.
C'est un coup de feu au milieu d'une salle de concert
Ca fait fuir tout le monde, sauf que toutes les rates ecartent
Place au spectacle. Dumbler jean, samplers ting
Plats , fine lames, chit , gratte,
tombeurs qui s'grattent
De l'amusement appetissant, voila cke c'est
Laissez place au style.
Puise le mec dans la discotheque qui rock la place d'cette fille
dans ses basket, chercher la compete sans etre hautain, honnete, respectueu
Meme vis à vis des produits defectueux
Meme vis à vis des produits defectueux



Refrain


Mais vie , c'est la vie d'bureau
Mais quand meme c'est babes
Rendez vous important chez le rebeu
Dej'ner d'affaire au kebab

Journée normale, reneaud espace,
ta future broute pour aller jouer dans le trou du cul du monde
Voir trois ploucs et deux vielles normales
obsédées sexuelles comme tout l'monde
Ou ptet un peu d'avantage
Si t'a l'matos pour un plan bondage

Mais pour l'heure c'est quality street , on va t'finir au finger
Laisse moi mettre deux doigts coupe-faim, dans ta boite à bonheur

Certains repetent que notre hip hop est conceptuel
Nos flow experimentaux et nos sons extremes, on s'en fout
On fait ckon aime, ce sont les autres qui sont fous
Je suis lucide,
levons les mains en l'air et soyons stupides
Si l'on nous supprimes, nos bouteilles,
nos appareils dentaires, nos bougies à la cire d'abeille
Nos caracteres, nos artes
Il nous reste plus qu'à faire du rap de gangster
Je suis caustique
Vive les alcooliques et mort au rap comique

Il flotte une ambiance bizaroide,
une seringue lyricale dans la veine ,
Tu t'vomis dessus
Ta glande tyroïdal s'agite, un coup sec sur la carotide
Tu creve tout de suite, t'es die
On s'branlerais sur nos tete afin qu'ca nous ranime et qu'on gesticule

Descriptif, toujours dans le timing,
la qualité de la rue dans tes oreilles,
j'ai commencé à raper dans des soirs du 19e sans splif conals
Des grands cones et leurs boss trouvent ca normal
Danturing, fight sur des raps ou dromes cartonnent,
un mal de crane carabiné tjours à la fin cette phrase
Recoit la comme un coup de fouet dans tes seves
T sur la bonne route pour l'extase
ou tu prefere est sodom' par un bus que par une phrase


Refrain x 2


LALALALALALALALALA

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