Mardi 28 février 2006 à 0:08

Boarf, pa génial
Boarf, pa génial
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Juste une envie de sang, de sueur , de larmes
Je veux sentir la douceur de ce fluide le long de mes doigts
J'aimerais tant pouvoir regouter à l'ivresse de cela
Just me repaitre des souffrances des autres , encore
Mais je ne peux, tout en moi me montre comme je suis las
Las de de toute cette vie insipide, de ses senpiternels choix
Peu importe mes efforts , elle n'a plus de charmes

Juste une envie de cri, de pleurs, de rage
Je veux à nouveau voir la haine dans leurs yeux
Que ne donnerais je pour recuperer ma vie d'antan
Savoir que seul moi comptait, seul moi vivait
Le reste n'etant que des parasites grouillants autours
Mais il semblerait que mon existant ne soit qu'une cage
Une prison, ou bien simplement un cachot branlant
Nul ne peux m'aider et je ne sais comment appeler
Seul restera celui qui a franchit le point de non retour
Juste une envie de nuit, de solitude, de néant
Je me laisse aller à ses sentiments qui me detruisent
Ils m'enferment, me cloisonent dans ma solitude et pourtant
Je reste aupres d'eux et je les assure, les cajolE , les cultive
Je les gardes aupres de moi , car ils me reconfortent
Dans le froid, la plus petite chandelle devient un feu de joie
Je me contente des petits plaisirs , le bonheur m'st refusé
Comment sortir de cette vision qui m'obscurcit ? Cette idée
Elle restera mienne, car moi seul sait quelle bete me ronge
Suis je celui qui me terrifie ou n'est qu'un horrible songe ?
Nul ne sait, car nulle ne la connait, cette horreur viciée
Elle m'ensere le coeur et me corrode l'ame, elle tant souillée
Nul ne comprendrais pourkoi je continue à porter mon poids
Ces idées noires qui m'assaillent, tant et tant de cohortes
Quelles autres voies , quels sentiers, quelles alternatives ?
Peut etre suis je simplement une anomalie, d'un autre temps
J'aimerais me laisser partir, disparaitre dans une brise
Qu'on me laisse choisir seul , le choix echéant

Juste une envie de douceur, de calme et de joie
Je voudrais juste pouvoir partir, laisser ce monde qui me hait
Et n'emporter qu'une ideé, une vision, une image incertaine
Celle des deux plus jolies création de cette terre
Peut etre si je partais enfin pour l'ultime, je pourrais voir ce pere
Cet homme qui ne m'a legué autre chose que des legendes
Rien d'autre que des contes et des responsabilités
Je veux juste disparaitre dans un creux de la realité
Mon seul et unique souhait, est ce une si grande demande
Que tous , vous me refusiez ce depart, ce souhait amer
Ce monde , cette vie , pour moi, n'est qu'austere
Rien ne m'est permis, ni joie , ni plaisir, ni meme haine
Rien ne m'a été alloué , rien depuis le jour ou je suis né
Rien, je n'ai aucune raison, aucune foi

Mardi 28 février 2006 à 0:07

Un ti dernier pour la route
Certains revent de vie, moi je reve de son absence
Poids inexorable qui m'enchaine à cette terre
Je ne veux plus me battre, quel interet apres tout ?
Je ne serais qu'un eternel perdant face à elle ,
Vu que dame mortis viendra me prendre, tot ou tard
Mais pourquoi prends t'elle tant de retard ?
A elle non plus, mon etre deplait ? Suis je donc laid à ce point
Pour que meme la faucheuse me refuse son glacial baiser ?
La vie me pese, me fait mal , me sied mal , m'enferme
Peut etre devrais je chercher mon reconfort ailleurs
Alors pouquoi ne pas m'abandonner à l'eternel sommeil ?
Je regarde mes poignets, freles attaches qui me separe
De mon ultime voyage, peut etre celui qu'il me faut
Sauterais je le pas, dites moi ? Me laisserais je tenter
Par cette fuite en avant ? Le chant de la mort glisse
A mes oreilles comme le tendre cri des sirenes
point de mat pour me retenir, juste la peur
Et pourtant, elle m'attire, le creux de ses bras morbides
M'obsede nuit et jour, appelant sans cesse mes baisers
Je veux m'en aller , quitter à jamais cette vie insipide
Mes tourments me laisseront peut etre enfin la paix
Car c'est elle que je desire, elle que je pourchasse
Mais egalement , elle qui me fuit . Pourquoi , fortuna ?
Pourquoi ne veux tu pas me laisser ma chance ?
O toi destinée, je veux tenter ma roue du destin
Enfer, paradis ,purgatoire , neant ? Quelle sera donc
Mon ultime destination ? Reponds, o toi, regard envoutant
Je te vois roder autours de moi, creature glaciale d'entre les pales
Le degout me submerge, sentiment ecoeurant, mais si plein
Je veux juste oublier, cesser de penser . Quelle meilleur abri
Que le froid ultime de la mort ?

Mardi 28 février 2006 à 0:06

Ma peine, o toi douleur qui m'englobe, me devore
Car la nuit m'appele , douce compagne
Amante qui seule m'ouvrent ses bras
Sans jamais rien me demander. Ni fidelité,
Ni complaisance, ni delicatesse, ni foi
Tu m'es infidele, o nuit, mais pourtant , tu reste mienne
Car tu sais que seul moi t'aime autant
Seule moi te desire autant , o toi artemis
Tu te sais mienne, et pourtant, tu me fuis. Pourkoi ?
Appolo, ton ennemi et ame soeur serait il si jaloux ?
Ou bien mon culte, à moi, pauvre mortel serait il si fade ?
Apres tout , que puis je offrir à celle qui a tout ?
Toi , dont le nom est scandé, dont la presence est reclamée
Que t'importe qu'un pauvre here, une petite ame te quemande?
Apres tout, tu es celle que tout le monde convoite , alors
Pourquoi te perdrais tu avec l'un des pauvres qui te guete ?
Tu es l'adulée , et moi, je ne suis qu'un adulateur
Alors , tu resteras , et je te comtemplerais , encore
Refermant mes main en coupelle, esperant ceuillir un peu
De cette essence si delicieuse, afin qu'au moins un temps
Tu ne sois qu'à moi
Ptite nuit

Dimanche 12 février 2006 à 23:39

Ses bras m'enserrent mais mon ame reste de glace
Mes mots restent plaqués au fond de ma gorge.
Quelle importance auraient ils vraiment apres tout ?
Je la regarde, mais mes yeux, toujours sont flous
J'aimerais revenir abien vant que ne se forgent
Ses sentiments troublés qui ne me laissent que las

Le monstre vert me devore les entrailles , peu à peu
Ne laissant que la carcasse, un cadavre vivant mais creux
Comme j'aimerais que cette vision me laisse enfin
Je voudrais juste pouvoir me refugier contre son sein
Mais cela m'est interdit, maintenant, peut etre à jamais
Tant que cela restera ainsi, une perte de temps stérile
Un bete reve perdu dans une réalite sortide et servile
Tant pis, c'etait un joli reve, juste un peu surfait
J'aimerais dire que cette sensation puérile disparaitra
Mais cela ne serait etre, plus maintenant, plus apres ca
Cette situation m'emprisonne dans un oroboros infini
Et cela, je ne pourrais le supporter, je deviendrais fou
Alors, je pars, je me laisse endormir par ce cri
Cet appel lanscinant pour me trainer au fond de ce trou
Ce precipice sans fou qu'on appele la solitude
Mais apres tout ,n'est elle pa ma plus vielle camarade ?
Alors , je la rejoindrait, elle et ses turpitudes
Apres tout, ca ne sera qu'un episode de la vie d'un barde

Vendredi 10 février 2006 à 1:38



                               
En fait , pour le pari , fallait que j'en fasse deux, et comme l'otre risque de se sentir seul........


Tic Tax
Ce seul bruit me vrille les tympans
Il me rappele mon inique ennemi eternel
Le temps.
Il me rappele que je ne suis pas eternel
Tic Tac
Ce bruit me dechire l'âme
Il me signale que le temps est lent, mais tenace
Jamais il ne se fatigue
Jamais il ne s'arrete
Toujours là, silencieux
Un seul cri, tenace, lancinant
Tic Tac
Ce bruit ne m'abandonne jamais
Et quand il le fera
C'est qu'il sera trop tard pour moi

Vendredi 10 février 2006 à 1:36




Comme je suis tchad, g le droit de mettre nimporte koi. Donc , g décidé de mettre un truc que g écrit pour un pari. 'tention les yeux

Des mois

Des mois que la vision de ta peau me prends à la gorge
Des mois que la pensée du choc de nos corps me fait fantasmer
Des mois que tes mots m'enflamment l'âme
Des mois que les images ont remplacé les paroles
Des mois que je te vois l'embrasser
Des mois que je le vois te toucher
D
es mois que que mon cerveau est embru par la colere
Des mois que je ve de ça
Deux jours que je l'ai fait
Deux jours que je te l'ai dit
Deux jours que tu m'as ri au nez
Deux jours que tu m'a pietiné
Deux jours que mes mains se sont posés sur ta gorge
Deux jours que mes doigts ont sérrés
Deux jours que tu est morte entre mes bras
Deux joursque je sais que je ne pourrais vivre avec ça
Dix minutes que j'ai pris ces compris et la mort ne vient toujours pa me prendre
D
ix minutes longues comme l'univers qui n'en finissent pas
Dix minutes où je sais que je te rejoindrais
D
eux jours que je sais que ça ne servira à rien

A yech, oui , je sais.
Enfin, c pa grave ce n'est que le premier d'une longue serie

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