Ma vie s’est arrêtée le jour ou je t’ai rencontré, mon cœur a vraiment démarré quand tu m’as souri. Ma vie était un océan de noirceur et tes yeux m’ont servi de soleil. Comment avais je fait pour seulement respirer avant que tu n’arrives dans ma vie ? Tu es mon air, ma chaleur, ma bouffe, ma came. Ta voix fait vibrer chaque vibre de mon être, de la peau aux viscères.
Je t’aime. Je t’aime comme le vent aime les montagnes, comme la terre aime le soleil, comme la mer aime le ciel. Tu es celle qui fait se lever le soleil dans mon âme.

Je t’aime à en mourir. Je t’aime à en souffrir.

J’aimerais être l’air que tu respires, la nourriture que tu manges, l’eau que tu bois, le sommier où tu pourrais te reposer. Etre les phrases qui te font rire, les idées dont tu t’inspires, les souvenirs qui te bercent.

Je t’aime.
Dire ces mots m’arrachent le cœur, et pourtant, ils le remplissent. J’aimerais que tu puisses voir ce que je vois, ressentir ce que je ressens. Tu aurais alors la pleine mesure des sentiments que j’ai pour toi. Je t’aime toi, tout entière. J’aime ton rire, j’aime tes cris, j’aime tes larmes. Je veux être celui avec qui tu partagerais ta joie et ta peine, tes colères et tes frustrations. Je veux être celui qui t’accompagnera pas à pas sur le chemin de la vie. J’aimerais être celui qui t’ôte tous tes soucis.

J’aime ton rire, cascade de perle descendant le long de mon échine, petites fleurs caressant mes sens.
J’aime tes yeux, pétales d’or et de vie lâchés en ce monde pour réduire à néant la volonté des hommes.
J’aime tes lèvres, promesses de plaisir et d’échange.
J’aime ton odeur, flagrance suave et sucrée qui perturbe ma logique.
J’aime ta folie, grain de sable dans la logique moisie du monde actuelle. Elle est un phare planté dans la nuit glaciale de mon ennui.
J’aime ta candeur. Elle me laisse croire que ce monde n’est pas forcement voué aux flammes du rien.

Je t’aime toi, entière, complète, pleine. J’aime ton potentiel que tu sous estimes. Je t’aime toi, et ton toi en devenir. Je vois l’étoile incandescente que tu deviendras et qui brûlera la rétine de tous ceux qui s’approcheront. Mais si pour t’aimer il faut devenir aveugle, je veux bien me crever les yeux tout de suite.
Laisse toi aller, vois ce que nous pourrions être, si tu me laissais ma chance. Je ne te promets pas les étoiles, mais je te jure la vie. Tu ne seras peut être pas riche, et certainement pas célèbre, mais tu seras aimée autant que faire ce peut. Je te protégerai de tout, des autres, de toi-même. Chaque jour ne verra qu’un sourire affiché sur tes lèvres divines. Je ne peux pas te promettre de te rendre heureuse. Mais je peux te jugerai que j’essaierai à chaque seconde de chaque minute. Jamais une larme ne perlera à cause de moi. Ton rire est si divin que je veux m’en abreuver toute ma vie.
Laisse moi une place dans ta bulle et je la ferai éternelle, avant goût du paradis en cette terre honnie.
Tes baisers sont mon ambroisie, tes caresses, mon hydromel. Je ne suis rien, mais laisse moi porter tes couleurs et tu seras reine, reine de mes rêves, reine de mon cœur, reine de mes rires, reine de mon âme. Non, cela, tu l’es déjà, o toi, mon erato, ma Cassiopée, mon anima.
Viens à moi, je t’en supplie.
Comme j'aimerais trouver les mots qui te toucheraient, qui te flatteraient , qui te montreraient à quel point tu es à moi. Que je suis celui qui transformera le gris de ta vie en arc en ciel de félicité. Je ferai de chacun de tes pas une danse, de tes soupirs un rire, de tes larmes un nectar, de tes jours un plaisir sans fin.


Aime moi un milliardième de ce que je t’aime et je me verrai combler du plus dantesque des bonheur. Laisse moi juste une place infime dans ton cœur et je pourrai partir satisfait.