Mardi 28 février 2006 à 0:11

Bon, piskil fo continuer, an nou ay


Alors, ou en étais je ?
Ah ,oui

- Tu me laisse entrer ou bien tu compte me laisser poiroter longtemps ?
- Je me demande repondiit il en prenant l'air le plus agacé qu'il put trouvé. C'est pas vraiment une heure pour se pointer chez les gens, si t'es pas au courant
Il s'effaca néanmoins pour lui permettre de rentrer
- Alors, continua t'il, tu me dis ce que tu fous chez moi à une heure pareil ou bien tu preferes que j'utilise mes talents de sherlok holmes ?
- Je te laisse deviner, repondit elle , du tac au tac. Meme que si tu gagne , tu auras une recompense
- Mouais, pas confiance, retorqua t'il en essayant de chasser les idées peu orthodoxes qui affluaient à la porte de son esprit . Enfin, bon . A voir tes fringues, tu etais de sortie
- Bon debut , mais insuffisant
- Tu dinais avec un mec , et plutot interessant le mec
- Pourquoi tu dis ca
- Le wonderbra , repondit'il l'air amusé.
- Je vois pas ce que tu veux dire, bredouilla t'elle en croisant maladroitement les bras sur sa poitrine
- Ouais , ouais, ouais. La derniere partie, c'est qu'il t'a planté
- Ah ouais, et comment t'a fait pour croire ca ?
- Facile. Un , tu portes des talons. Deux, tu les as enlevé avant d'etre arrivé dans l'appart. Ca veux dire que tu as marché jusqu'ici. Et aucun mec decent n'aurait laissé une femme alors qu'elle et habillée comme ca avecd un decolleté pigeonant. Trois, si tu n'avais pa été planté , ce n'est pas chez moi que tu serais. C'est de la logique simple. Je me trompe peut etre ? glissa t'il avec un sourire au coin des levres
- Ouais, bon, on va pa epilogué. J'avais rendez vous, il m'a dit qu'il a un imprevu. Il est trop tard, j'aurais pas de metro. Et surtout, j'ai pa envie d'essayer. Donc , ce soir , je dors chez toi.
- Hein ? C'est pas un hotel , je te signale. Attends, et puis tu pourrais demander
- Non ,pas la peine de demander, t'a gagné. Alors, la recompense, c'est moi.
- Tu parler d'un recompense, grommela t'il. Bon, ok, ajouta t'il sur un ton resigné. Prends ma chambre, je me contenterais du canapé. Evite de fouiller partout por favor. Bon, va dormir, j'ai pa que ca à faire, termina t'il en la bombardant sur le lit.
Il se dirigea vers la porte, se retourna, et ajouta
- tu peux prendre une de mes chemises, si ca te branche. J'espere que tu ne ronfle pas trop fort.
Il partit dans un eclat de rire en evitant un coussin.
Il avait bien besoin de ca. Enfin bon, ca ne durerrait q'une nuit. Et puis le canapé n'etait pas si incofortable. La preuve, c'est qu'il dormait deja dedans. Il ne s'etait meme pas rendu compte qu'il somnolait. Il se laissait choir dans le canapé en grignotant un cookie. Il esperait qu'elle ne s'incrusterait pas.
Cette fille etait un vrai probleme pour sa santé mentale. Elle balayait toutes ses decisions avec une facilité déconcertante. Il devait dormir. Ctait le moyen le plus sur de ne pas se prendre la tete. Il se recroquevilla sur le canapé et s'ssoupi lentement.
Malheureusement, fortune est pa sympa
Il dormait depuis un moment quand soudain un grands fracas l'eveilla en sursaut. Mais qu'est ce qui se passait encore ? Un tremblement de terre ? Un coup de mortier ?
Il se precipita vers la cuisine, en choppant un poignard de deco qui etait accroché contre un mur. Il s'approcha en catimini , et degaina le poignard, en esperant qu'il n'aurait pa trop de probleme. Il franchit la porte à toute vitesse en criant ....... et tombant sur elle en train de faire à manger
- BAKA !!!!!!!!!! Ca va pas de faire un boucan pareil à 3 h du mat ??????
- Arrete de raler , tu veux ? J'avais faim, et y a meme pas un bout de pain chez toi
- Mais .............
- Tais toi , et prends ca
Elle lui colla une assiete de pates entre les doigts, et il devait l'avouer, ca sentait bon . En plus, il n'avait rien mangé depuis des jours, et honnetement, il mourrait de faim. Alors, il pris une fourchette, et commenca à picorer dans l'assiette. Qu'est ce que ca pouvait faire du bien. Et elle avait l'air bizarre avec son tablier de travers. Il se demandait eme comment elle avait fait pour arriver à l'attacher toute seule. Il e mit à rire doucement dans son coin. Bah, elle etait une amie avant. Autant eviter de se prendre la tete et la considerer simplement comme une amie, ca allait plus vite non ?
Et il engagea la conversation, avec une assiete de pates , debout au beau milieu de la cuisine avec une femme qu'il avait tenté de fuir depuis presqu'un mois.
Elle avait l'air anormalement detendue. Ca faisait drole d'entendre un rire dans cet appartement. En fait, il ne se rappelait meme plus qu'elle etait la derniere fois qu'il avait bien pu laisser quelqu'un rentrer chez lui. Et elle etait bien la derniere personne qu'il aurait cru.
Et pourtant, ils discuterent de tout et de rien , jusqu'à ce qu'il se rendent compte qu'elle sautillait d'un pied à un autre. Elle devait avoir encore mal , mais elle etait trop fier pour aller s'assoire.
- On va dans le salon ?
Elle sortit de la cuisine en evitant de pousser un soupir de soulagement. Ses pieds etaient dans une etat deplorable. Elle detestait les talons. Mais elle n'avait pas eu le choix. Sinon , ca n'aurait jamais marché Il s'assit sur la moquette , deposant sans tete sur le fauteuil. Ce n'est pas vraiment ce à quoi il s'attendait comme soirée. Ca faisait un moment qu'il s'etait habitué à sa petite routine. Metro boulot dodo, ca n'avait pas que des inconveniants. Ca evitait de se prendre la tete. Mais ca isolait, il ne s'etait pas rendu d'a quel point c'etait vrait . Il se sentait bien comme ca faisait un moment.
Elle se coucha sur la moquette, et ils se mirent tranquillement à discuter. Il se sentait bien. Elle etait bien. C'etait tranquille en somme. Il avait toujours adoré discuter avec elle. Elle etait spécial. Difficil à decrire. Il avait besoin d'o pour se raffraichir les idées. Quand il revint, elle etait à moitié assoupie. C'etait tellement mignon, qu'il ne put s'empecher........................ de lui renverser la bouteille dessus
- Allez , hop , reveille toi, ma moquette, c pa un matelas
Elle lui balanca une chaussure, l'air carrement furibarde , en le qualifiant de jolis noms d'oisieaux que je tairais pour les mineurs qui sont par ici.
Soudain, elle se releva et tenta de lui coller son poing dans l'estomac. Mais il lui attrapa le poignet et la tira contre lui
- Tsssss quelle violence . Tu sais, c pas sexy , une meuf qui boxe à tout va
Pour toute reponse, elle lui projeta son genou la ou un homme n'apprecie pas beaucoup. Mais il bloqua sa jambe avec sa main
Il approcha lentement son visage du sien, et dit lentement, d'une voix presque inaudible
- Ya mieux comme facon de l'utiliser , non
Et il l'embrassa tendrement.




La suite apres, la je suis tchad

Mardi 28 février 2006 à 0:08

Boarf, pa génial
Boarf, pa génial
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Juste une envie de sang, de sueur , de larmes
Je veux sentir la douceur de ce fluide le long de mes doigts
J'aimerais tant pouvoir regouter à l'ivresse de cela
Just me repaitre des souffrances des autres , encore
Mais je ne peux, tout en moi me montre comme je suis las
Las de de toute cette vie insipide, de ses senpiternels choix
Peu importe mes efforts , elle n'a plus de charmes

Juste une envie de cri, de pleurs, de rage
Je veux à nouveau voir la haine dans leurs yeux
Que ne donnerais je pour recuperer ma vie d'antan
Savoir que seul moi comptait, seul moi vivait
Le reste n'etant que des parasites grouillants autours
Mais il semblerait que mon existant ne soit qu'une cage
Une prison, ou bien simplement un cachot branlant
Nul ne peux m'aider et je ne sais comment appeler
Seul restera celui qui a franchit le point de non retour
Juste une envie de nuit, de solitude, de néant
Je me laisse aller à ses sentiments qui me detruisent
Ils m'enferment, me cloisonent dans ma solitude et pourtant
Je reste aupres d'eux et je les assure, les cajolE , les cultive
Je les gardes aupres de moi , car ils me reconfortent
Dans le froid, la plus petite chandelle devient un feu de joie
Je me contente des petits plaisirs , le bonheur m'st refusé
Comment sortir de cette vision qui m'obscurcit ? Cette idée
Elle restera mienne, car moi seul sait quelle bete me ronge
Suis je celui qui me terrifie ou n'est qu'un horrible songe ?
Nul ne sait, car nulle ne la connait, cette horreur viciée
Elle m'ensere le coeur et me corrode l'ame, elle tant souillée
Nul ne comprendrais pourkoi je continue à porter mon poids
Ces idées noires qui m'assaillent, tant et tant de cohortes
Quelles autres voies , quels sentiers, quelles alternatives ?
Peut etre suis je simplement une anomalie, d'un autre temps
J'aimerais me laisser partir, disparaitre dans une brise
Qu'on me laisse choisir seul , le choix echéant

Juste une envie de douceur, de calme et de joie
Je voudrais juste pouvoir partir, laisser ce monde qui me hait
Et n'emporter qu'une ideé, une vision, une image incertaine
Celle des deux plus jolies création de cette terre
Peut etre si je partais enfin pour l'ultime, je pourrais voir ce pere
Cet homme qui ne m'a legué autre chose que des legendes
Rien d'autre que des contes et des responsabilités
Je veux juste disparaitre dans un creux de la realité
Mon seul et unique souhait, est ce une si grande demande
Que tous , vous me refusiez ce depart, ce souhait amer
Ce monde , cette vie , pour moi, n'est qu'austere
Rien ne m'est permis, ni joie , ni plaisir, ni meme haine
Rien ne m'a été alloué , rien depuis le jour ou je suis né
Rien, je n'ai aucune raison, aucune foi

Mardi 28 février 2006 à 0:07

Un ti dernier pour la route
Certains revent de vie, moi je reve de son absence
Poids inexorable qui m'enchaine à cette terre
Je ne veux plus me battre, quel interet apres tout ?
Je ne serais qu'un eternel perdant face à elle ,
Vu que dame mortis viendra me prendre, tot ou tard
Mais pourquoi prends t'elle tant de retard ?
A elle non plus, mon etre deplait ? Suis je donc laid à ce point
Pour que meme la faucheuse me refuse son glacial baiser ?
La vie me pese, me fait mal , me sied mal , m'enferme
Peut etre devrais je chercher mon reconfort ailleurs
Alors pouquoi ne pas m'abandonner à l'eternel sommeil ?
Je regarde mes poignets, freles attaches qui me separe
De mon ultime voyage, peut etre celui qu'il me faut
Sauterais je le pas, dites moi ? Me laisserais je tenter
Par cette fuite en avant ? Le chant de la mort glisse
A mes oreilles comme le tendre cri des sirenes
point de mat pour me retenir, juste la peur
Et pourtant, elle m'attire, le creux de ses bras morbides
M'obsede nuit et jour, appelant sans cesse mes baisers
Je veux m'en aller , quitter à jamais cette vie insipide
Mes tourments me laisseront peut etre enfin la paix
Car c'est elle que je desire, elle que je pourchasse
Mais egalement , elle qui me fuit . Pourquoi , fortuna ?
Pourquoi ne veux tu pas me laisser ma chance ?
O toi destinée, je veux tenter ma roue du destin
Enfer, paradis ,purgatoire , neant ? Quelle sera donc
Mon ultime destination ? Reponds, o toi, regard envoutant
Je te vois roder autours de moi, creature glaciale d'entre les pales
Le degout me submerge, sentiment ecoeurant, mais si plein
Je veux juste oublier, cesser de penser . Quelle meilleur abri
Que le froid ultime de la mort ?

Mardi 28 février 2006 à 0:06

Ma peine, o toi douleur qui m'englobe, me devore
Car la nuit m'appele , douce compagne
Amante qui seule m'ouvrent ses bras
Sans jamais rien me demander. Ni fidelité,
Ni complaisance, ni delicatesse, ni foi
Tu m'es infidele, o nuit, mais pourtant , tu reste mienne
Car tu sais que seul moi t'aime autant
Seule moi te desire autant , o toi artemis
Tu te sais mienne, et pourtant, tu me fuis. Pourkoi ?
Appolo, ton ennemi et ame soeur serait il si jaloux ?
Ou bien mon culte, à moi, pauvre mortel serait il si fade ?
Apres tout , que puis je offrir à celle qui a tout ?
Toi , dont le nom est scandé, dont la presence est reclamée
Que t'importe qu'un pauvre here, une petite ame te quemande?
Apres tout, tu es celle que tout le monde convoite , alors
Pourquoi te perdrais tu avec l'un des pauvres qui te guete ?
Tu es l'adulée , et moi, je ne suis qu'un adulateur
Alors , tu resteras , et je te comtemplerais , encore
Refermant mes main en coupelle, esperant ceuillir un peu
De cette essence si delicieuse, afin qu'au moins un temps
Tu ne sois qu'à moi
Ptite nuit

Mardi 28 février 2006 à 0:06

Encore un, je me sens d'humeur loquace
Je me sens seul, si seul
Et pourtant, je ne cherche compagnie
Je ne veux pas qu'on me pleure, quel interet ?
Plaisir et douleur se melent en moi sanc cesse
Dans le simulacre d'existance qu'est la mienne
Ca m'amuse pourtant, mais ca me detruit
Je l'ai choisie, telle est ma vie
Peut etre mon choix n'est pas la bon
Et meme ? Cela reste le mien, alors
Que m'importe vos sentiments, à vous
Vous, qui vivez sans larmes, vous dont la vie
N'est qu'un plaisir, vous qui vous prelassez
Qu'en aurais-je à faire de votre avis ?
Je resterais seul , car tel est moi.
Et moi ne fera pas d'autre choix
Ma vie m'horripile, pire me repugne
Mais elle reste mienne, et seulement mienne
Je veux qu'on m'oublie , qu'on me laisse savouerer
Cette souffrance inassouvie dans le silence

Mardi 28 février 2006 à 0:05

J'attends
Elle court le long de mes veines
Sans cesse , aiguillant ma peine
Puissance ecoeurante,
et pourtant, si tentante
J'aimerais me laisser porter
Mais je ne peux me laisser aller
Langue de serpent, oeil de cobra
Je merite pas pareille aura

Alors j'attends, j'attends
Et dieu seul sait que pourtant
Ca me ronge, vipere incandescente
Pourquoi ,sans cesse , me hante
Cette vision , si nette
Sur cette idée, je m'entete
Cela l'amuse ,mais ca me desespere
Pourtant c'est ainsi, que faire ?

Alors j'attends, j'attends
Et dieu seul sait que pourtant
J'aimerais pour toujours oublier
Mais elle et moi, à jamais sommes liés
Alors cette vision fugace à jamais
Et poursuit. Pourquoi me pamer ?
Je savais deja à quoi m'en tenir
Mais pourquoi cela rime avec punir ?

Alors J'attends, j'attends
Et dieu seul sait quand
Mon cauchemard se terminera
Mais savoir comment pour moi
Tout cela prendra fin
Quel sera mon chemin
Seul cela est mon but
En attendant

Mardi 28 février 2006 à 0:04

again
De sang et d'or , toutes mes pensées
sans doutes , e là, sont elles tirées
Rah, quel plaisir que d'imaginer
Ces peaux tendues sans cesse par l'effort
Ces coeurs battants, comme sous un sort
Ces images me plaisent, je m'en delecte
Car, ici et là, elle m'assaillent, sans cesse
Fuyez, idées, mots, visions qui me blessent
Je hais me sentir prisonnier de ces hires infectes
Laissez moi, liberz moi ! Je vous abhores
Vous, images qui sans me mutiler, ecrasezmon corps
Pourquoi ne m'abandonnez vous, moi l'homme miné
Tenez vous tant que ca à le faire empirer ?
Ce mal qui sans cesse, un cri , me laissant haracé

Mardi 28 février 2006 à 0:04

Me poursuivras tu encore, toi l'ame tourmentée ?
Ou me liberera tu , enfin, moi , here errant
Ici et là, sans but , sans attache, sans reves, sans espoirs
Je ne suis qu'une bete traquée, jamais libérée
Toujours poursuivie , inlassablement par son passé
Par son futur. La paix m'est interdite. Ici du moins
Peut etre ailleurs, dans un autre monde,une autre vie
O Fortuna, pourquoi me faire ca à moi ? Cela te ravit ?
De persecuter un etre deja maudit par ses pair ? Ausi loin
Que sa mémoire regarde, o memnir, oiseau harassé
Sans doute aurais tu préféré, d'autres atours, etre paré
Mais seuls ceux la restent, sans cesse me poursuivant chaque soir
Cauchemards éveillés , reves éthérés, tous puisant dans l'abhérant
Alors, Hypnos , o dieu sans pareil, je vous en prie, Arretez !

Vendredi 24 février 2006 à 5:36



Alors, où en étions nous avec les peripéties de notre jeune homme ?
Ah oui. Apres une nuit où lui et son amie ,ont fait ce qu'on passe la nuit sur xxl , il est reparti dans son oiseau de fer, non sans quelques regrets, mais bon, on ne fait pas toujours ce que l'on veux. La vie est cruelle, quelques fois. Mais bon, quand il n'y a plus de choix.
So welcome to paname city , ses parisiens , sa tour effeil et ses merdes sur le trottoir. La routine en somme. Il reprit donc ses habitudes, ses amis, ses études. Mais je crains fort qu'il ne fut plus le meme durant cette periode. Comprenez qu'il est assez dur de se rappeler de ses cours quand on a des images qui dansent devant ses yeux. Et lui, il tenait à ses images. Toutes ses pensées ne tendaient que vers un regard chaviré, des levres gonflées par le desir, et des cheveux eparpillées sur un lit. C assez dur de se replonger dans la psychologie , dans ce cas surtout .
Pourtant, il le tenta. Mais comme tout étudiant avec les idées royalement ailleurs , il se vianda malproprement.
Il s'en foutait royalement, remarquez. Il n'avait choisit cette voix que parce que c'était relativement facile. Rien à voir avec un plaisir quelconque. Alors ca ou autre chose.
Non, il ne pouvait se laisser aller. Il n'allait quand même pas se morfondre dans son coin pour rien. Le meilleur moyen de ne pas se prendre la tête était encore de se noyer dans le probleme. Donc, il fit ce qu'on evite de faire ce cas ci: Il lutina de droite à gauche. Et pourtant, il n'arrivait pas à decrocher ce regard de ses pensées. Mais qu'avait elle bien pu lui faire ? Cela semblait plus à un cauchemar qu'à rellement ,une lubie passagère.
En fin de compte, il cessa toute relation avec qui que ce soit aussi rapidement qu'il avait décider d'exagerer la dose. Il savait tres bien que ca ne serait jamais une solution. Et puis, nul besoin d'une femme pour oublier. Il suffisait qu'il s'occupe l'esprit d'une maniere differente. Et aléatoirement le portefeuille. Il choisit donc le seul truc qu'il avait dit qu'il ne ferait jamais: Il devint infirmier. C'était plutot sympa en fait. Se sentir vraiment utile était un sentiment somme toute assez grisant. Et puis, il se faisait un peu d'argent comme garcon de salle, en attendant de trouver mieux. Il travailla comme un fou pendant des mois, se contentant de sorties entre amis de temps à autre , plus souvent autre qu'autre chose d'ailleurs. Il preferait eviter les gens, pour l'instant. Il ressentait des choses troublantes , et tant qu'il ne saurait pas ce que c'etait, il n'avait pa envie d'approcher quiconque.
Malheureusement, fortuna est plutot cruelle avec les gens qui cherchent à eviter les problemes.
Ses pensées revinrent sur le devant de la scene alors d'une bête soirée chez une de ses meilleures amies. Soirée ou il etait obligé de venir, vu qu'il l'avait evité pendant quasiment un mois. Elle finirait par lui arracher les yeux, et il y tenait encore un petit peu.
Une soirée "tenue decontractée" . Traduction , choisir le truc qui est moins chic que le smoking et plus que le blazer. Pour un homme qui s'habillait de chemises de surfeur, ctait tout de même assez agacant. Il avait tendance à se voir comme un serveur en costume. Finalement, il se contenta d'une veste demesurement longue. Elle se contenterait de ses baskets. C'etait "decontracté" non ?
Il sortit de chez lui , et se dirigea en gromellant vers l'appartement de son amie. Il aimait marcher à travers Paris. Il n'aimait peut etre pas les gens dedans, mais paris, en elle meme , degagait une atmosphere etrange. Surtout ce soir, par cette nuit sans lune . Il se sentait badin, Peut etre finalement qu'une soirée tranquille ne lui ferait pas de mal. C'etait toujours mieux que rien. Apres tout , il n'avait que 21 ans. On ne se terre pas chez soi , à cet age la. Il sonna , se sentant rasseneré, soudainement. Qui sait, il trouverait peut etre quelqu'un avec qui oublier l'espace d'une nuit sa solitude ambiante.
C'etait une fête assez animé; quoiqu'un peu guindé pour lui. Il n'était pas tres social, encore moins quand il fallait parler , et la , on etait vraiment la pour parler. Il se mit quelques trucs à grignoter dans une assiete et se refugia sur le balcon. Qu'est ce qu'il n'aurait pas donné pour etre chez lui .Il s'assit tranquillement sur un transat et comtempla le ciel. Il se demandait ce qu'elle pouvait bien faire à cet instant précis. Mais il ne voulait pas y penser. Rien ne servait de s'imaginer des trucs qui n'arriveraient jamais. Mieux vallait s'accrocher au present, et en profiter. Il se dit qu'il devrait peut etre songer à courtiser quelques demoiselles. Ca ne serait peut etre pas du luxe, apres tout. Il etait sur le point de se lever quand soudain son amie surgit devant lui, le faisant presque sursauter
- Tu etais donc la?!? dit elle sur un ton de reproche
- Ben tu me vois, non? maugrea t-il
- Soit pas vache, j'ai besoin de te presenter quelqu'un , tu verras, elle est super. Tiens, ajouta t'elle,justement elle arrive.
Il se tourna, interessé par la nouvelle catastrophe qu'elle voulait encore lui balancer dans les pattes , quand soudain , il palit, s'etouffant presque d'une bouchee d'aperitif. C'etait impossible. C'etait ELLE. Ctait un cauchemar. Ca pouvait pas etre elle. Un ocean devait les separer. Elle ne pouvait pas arriver. Pas maintenant.
- Alors, elle te plait, lui chuchotta son amie à l'oreille. C'est une vielle amie à moi, ajouta t'elle. Elle debarque parce qu'elle s'est disputé avec ses parents, donc elle a decidé de venir finir ses etudes ici.
Une alarme etait en train de rugir dans sa tete. IL DEVAIT FUIR. Et vite. Mais comment, par où ? Son portable !!!! . Il envoya discretement un message à un ami pour qu'il le rapele et se prepara à faire face à sa nemesis.
- Bonsoir, dit elle avec une voix velouté. Ca faisait longtemps ajouta elle, avec un sourire mutin
- Bonsoir, repondit'il en essayant de d'eviter son regard, et de ne pas chercher une issue avec un regard de bête traquée. Hum, ca fait longtemps que tu es la ?
- Depuis le debut de la soirée. Je n'ai même pas vu quand tu es arrivé.
- La discretion est ma marque de fabrique, non ? Et puis, je n'avais pa envie de me faire remarqué , je n'avais pas vraiment envie de venir en fait, ajouta t'il, en evitant le regard courroucé de son amie. En fait, normalement, j'avais un truc à faire ce soir avec un medecin, mais il ne m'a pa rappelé , donc j'ai cru qu'il avait laissé tombé. Quand j'ai vu ca, je me suis dit " autant venir ".
Il essayait par tout les moyens de ne pas la deshabiller du regard. Il savait que ca ne faisait que ca ne faisait qu'une année grosso modo, mais il avit l'impression que ca faisait des siecles. Elle avait quelque chose de changé , mais il n'aurait pu dire quoi. Il devait partir. Pouquoi ce maudit portable ne sonnait t'il pas ?
- Bon, et bien je vous laisse, lanca son amie. Je prefere vous laisser entre vous .
Elle sortit avec un large sourire, en prenant soin de fermer la fenetre du balcon derriere elle. Il lui garderait un chien de sa chienne, elle et ses fichues manies d'entremeteuses.
Un silence pesant s'installa pendant une minute, quand soudain elle rompit le silence en se mettant à rire
- Tu etais un peu plus causant d'habitude.
- Disons que je suis un peu surpris. Tu etais la derniere personne que je m'attendais à voir ici.
- La vie n'est qu'une somme de peripeties. C'est bien ce que tu m'as dit une fois , non ?
- J'ai dit que la vie est somme de peripetie, pas que je suis une calculette qui les avale. Ca m'arrive d'etre surpris. Mais j'ai vu pire comme surprise ( tu parles )
- Tiens donc. Ce n'est pas ce que l'air terrifié que tu avais sur le visage
- Ah bon ? Et bien ...........
Il fut soudain interrompu par la sonnerie de son portable. Cet imbecile avait pris son temps . Il se precipita dessus, et decrocha à toute vitesse
- Allo ?
Une voix un peu ensommeillée grommella un " qu'est ce que tu veux
- C'est vous professeur , hurla t'il avec la voix la plus terrifié qu'il put reussir.
- Non c'est moi
- Ou ca ? Maintenant ? Mais ecoutez ................ Non ,j'y serais
Il raccorcha prestement, lanca des excuses à la volée , et se precipita vers la sortie en priant pour que son hotesse ne le voit pas . Elle tenterait de le tuer dans la minute.
Il fonca chez lui et ne se sentit reelement en securité qu'àpres avoir mis le verrou.
Il etait lache, il le savait . Mais il ne pouvait faire autrement. Pas maintenant. Il avait presque reussi à se sevrer. C"était pas le moment.
Mais fortuna est cruelle quelques fois.
Elle etait patout ou il etait. A croire qu'elle le suivait à la trace. Soirées, concerts, meme diners entre amis. Rien à faire, elle etait partout. Et à chaque fois, il la fuyait avec une raison encore plus minable que la precedente. Il devait fuir . C'etait une obligation. Il y laisserait sa santé mentale, sinon.
ll s'abrutit par le travail. Et reussit à tenir 2 semaines sans meme lui adresser la parole. Il s'approchait de son but.
La nuit du 31 approchait. Et la fete d'anniversaire de son ami aussi. Pourquoi fallait il qu'elle naisse le soir d'halloween. Enfin bon, ctait son ami, il n'avait pas le choix.
Il aurait donné un bras pour ne pas y aller. Mais elle le lui aurait arraché s'il ne venait pas; donc il fit contre fortune bon coeur. Et s'habilla de facon à etre meconnaissable. Scream avait du bon. Un masque qui prends tout le visage, une cape à cagoule et des rangers. Pour deviner que c'etait lui, il aurait fallu etre devin. Et il avait interet. Il s'occuperait du bar, il n'avait pas envie de se faire draguer. Pas maintenant. Et surtout, il n'avait aucune envie de la voir , elle. Alors, autant jouer sur la carte de la discretion. L'aprehension ne le quitta pas de la nuit. Pourtant, c'etait une bonne soirée. Il avait toujours aimé s'occuper des cocktails. Et preparer des trucs que seul lui pouvait avaler sans probleme. Il revit deux trois amis . Mais elle ne pointa jamais le bout de son nez. Et bizarrement, ca l'inquietait un peu. Ce n'etait pas normal. Il se serait plutot attendu à la voir la à la premiere minute du premier morceau de la sono. Il y avait quelque chose qui clochait. Et il devait en avoir le coeur net.
Donc, il deglutit lentement, et se dirigea vers son amie.
- Ou est elle ?
- Qui ?
- Ta voisine , cretine.
- Qu'est ce qui a ? On est inquiet pour sa meuf ?
- Hahahaha ! Ton humour me laissera toujours pantois. Bon, allez, ou elle est ?
- Je sais pas. Elle est pas venue
- Comment ca, pas venue.
- Elle n'a pa mis les pieds dans mon appart ce soir. C'est mieux ? J'ai essayé de l'appeler , mais ca reponds pas.
Réaction bizarre d'un homme qui cherche à fuir une femme, il traverse paris à pied pour se rendre chez elle ( vous imaginez bien que les fringues, ca a pa aidé. C que c lourd, une faux de 2m , meme en plastok ) Il se fait plein de mauvais films durant tout le trajet. Il s'attends à un choc, une nouvelle grave. Et ce fait ouvrir la porte par un espece de zombie en robe de chambre.
- Laisse moi deviner, la grippe ?
- D'apres toi ? articula t'elle entre 2 quintes de toux. Qu'est ce que tu fais la, demanda t'elle
- Je sais pas. Mais je sais ce que je vais faire. Je vais te coucher, te faire un truc à avaler, et attendre que tu t'endormes. Allez, file dans ton lit
Le ton ne laissant aucune replique, elle clopina jusqu'à son lit, les poumons à demi arrachés. Elle avait vraiment l'air mal en point. Meme lui, il ne pouvait la laisser dans cet etat sans rien faire. Alors , il lui prepara une decoction et pendant qu'elle dormait, rangea un peu son appartement. Qu'elle fouilli ladedans . La femme de menage devait etre morte durant l'ere mezozoique. On aurait dit un vide grenier. Mais on s'y sentais plutot bien.
Il alla lui dire au revoir, mais elle etait encore plus mal en point qu'à son arrivée. Elle etait pâle à faire peur, et elle etait brulante. Il ne pouvait pa la laisser seule. Pas cette nuit, en tout cas. IL passa sa nuit à son chevet, passant des compresses sur son front, et lui racontant des histoires ( vu qu'elle etait dans un etat comateux, je pense que ca lui faisait une belle jambe )
Au matin, elle avait repris quelque couleurs, mais il ne put se decider à partir aussi froidement. Au final, il passa 3 jours dans son appartement, jusqu'à ce qu'elle soit dans un etat plus ou moins satisfaisant. Apres, il decampa le plus rapidement possible en esperant n'avoir plus jamais à mettre les pieds dans ce quartier
Mais il semblerait que fortuna n'aime pas ce mec.
Une nuit ou il etait de jour, donc, passablement crevé, on sonna à son appart. Et le coup de sonnette etait rageur. S'il tenait l'imbecile qui se permettait de se pointer à une heure pareillle. Il ouvirt la porte violemment et se prepara à dire un chapelet de gros mots quand ses injures mourirent sur ses levres. C"etait elle .............


Bon , ca suffit pour ce soir , la suite demain

Vendredi 24 février 2006 à 5:33

Appelée Diane par les Romains, Artémis est la fille de Zeus et de Léto. Elle naquit dans l'île de Délos le même jour qu' Apollon, son frère jumeau, auquel elle emprunte bien souvent les traits de caractères et les attributs. Armée de flèches, elle tue impitoyablement ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont osé insulter sa personne divine et celle de sa mère, notamment les enfants de Niobé, et Orion, qui avait tenté de la séduire. D'une manière générale, elle responsable des morts soudaines : ses flèches sont toujours précises, foudroyantes de rapidité et mortelles ; comme Apollon, elle se trouve aux côtés des Troyens contre les Grecs et oblige Agamemnon, coupable de s'être vanté de la surpasser au tir à l'arc, à sacrifier Iphigénie, qu'elle sauve à la dernière extrémité.

Belle, chaste et vierge, ombrageuse et jalouse de ses talents de chasseresse, elle punit Actéon, qui prétendit la surpasser, en le transformant en cerf et le faisant dévorer par ses chiens. Dans le monde antique, on connaît toutefois plusieurs Artémis. Ainsi, en Tauride, on adorait une Artémis, cruelle déesse montée sur un char traîné par deux taureaux. Elle portait un flambeau à la main, et son front était surmonté d'un croissant de lune. On lui sacrifiait les étrangers ; Oreste, grâce à sa soeur Iphigénie, put s'enfuir et échapper à cette sauvage coutume. Une autre Artémis, celle d'Éphèse, diffère de la déesse traditionnelle : en effet, loin de se refuser à l'amour, elle s'y livre sans retenue et nourrit, grâce à ses multiples mamelles gonflées de lait, les hommes et la Terre. Cependant, malgré toutes ces confusions, l'Artémis grecque demeure la chasseresse et la chaste, et c'est sous ces traits et ces attributs qu'elle figure dans la plupart des légendes.


Artémis, déesse de la Lune, de la chasse et de la vie sauvage, protectrice des femmes qu'elle assiste,Ma déesse

Vendredi 24 février 2006 à 5:30

Ouaicheuh
Ouaicheuh
ASSOCIATION DE GENS NORMAUX - TTC FEAT LES SVINKELS

Refrain

Association de gens normaux,
Que des types hyper sympa.
Albiance ultra amicale
Association de gens normale

L'occasion d'une video style "lucie avale "
Bedot , liquide jsuqu'au ptit tinams



j'te jure chui un mec normal
Le probleme c'est quand j'picole
J'deviens comme OJ Simpson

C'est la fete avecles ingals
Le grand partage de l'alcool
Y en a un qui t'a piqué ton verre , mais tu sais pas lequel
Normal si apres si j'men sors mal
J'me sens informe tellement j'dors mal
Et qu'dans ma piole, ca sens fort
Familiere, soirée banale;,
Avec ttc on buvait de la bierre
Mais jvous jure chui normal et j'ai rien fait msieu l'comissaire

Un mec normal, un espece rare à garder dans du formol
Qui va jamais à la pharma, qu'a fait normal sup et harvard
Un rappeur normal, un noir plein d'putes quirafle tout aux grammy award
Un mec normal qu'à peur d'un pitt et surtout qu'aime pas l'rap
Un mec qui economise comme un maudit pour mourir dans un virage en audi
Un quadr' grsouillet chez son psy qui s'fait tout ptit,
qu'a pa fait pipi au lit tard, se couche tot
Regarde pas d'films porno et surtout faute pas dans l'metro

Un mec qui sort des gaps sans faire un rot, compte deja en euros
Qui s'grille aucun neurone, pas un mec qui s'crache comme pauli
Ou un mec qui clache comme xanax, qu'a pris d'la dope un max
Et surtout qui s'en tape de faire des raps sur des mixtapes

Le soleil brille dans le ciel , il est deja midi
Je me reveille et dans la rue, tous les passants me sourient
Instantanement , j'oublie tous mes soucis
Je suis normal, depuis qu'ils m'ont fati sortir de l'hopital
Les gens qui passent ne comprenaient pas mes envies sales
Je me suis senti mal, ils ont froissé mes sentiments
Je me suis enfermé dans une salle en disant
Je suis brisé, je vous en supplie , laissez moi respirer

TTC, le groupe dans l'rap qui s'eclate.
C'est un coup de feu au milieu d'une salle de concert
Ca fait fuir tout le monde, sauf que toutes les rates ecartent
Place au spectacle. Dumbler jean, samplers ting
Plats , fine lames, chit , gratte,
tombeurs qui s'grattent
De l'amusement appetissant, voila cke c'est
Laissez place au style.
Puise le mec dans la discotheque qui rock la place d'cette fille
dans ses basket, chercher la compete sans etre hautain, honnete, respectueu
Meme vis à vis des produits defectueux
Meme vis à vis des produits defectueux



Refrain


Mais vie , c'est la vie d'bureau
Mais quand meme c'est babes
Rendez vous important chez le rebeu
Dej'ner d'affaire au kebab

Journée normale, reneaud espace,
ta future broute pour aller jouer dans le trou du cul du monde
Voir trois ploucs et deux vielles normales
obsédées sexuelles comme tout l'monde
Ou ptet un peu d'avantage
Si t'a l'matos pour un plan bondage

Mais pour l'heure c'est quality street , on va t'finir au finger
Laisse moi mettre deux doigts coupe-faim, dans ta boite à bonheur

Certains repetent que notre hip hop est conceptuel
Nos flow experimentaux et nos sons extremes, on s'en fout
On fait ckon aime, ce sont les autres qui sont fous
Je suis lucide,
levons les mains en l'air et soyons stupides
Si l'on nous supprimes, nos bouteilles,
nos appareils dentaires, nos bougies à la cire d'abeille
Nos caracteres, nos artes
Il nous reste plus qu'à faire du rap de gangster
Je suis caustique
Vive les alcooliques et mort au rap comique

Il flotte une ambiance bizaroide,
une seringue lyricale dans la veine ,
Tu t'vomis dessus
Ta glande tyroïdal s'agite, un coup sec sur la carotide
Tu creve tout de suite, t'es die
On s'branlerais sur nos tete afin qu'ca nous ranime et qu'on gesticule

Descriptif, toujours dans le timing,
la qualité de la rue dans tes oreilles,
j'ai commencé à raper dans des soirs du 19e sans splif conals
Des grands cones et leurs boss trouvent ca normal
Danturing, fight sur des raps ou dromes cartonnent,
un mal de crane carabiné tjours à la fin cette phrase
Recoit la comme un coup de fouet dans tes seves
T sur la bonne route pour l'extase
ou tu prefere est sodom' par un bus que par une phrase


Refrain x 2


LALALALALALALALALA

Vendredi 24 février 2006 à 5:28

Désolé si c'est pa extra bien raconté, mais je suis vraiment crevé
Bon , alors ils sont dans la bagnole en train de se faire chier à savoir uqi va gauler l'autre en premmier ............................... Bon, ok , je peux faire mieux que ca

Il tapotait nerveusement sur le rebord du volant , ne sachant pas comment s'y prendre. Mais pourquoi ne disait elle rien ? Bon, mieux vallait abreger, un rateau ne tue pas.
- J'ai ....... enfin, je suis .............. Bon , je suis descendu dans une suite, dans un hotel pas tres loin. Hum, tu veux un café ? bredouilla t'il
Elle se pencha vers lui et deposa lentement un baiser sur les levres, puis, avec un regard mutin lui chuchota lentement à l'oreille
- Tu y as mis le temps

Son coeur bondit dans sa poitrine, néanmoins, il fit tout son possible pour garder un air impassible ( ce qui ne reussit pas tres bien )
Le trajet fut silencieux, aucun des deux n'osant ouvrir la bouche. Peut etre avaient ils peur que leurs voix rompent le charme et que l'un des deux ne fuit à nouveau. Il fut court, mais il lui parut interminable. Cette succession de virage et de detours lemoussait de plus en plus son courage. Il n'avait plus qu'une envie , s'eloigner le plus possible de sa nemesis. Mais il ne pourrait pas lui faire ça une seconde fois, elle ne le lui pardonnerait jamais. Et s'il pouvait se passer d'une amante, il ne pourrait survivre sans son amie. Et puis, honnetement, il n'avait qu'une envie, se retrouver sous une couette avec elle.
Enfin, l'hotel apparut au detour d'un chemin. La vue du batiment etait en train de pulveriser ses derniers restes de courage. Il avait envie de donner un coup de volant et de la ramener chez elle en quatrieme vitesse pour retourner prendre un bain glacé. L'angoisse etait en train de broyer son coeur. Qu'est ce qu'il allait faire ?
Avait elle senti ses intentions ou bien etait elle juste anxieuse elle meme, il ne le saurait jamais, toujours est il qu'elle deposa sa tete sur son epaule :
- Ne dis rien, l'implora t'elle. Emmene moi jusqu'à ta chambre, mais par pitié, ne dis rien.

Le ton suppliant de sa voix balaya toutes ses hésitations. Il ne pouvait pas partir. Elle ne le supporterait pas. Et puis, ce n'était quand même pas la mer à boire. Des centaines d'hommes auraient donné un bras pour être à sa place. Alors, quel était le probleme. En son for interieur, il savait tres bien quel etait le probleme. Une fois le seuil de cette chambre passé, plus rien ne serait comme avant etre eux. Il n'avait rien à gagner , mais tout à y perdre. Il perdrait son seul coin de reconfort. Et il n'était pas sur d'avoir envie de le risquer pour un bref instant de plaisir. Mais il n'était pas seul en jeu. Elle avait probablement eu les memes tracas et pourtant, elle, elle avait fait son choix, et elle avait choisi de se donner à lui. Pourquoi, il n'en avait aucune idée. Mais il était un peu tard pour y penser. Il n'avait plus qu'à esperer qu'il serait à la hauteur, ce dont il doutait enormement.
Il coupa le contact, inspira longuement puis, descendit, fit le tour de la voiture et la sortit de celle ci. Elle avait l'air si fragile, presque terrorisée, et portant, tout en elle respirait le charme et la sensualité. Il avait envie d'elle. Il pouvait essayer de se le cacher tant qu'l le voudrait, mais il le savait parfaitement.
Soudain, il s'empara de ses levres, longuement, avidement. Il avait faim d'elle, et ce soir, il assouvirait celle ci, peu importe ce qu'il lui en couterait apres.

Suite apres




Non, je rigole. Ca continue tout de suite apres cette courte page de pub

Buvez de l'infusion " laxa ". Avec laxa , y a plus de tracas à part des problemes de deboucheurs liquides qui peuvent pa tout enlever.

Me demandez pas pourquoi j'ai fait ca, j'en ai aucune idée.



Bon, j'en etait ou, moi ?
Ah oui , je me rappele. Pinaise, fo que j'arrive à faire ca sans choquer toutes les personnes qui me prennent pour un gentil garcon. Tssssssss, ca va etre raide. Derniere fois que je montre à quelqu'un que je sais ecrire autre choses que des poemes gnanggna


Tout en continuant à s'embrasser, ils se rendirent labourieusement jusqu'à sa chambre ( marcher, regarder et s'embrasser, c'est assez difficile, si si, je vous l'assure )
Une fois la porte ouverte, ils se regarderent, legerement embarassés. Il n'avait aucune envie de lui sauter dessus comme un soudard. Il devait faire les choses dans les regles. Ca serait peut etre son seul vrai souvenir de lui. Il n'avait aucune envie qu'il soit marqué au fer rouge.
- Tu veux quelque chose à boire, baffouilla t'il en cherchant dans le refrigerateur ? Y a plusieurs trucs, du thé , du café, du jus d'orange , de papaye.........
- Tu as vraiment l'intention de m'eviter longtemps , le coupa t'elle. Explique moi une chose. Je te plais, non ? Alors pourquoi des que tu me vois , tu adopte un regard d'animal traqué. Pourquoi te fais je peur ? Je n'ai ps de gros bouton vert qui suinte sur mon nez, pour autant que je sache. Alors crache le morceau ou ramene moi, mais plus de demi mesure.
Il poussa un long soupir lugubre, s'approcha d'elle avec un verre d'alcool et s'adossa contre le lit, entre ses jambes, ( ca veux dire que c'est son dos qui etait en contact, bande d'obsédés ).
- Tu t'es deja demandé ce que tu ferais si tu savais que celui que tu veux, tu ne le verras qu'au moins une année apres. Ca veux dire une année sans le moindre contact. C'est long. Et c'est dur, de rester seul. Tu te dis qu'il merite d'avoir une epaule sur laquelle pleurer, un dos contre lequel rire. Tu veux qu'il ait du plaisir à vivre, meme si ce n'est pa avec toi. Peut importe avec qui il est , tant qu'il est heureux, c'est l'essentiel. Tu n'as pas envie qu'il reste la, dans son coin à attendre et à penser à une ombre qui est de l'autre coté d'un ocean. Surtout si tu sens, si tu sais que tu ne le merite pas. Tu sais qu'il vaut toutes les etoiles du ciel, tous les diamands du monde. Tu sais qu'il merite ce qu'il y a de mieux. Et toi, tu n'es pas ce qu'il y a de mieux. Pas tres joli, pas si intelligent que ca, sans thune, sans travail ,sans avenir. Tu sais que tu n'as rien à donner, rien à offrir. Alors pourquoi t'enteter à faire attendre quelqu'un que tu ne pourras meme pas satisfaire correctement ? On ne met pas sur la sellete pendant des années pour une vie de boheme, ca serait ridicule. Alors, tu esperes qu'elle se trouve celui qu'il faut , et tu essaie de donner le moins possible de raison d'attendre. Tu te descends, ut fais part de tes peurs, esperant qu'elle te prenne pour un lache. Tu es brusque, sauvage, avec un sens de l'humour douteux, voire grivois. Tu essaies de le degouter le plus possible. Esperant que quand elle te laisse tomber, qu'elle te fuit. Peut etre que quand elle te fuira, toi, tu l'oublieras . Quand bien meme ne serait ce le cas, peu importe, ce n'est pa l'essentiel. Et puis, tu .............
Elle le fit taire d'un chaste baiser
- Baka !!!!! Qui t'a dit que tu avais le droit de choisir à ma place ? Je decide de qui je veux, quand je veux, ou je veux, de la facon dont je veux. S'il refuse, que ce soit pour des raisons normales. Mas pas pour une tentative imbecile d'auto destruction. Alors, tu arretes tes betises, tu reflechis trois secondes à cette question bete : veux tu de moi, ce soir ?
Il se releva, et la plaqua sur le lit , l'embrassant fougueusement, aspirant litteralement ses levres. Il carressa ses jambes , presque pieusement, tellement il avait l'impression d'etre au coté d'une déesse. Il avait faim d'elle. Il remonta maladroitement, sa jupe, carressant ses cuisses encore et toujours. Elle commenca à enlever sa chemises, arrachant plus qu'elle ne deboutonnait. Elle fouillait ses cheveux de ses doigts, cherchant à retenir ses levres, toujours plus. Elle avait attendu ca trop longtemps, elle ne voulait pas que ca s'arrete.
Il fit glisser lentement sa robe le long de ses jambes, explorant chaque partie decouverte par l'absence du vetement. ce morceau de tissu lui paraissait interminable telement son envie le rendait fou. Il voulait explorer ce corps, indéfiniment. Il finit par enlever la robe, devoilant un corps encore plus volupteux qu'il ne se le rappelait. Cette incaranation meme d'artemis etait fantasmagoriquement affolante. Et pourcette nuit, elle etait à lui. Il l'embrassa impétueusement, presque avec violence. Dire qu'il l'avait refusée une fois. Quel fiéfé imbecile il etait d'avoir laissé partir parreille vision. Peu importe ce qui se passerait apres, il voulait profiter de cette ultime nuit.
Il carressa doucement ses cheveux , humant leurs odeurs. Il devora litteralement le cou de sa "victime" aspirant les gouttes de sueur qui commencaient à perler sur sa peau. Il voulait tout d'elle. Il degraffa son soutien gorge, liberant les deux globes de chair emmurés dans ce carcan. Il ne put retenir un gemissement de surprise. Seigneur dieu, Il avait la perfection devant les yeux. Une pointrine telle que michel ange lui meme se serait incliné. Il en emprisonna un entre ses doigts. Quelle douceur sous ses doigts. Il en voualit encore, toujours plus. Il prit l'un entre ses levres, goutant cette peau, l'aspirant, l'embrasant, ses doigts se promenant le long de ses cuisses. Soudain , enhardit par un gemissement un peu plus sonore, il commenca à carresser l'antre ses souhaits à travers l'ultime barriere de tissu restait entre lui et elle. Sous ce contact, ele eu un brusque sursaut de recul, suivi par un gemissement frustré. Il n'était pas le seul à en vouloir plus, semble t'il. Il prolonga son massage, sa bouche partagée entre sa poitrine et son ventre. Pourquoi lui avait t' on donné que deux bras. Il en aurait voulu quatre, dix , cent. Il plongea un dogt dans on intimitée. Elle se raidit sous le plaisir. Elle voulut se redresser, cherchant peut etre à reprendre un peu le controle d'une situation qui lui avait totalement echappé. Mais il l'a colla contre le matelas, lu emprisonnant les main avec une des siennes
- Ce soir, c'est ma nuit, mes choix.
La maintenant toujours, il glissa entre ses cuisses et enleva l'ultime gardien de sa pudeur delicatement avec ses dents ( s si, je l'ai deja fait, c possible. Et ché meme vachemnt facile, mine de rien )
Ca y est, elle etait à lui. Fabuleuse vision, feminité incarnée. Et elle était tout à lui pour cette nuit. Il plongea sa tete entre ses jambes, lechant le creux de ses cuisses, faisant glisser ses doigts le long de son ventre et de sa poitrine. Elle gemissait de plus en plus quand soudain il baisa le fruit de son desir. Elle se cabra si violement qu'il faillit etre desarconné. Il crut qu'elle allait l'envoyer paitre quand elle ressera ses cuisses autours de son visage. Il accentua la pression de sa bouche, donnant de court coups de langue de temps à autres. L'etreinte de ses jambes se faisait de plus en plus imposante ( mourir d'un devissage de tete , ca doit etre une chouette mort, non ? ). Ce faisant, il introduit un doigt en elle. Elle attrapa sa main qui courait le long de sa poitrine et l'attira à elle, le decrochant de son nid. Elle le voulait en elle, maintenant.
Il ouvrit delicatement ses cuisses et s'introduisit lentement en elle. Elle etait si acceuillante, s'en etait fou. Il l'embrassait passionnement en augmentait la cadence de ses va et viens. Il voulait que cela dure sans arret. Elle accompagnait chaque mouvement de son coprs, le laissant monter et descendre à son rythme, tandis que le plasir affiché sur son visage semblait augmenter en proportions. Ils bougeaient à l'unisson su plaisir de l'autre sans que sa volonté parut y avoir sa place. Ils ne vivaient plus out deux que par le plaisir irradiant par l'union de leurs corps. Il sentit monter en lui un plaisir plus grand que ce qu'il avait imaginé. Plus impetueux, plus dominateur. Ils se rejoignirent dans l'extase avec un meme gemissement à la limite du hurlement.
Il s'ecroula sur le lit, presque vidé. Elle se blottit contre l'air assouvie. Elle le mordit legerment au creux du coup
- Ca veux dire non ?
Ils eclaterent de rire tout les deux. Elle l'embrassait fougueusement , tandis qu'il sentait qu'il n'avait pa envie d'arreter tout de suite. Ca serait une longue nuit


Surtout pour moi. Merdeuh, pourquoi y a jamais de femmes quand t'en a besoin. Bon, vais encore passé ma nuit à conter les roses blueus sur mon mur. Pauvre vie qu'est la mienne

Vendredi 24 février 2006 à 5:27

Il sifflotait en conduisant, l'air detendu, mais en son for interieur, il n'en menait pas large. En fait, il avai surtout prevu de l'inviter à diner. Il ne s'etait pas vraiment attendu à ce qu'elle accepte. Enfin bon, il y etait deja, autant continuer.
- Je sais pas si tu as remarqué, mais des qu'on est dans une voiture emsemble, on pourrait entendre une mouche voler
- Tu n'es pas tres douép pour mettre à l'aise qu'y puis je ?
- Quoi ? Tu pretends que c'est de ma faute ?
- Toi , tu n'as jamais rien fait. Ce qui est peut etre le neud du probleme ........
Un silence glcial s'établit, chacun se renfrognant dans son coin. Le plus dur pour lui, c'est qu'elle avait raison. Mais il n'était pas du genre à avouer ses fautes aussi facilement. Il tourna legerement la tête et la devisagea legerement. Elle avait l'air vraiment malheureuse. Ses yeux commencaient à se remplir de larmes qu'elle essayait de cacher le plus possible. Mais quand est ce qu'il etait devenu aussi cruel ? Bon , il etait temps de faire un peu amende honorable.

-D'accord. Peut etre n'aurais je pas du te laisser en plan aussi brusquement. Peut etre aurais je du t'expliquer pourquoi je pouvais pas. Mais c'est pas ma faute. J'ai jamais été doué pour parler. Encore moins pour m'excuser. Mais bon, je sais reconnaitre mes torts. Et la, c pa mal ma faute
- Pas mal ?
- Oui, bon d'accord, c'est entierement ma faute. Tu preferes ?
Elle gloussa silencieusement dans son coin , essuyant maladroitement ses yeux avec un ourlet de sa robe. Ce qui decouvrit encore un peu plus ses jambes. Seigneur, la route ! Il devait se concentrer sur la route, ne regarder nul part ailleurs !
- Je voulais te demander, tu as une preference pour la cuisine ?
- Quoi ?
- Chinois, japonais, kurde, italien, francais, vietnamien ? Quoi mets toi dans estomac toi ?
- Dis toi que j'espere que la surprise sera à la hauteur. Néanmoins , fais moi penser à te donner des cours de syntaxe. Ta grammaire laisse à desirer

Il grommela un "imbéclie " largment machouillé et roula ves un petit italien, pres de la marina.
Il la fit descendre de voiture, lui prit le bras et lui demanda en prenant le ton plus guindé qu'il puisse imaginer
- Cela convient à madame ?
Elle rit legerement et prenant un air faussment mefiant lui repondit nonchallement
- Cela suffira pour cette nuit, j'ai envie de m'encannailler
Il eclaterent de rire et penetrerent à l'interieur du magasin.
C'était un petit restaurant feutré à l'atmosphere suave. Des tables de merisier tres delicatement ourlées avec des petites nappes à carreaux comme dans les restaurants italo-americains du debut du siecles. Des fleurs un peu partout. De la lumiere tamisée. Un peu de bell canto en musique de fond. Ce restaurant etait une petite perle pourtant tres peu connue. L'endroit parfait pour emball........ pour courtiser delicatement une jolie jeune femme.
Ils s'assierent à une petite table isolée dans le fond, et il commanda deux verres de chianti. Elle etait sur le point de protester quand il posa delicatement ses doigts sur ses levres en lui faisant signe de ne pas refuser
- Je sais que tu ne bois pas d'alcool , mais c une occasion un peu speciale. Je pars demain apres midi et j'ai envie de passer une bonne soirée. Un tout petit peu de vin , c'est tout. Refuse pas ou je vais etre obligé de faire mon air de cocker malade et mouillé
Elle sourit, amusée par le fait qu'il ne cesserait jamais de faire le pitre.
-Je croyais que tu n'etais comme ca que parce que tu avais le temps de reflechir avant de taper
- Meuh non, la betise intelligente, c'est un don inné chez moi. Tout comme le charme
- Sans hesiter. Pour la betise, bien sur.
Il sourit beatement et fit signe au serveur. Pour une raison qu'il avait peur de s'avouer, il voulait que ce diner s'eternise. Il n'avait pas envie d'affronter tout de suite le dilemme de l'"apres". C'était trop tot. Il n'était pas sur de pouvoir la meriter. Encore moins de la combler. Il etait totalement terrifié. Mais il aurait le temps de s'y atteler plus tard. Pour l'instant , autant s'amuser.

- Servez à mademoiselle ce que vous avez de meilleur. Et ramenez du chianti ; sil vous plait
- Mais .....
- Chuteuh. Laisse moi faire. C'est ma nuit, tu as oublié ?
- Je n'ai jamais dit ca ......
- Tu as acceptée d'etre la; non ? c'est que tu me fais confiance, n'est ce pas ? Alors, detens toi et laisse moi faire, d'accord ?
Se retournant vers le serveur, il reprit :
- Nous commencerons avec des antipasto di crostini alla napoletana, puis, nous mangerons des Pasta ripiena, et on finira avec un moka glacé
Pendant que le serveur s'eloignait, soudainement, il prit lentemet se main par dessus la table et plongea son regard dans le sien.
- C'est ma derniere nuit ici avant au moins un an. J'ai envie qu'elle soit parfaite. S'il te plait, laisse moi ce plaisir.
Il prit delicatement une meche de ses cheveux et la baisa ( ca devait etre plein de truc gras, beurk )
Juste cette nuit. Apres, ut feras ce que tu voudras. Nous sommes d'accord
Il avait l'air tellement fragile, qu'elle ne put lutter tres longtemps. En avait elle seulement envie ?
- Soit, fais ce que tu veux. Mais n'exagere pas trop la dose, d'accord ?
Il sourit, l'air soudain soulagé = et hela le patron pour remplacer le chianti par un Vin Santo.
- Il est legerement sucré, tu verras , c'est exellent
- Essairais tu de me saouler par hasard ?
- Ca se pourrait, repondit il d'un air malicieux

Ils etaient encore en train de rire quand le serveur revient avec leur repas.
Elle se regala, elle devait bien l'avouer, c"etait succulent. Il avait assurement des gouts de maitres. Le moka etait une veritable merveille
Elle sirota lentement un vin chaud pendant qu'il reglait l'addition
Ils revinrent sur terre seulement quand il mit le contact

La quesstion qu'aucuns des deux ne voulaient poser trotait dans leurs esprit

" Et maintenant ? "


Suite plus tard ( tu me hais, hein ? )

Vendredi 24 février 2006 à 5:26

Vous voulez connaitre la suite hein ?
Bon, alors comme je suis sympa , je vous la donne
Une semaine s'ecoule sans nouvelle du couillon ( parce que  lacher une meuf en emoii juste pasrce qu'on considere que c'est pa assez bien pour elle ? mais faut etre le dernier des rois des connards de basse caste , m'enfin bon )
Je pourrais vous raconter en detail ce qui c passé dans la tete de nos protagonistes, mais comme je suis vache, je vous laisse imaginer. M'enfin bon, notre " heros " n'a plus bcp de temps devant lui

Dring dring ( téléfone soné, pèsonn pa décroché , téléfone soné, pèsonn pa décroché .....)

Notre heroine était tranquillement en train de roupiller, son bouquin d'histoire plus ou moins sur son nez........ Ah , vous voulez que je le raconte plus ou moins dans un type de narration ? Pffffffff vous etes lourds. Bon ok

Elle se reveilla en sursaut, se demandant qui pouvait bien la deranger en pleine " revision " alors qu'elle avait prevenu tout le monde qu'elle voulait etre seule. Elle se traina jsuqu'au téléphone, avec la ferme intention de jeter tres désagréablement l'intrus

- Alloooooooooo ? C'est moi
Elle aura reconnu cette voix nimporte où. Que pouvait il encore vouloir. Sa premiere idée fut de racrocher. Mais elle mourrait d'envie de savoir POURQUOI il l'appelait. Et surtout, même si elle ne voulait en aucun cas se l'avouer, elle avait désesperement attendu qu'il lui parle

- J'avais reconnu , reponds dit elle d'une voix plus seche qu'elle ne le voulait réellement. Si tu veux t'excuser, c'est un peu tard, je te signale.

- Pas faux. C'est pas pour m'excuser. En fait, c'es plutot pour me faire pardonner
- Tu consideres que tu as quelque chose à te faire pardonner ? Tiens donc, je vois pas quoi. C'est pas la peine , je te promets. Tu consideres que c'était une erreur. Ou bien j'étais pas ton type, j'en sais rien .........
- Stop, tais toi ! Toi , tu dines avec moi ce soir
- Toi, tu as bu quelque chose. Il est deja 8h je te signale. En plus, tu n'etais pa supposé etre deja parti
- Euh, disons que mon programme a été quelque peu bouleversé. Pour ca que j'ai pa pu téléphoner avant. Alors, ajouta t'il d'une voix suppliante, tu dines avec moi ? Steu plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!
- Tu sais que tu es pire qu'un gamin ?
- Je sais , c'est meme pour ca que tu m'adores. Bon , tu dis ça à tes renpas ?
- Ouais. Passe me prendre dans une demi heure
- Ouvre ta fenetre et regarde devant, pres de la route
Il ne pouvait quand meme pas etre la ? Il etait stupide mais quand meme pas à ce point la. Et bien, il semblerait qu'il le soit. Il etait tranquillement assis sur le capot de la voiture jouant avec son portable.
- Dis moi, tu aurais fait quoi si j'avais refusé ?
- J'imagine que je serais passé par la fenetre et que je t'aurais kidnappé tranquillement. Ou quelque chose d'equivalent du moins. J'ai toujours detesté perdre.
Elle sourit dans le noir. Elle n'arriverait jamais à le comprendre totalement.
- Ok , je leur dit, me prepare et j'arrive.
- Une derniere chose, ajouta t'il d'une voix suave. Previens les que tu ne vas peut etre pas rentrer de la nuit .....
Son coeur s'arreta de battre une faction de secondes puis se mit à battre à la chamade. Elle deglutit avec difficulté et racrocha le telephone peut etre un peu plus violemment qu'elle ne l'aurait souhaité. Mais comment ce petit ********** ( mettez celle que vous préférez ) arrivait à lui faire cet effet la ? Elle n'y comprendrais jamais rien. Enfin bon, elle verrait bien. Soudain , elle se precipita vers la chambre de ses parents et leur brodda une histoire invraisemblable. Mais pourquoi ne disait elle pas la verité ? Elle n'en avait aucune idée. Peut etre avait elle peur d'etre decue à nouveau. Ou etait ce juste parce qu'elle avait peur que la joie ( ou le desir ) ne transparaisse trop à travers sses mots. Toujours est il qu'elle laissa ses parents interloqués dans leur chambre et fonca dans la salle de bain. Il etait peut etre insensible à ses charmes la derniere fois, mais elle allait tout faire pour que ca ne soit pa le cas
Pendant ce temps , il etait nonchalement allongé sur le toit de sa voiture et regardait les etoiles. Il aimait laisser ses pensées vagabonder, mais la, elles ne faisaient que galoper en direction de cette maison. Ou plutot vers la salle de bain. Imagine l'eau ruisseler sur son corps nu .......... Non mais qu'est ce que c'était que ces idées. Il etait en train de muter en pervers ou quoi ? Il fallait qu'il se ressaisisse. Ce n'était quand meme pas la premiere fois qu'il sortait avec une femme. Certes elle etait ravissante mais quand meme. Non , c"tait faux et il le savait. Elle etait bien plus que desirable. Elle etait tout simplment fantasmagoriquement affolante. Un ovni dans sa vie qui avait collé sa raison sur orbite. Ca lui faisait mal de l'avouer, mais elle etait tres importante pour lui. Et pa que pour cette paire de ....... mirette ? Allons, resaisis toi, non de zeus. Il se leva et s'assit sur le paillasson. Pour une raison betasse, il preferait etre devant la porte pour la recevoir que dans la voiture. Galanterie ? Tu parles. Il voulait admirer le spectacle ouais. Il s'adossa à la porte et joua avec le paquet de cigarette sans nicotine qui trainait toujours dans sa poche. Il crevait d'envie de s'en griller une. Mais s'il y avait juste pensé, elle l'aurait laissé campé devant la porte toute la nuit. Bon, tant pis, il se contenterais du bruit des cigales. Il ferma les yeux et se laissa emporter par le champ de la nature. Au moins, son coin etait agréable à vivre. Meme si ctait un peu nulle part. Il commencait tranquillement à s'assoupir quand soudain la porte s'ouvrit en grand. Il etait tellement desequilibré qu'il s'ecrasa sur son dos. Quand il ouvrit les yeux, il avait une vue imprenable sur la plus jolie paire de jambe qu'il lui eu été de voir ( du moins depuis la semaine derniere ). Encore heureux qu'il fut un " gentleman " . En ouvrant un tout petit peu les yeux, il aurait vu quelque chose qu'il desirait enlever mais qui l'aurait empecher de conduire droti. Brrrr, un peu de sereixu. Il se leva precipitement et se retourna pour s'excuser quand il regarda vraiment ce qu'il avait en face de lui. Et les mots mourrurent sur ses levres. Elle portait un fourreau noir si moulant qu'on aurait dit une seconde peau. Cette gaine de velours mettait incroyablement en valeurs ses courbes si sensuelles. Elle n'avait pour toute parure que ses cheveux , qu'elle aviat laissé flotter librement sur ses epaules. Ses yeux brillaient ( d'amusement, probablement ) telles des opales dans leur ecrin. Seigneur ideu , mais elle etait litteralement divine. Et il avait refusé CA ? Cretin , cretin, cretin , baka, estupido, fucking brat. Ca resterait un poids sur sa conscience jusqu'à la fin de sa vie.
- Hum, tu es .......... hum, euh ..... On y va ?
Elle eclata de rire, lui prit le bras avec une douceur non feinte et l'entraina lentement vers la voiture
- Ferme la bouche, tu vas finir par baver
Son sourire mutin etait la plus belle chose qu'il avait jamais vu. Il devait avoir du sable dans les yeux la derniere fois.
Il mit le contact et se dirigea vers le restaurant

Vendredi 24 février 2006 à 5:24

Alors, ou en etais je dans mon recit ?

Ah oui
Replentons le decor
Lui, sortais de paname, retourne chez lui et invite une jolie mamzelle à diner.
Apres un pic nic sur la banquette arriere d'une voiture, au bord d'une plage, nos deux protagonistes commence à s'embrasser. Lorsque nous les avons laissés, notre seducteur du jeudi matin commencait à delicatement embrasser l'epaule de la demoiselle. Retournons au feu de l'action


Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle , descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule. Sa peau avait une odeur suave, entetante. Il commenca à degraffer son soutien gorge tout en l'embrassant voluptueusement. Jamais un simple baiser ne l'avait mis dans cet etat la. Et il avait bien l'intention que ca aille de mieux en mieux. Il enleva lentement cette barriere de tissu, admirant pour la premiere fois la perfection de ces globes. Seigneur dieu, à ce stade la , ce n'etait plus des seins, mais des oeuvres d'art. Il planta son regard dans le sien, ses yeux brillait d'exitation mais aussi de frusration. Un regard à rendre fou un ayatollah. Il prit l'un dans sa main et le petrir aussi delicatement que possible et commenca a prendre le deuxieme entre ses levres. Elle gemit lentement sous la carresse. Ca y est , il allait enfin assouvir son desir.
Le moment qu'il avait attendu tant de temps, qui l'avait tenu eveillé tellement de nuit etait à sa portée , et la seule pensée qui lui traversa l'esprit était qu'il ne voulait pas que sa premiere fois avec elle se passe à l'arriere d'une voiture tachée du gras d'un sandwich. Quel imbecile. Il avait une femme desirable entre ses bras qui s'etait offerte à lui , et lui, il lui, il allait la repousser. Partagé entre l'idée de se mettre des giffles et l'idée de laisser aller ses envies, il se redressa néanmoins
- C'est l'heure, je te raccompagne chez toi
Elle se redressa sur un coude et le regarda, interloquée. Elle devait avoir mal entendu
- Tu plaisantes, n'est ce pas ?
- Non. J'avais dis 10h , on a tous juste le temps de se mettre en route. Une promesse est une promesse. Tu as oublié
- Tu te crois drôle ? Tu ne l'es pas. Pourquoi tu fais ça ?
- Ca ne me plait pas plus qu'à toi. Mais c'est la seule solution qui me vient à l'esprit
Elle fit lentement glisser ses doigts le long de son epaule et lui murmura au creux du cou :
- Tu es vraiment sur que c'est la seule idée qui te vient ...............
Ses doigts étaient d'une douceur folle. Il n'avait qu'une seule envie. Tendre la main et passer ses doigts dans ses cheveux. Lui murmurer ce qu'il ressentait en cet instant. Elle etait en train de le rendre litteralement fou de desir. Mais il ne pouvait pas. Pas maintenant. Il se leva ( la demarche un peu raide, il faut bien l'avouer ) et se mit au volant.
- Reste à l'arriere, tu pourras te changer. Je ne regarderais pas dans le retroviseur. Tu peux en etre sure , soupira t'il
Elle recut cette phrase comme une gifle. Jamais elle ne s'étais senti aussi humilliée. Non, ce n'étais pas de l'humiliation. C'était purement et simplment de la frustration. Il ne pouvait pas lui faire ca. Pas maintenant. Pas apres tout ca
Il demarra la voiture et brancha la radio. Il avait besoin de se vider l'esprit. Ne pas penser. Srtout ne pas penser. Il l'entendait se changer à l'arriere. Imaginer le frolement du tissu glissant contre sa peau. Houla, mieux valait se concentrer sur la route, il allait finir dans un fossé. Soudain, il sentit des levres se presser contre son cou. Sous la surprise, il fit une legere embardée. Encore heureux qu'il ne fut pas un trop mauvais conducteur
- Encore un coup comme ca, et on finit contre un arbre, lui signala t'il doucement
- Je voulais juste savoir si je te faisais quand meme un peu d'effetL L'air mutin
Il grommela un "imbecile" préalablement machouillé, haussa le volume de la radio et se concentra sur la route. Mais comment faisait elle pour ne pas se rendre compte d'à quel point c"était douloureux pour lui. Sans doute beaucoup plus que pour elle.
Ils arriverentd devant chez elle. Il se tourna lentement
- Ca y est , on est arrivé. Hum.... Ecoute, je suis désolé pour ce qui s'est passé
Elle le regarda froidement , ouvrit la portiere. Il était vraiment stupide ou il imitait le cretinisme à la perfection ?
- Il ne s'est rien passé. Et c'est bien ca le probleme
Elle claqua la portiere et marcha rageusement vers la maison
Il la rattrapa un peu plus loin
- Je deteste quand tu es comme ca. Alors arrete. Tu crois que c'est facil pour moi ? Je sais que c'est pas vraiment comme ca que tu t'attendais que la soirée finisse. Mais on merite mieux. Non , TU merites mieux. C pas comme ca que je voyais .............
Enfin bon, fais comme tu veux.
Il deposer un baiser leger comme le vent sur ses levres et marcha ( s'enfuit ouais, couille molle ) vers la voiture


Suite plus tard

Vendredi 24 février 2006 à 5:14

Amis du soir bonsoir

Je me rends compte que finalement, les souhaits peuvent juste etre quelque chose de creux qu'il vaut mieux ne pas exaucer. Ou en tout cas, qu'il faut choisir le moment.
J'aimerais bien des fois n'avoir jamais deamndé cke j'ai demandé. Mais je l'ai eu. Alors il va falloir que je fasse avec.
Mais bon, j'avouerai que ca m'ennerve des fois. Ca m'attire presque autant de problemes que de plaisrir. Et je n'aime pa les problemes. Et tout ca pour rien, en plus. J'en ai marre que ca dure.Mais ca ne s'arretera jamais, n'est ce pas? Porukoi ? Paske je ne suis pa sur d'avoir envie que ca change. Et il n'y a pa que ca que je veux voir immuable. Je ne suis pa pret. Et elle non plus. C'est la vie. La mienne, ne tout cas. J'aimerais qe ca change, mais ca ne le fera pas , n'est ce aps. J'aimerais bien que tout change, quelque fois, mais ca ne sera pa le cas. Quelle misere, n'est ce pas ? J'ai faim de tout . De savoir, de plaisir, de joie , de peine. Mais je ne suis rasasier de rien ,emem pa de douleur. J'aimerais tant que ces cris dans ma tete cessent. Mais ils restent, lanccinant, cruels, me devorant peu à peu de l'interieur. Et le pire, c'est que j'aime ca presque autant que je deteste ca. Je dois etre fou. Non, je suis fou, ca , ca ne change pa; Mais uq'est ce que la folie , apres tout, si ce n'est un decallage par rapport au psychisme classique, si le psychisme claissique existe vraiment .
Bah, ce n'est pa grave. Je reviendrai à ma prise de tete naturelle. C'est un fait que je sois cinglé. Mais je veux quelque chose, mais je ne sais quoi . Ptete une pipe ................ Non, ca serait trop trivial. Agreable, mais trivial. Non ,en fait, je cherche kelke chose de plus ......... grand. Oui, grand est bien le terme, je veux un changement. Mais lequel ? Lequel ? J'aimerais tant savoir .............



Je souffre de ca. C'est desagreable, mais c vrai. J'en souffre, de cet immobilisme. Et le pire, c'est que personne ne peut m'aider. Tout le monde me sort les meme fadaises " tu ne fais pa d'effort " Mais allez tous vous faire FOUTRE. Vous ne savez rien ,vous qui parlez. Vous pensez savoir, mais que connaissez vous de ma petite personen ? Hein ? Rien , c'est ca le problem. Vous vous imaginez max, mais vous ne connaissez pa max. La seule personne qui me connait ne le sait meme pa. Amusant, n'est ce pas ?Tripan ,meme. Mais agacant. Je ne peux meme pa en parler. A qui en parler. Le monde est partiale. Entre celles qui n'en ont rien à foutre, let celles qui sont impliquées ou tout simplmenet celles qui vont mal le prendre à qui parle ? A personne. paske personne ne comprendrait . Je n'arrive meme pa à le dire. Alors l'expliquer? De toute facon, kan j'essaie, on me regarde comme une bete curieuse, et on me dit que c'est de ma faute .Et apres, on me dit uqe je ne parle pa. Oui, je ne parle pa , et koi ? Ca vous defrise ? Ben pa moi . Max ne parle pa de lui mem , c'et un fait. Je n'oblige personne à m'aider. Mais personne ne m'oblige à accpeter son aide. Ca vous vexe ? Je m'en moque. Vous meme ne vous laissez meme pa aider, alors pourkoi me forcer ? Je ne veux pa , c'est tout . Laissez moi

Mercredi 15 février 2006 à 1:41

J'inspire, J'aspire a cet instant eternel
Un moment De paix royal, mais illoyal
Mes peres pleurent Mes defauts et mon defaitisme
Mes soupirants meurent de ma desinvolture
et mon amour s'emiette a chaque Souffle de vie

J'ai peur des tenebres
pourtant j'y vais a pas de courses
Je m'y risques sans pensees Aux autres
J'y vais sans penser a moi


JE me jettes Dans la gueule grande ouverte de ce loup Affame
QU'ai je fait? Ke m'a t on fait?
Je me sens defaillir, envahir
Trahir, et trahis..

Mes regards se perdent dans l'horizon
Mon Ame soeur se morfond de mon sort
Et la Mort Se confond parmi les siens.
Que suis je? a part une ombre sans ame?


Delivrez moi tout puissant Etre
Des Cieux, des Tenebres, des environs.
J'aspire a connaitre la reussite Ave cun bien fait d'effort
Tant voulu et merite..

DnG
JE me sens Vide, Etrange, Sans plus aucune etreinte
Je me sens defaillir

Mercredi 15 février 2006 à 1:38


OUaiche
Hier soir, on m'a posé une question assez amusante.
Peut on aimer et detester quelqu'un en meme temps ?

Pour moi, la reponse est sans hésitation oui.
Et pour une fois, je vais meme vous faire un detail de la reponse ( et apres , on dit que je suis pa délicat. Les cons ! )

En fait, l'amour et la haine ont la meme source emotionnelle : la passion. Et c'est l'une des emotions les moins controlables ( si ce n'est la moins tout court ). En fait, ce sont meme des emotions purement oposées. Dun coté la haine, c de la passion négative. L'amour de la passion positive.
Dès qu'une péripétie un peu forte arrive, elle peux faire basculer d'un coté comme de l'autre.
Et ca peux etre vraiment nimporte quoi
Comme quelqu'un de jaloux qui s'en veux et qui transforme l'objet de son desir en objet de haine.
Mais ca peux etre plus banale. Quelqu'un d'amoureux qui voit l'objet de son amour tomber amoureuse ou tout simplment triper avec quelqu'un d'autre
Mais ca peux tout aussi bien d'etre d'ordre "domestique" ou relationnel.

En fait, l'amour-haine a plusieurs ramification
C'est le doute et l'ennui qui arrivent, l'épuisement du désir, l'incompréhension, l'habitude, l'indifférence, l'éloignement, la déception, le ressentiment . Il survient une interruption de communication, comme rien n'avait jamais existé
Sans compter d'autres facteurs, comme l'absence, la frustration, le manque.
La haine apparait dès qu'on se rends réelement compte que l'objet de la passion peut devenir un objet de sa propre destruction. Sa propre faiblesse devient une source de conflit interieurs, à la recherche d'un bouc emissaire.
Sans oublier que l'amour ou la haine de soi sont suffisamment forts pour supplanter la représentation du jugement d'autrui et de soi meme.
Spinoza a dit que si quelqu'un imagine que qu'un autre que soi emem s'attache la chose aimée par un lien d'amitié ou un lien plus etroit que que celui par lequel il l'avait seul en sa possession, il ressentira de la haine pour la chose aimée et enviera le rival. Malin , le spi, non ?
Alors donc, craignant les consequences nefastes qui s'augurent à travers les intentions agressives d'autrui, on anticipes els eventuels represailles et nous nous mettons à vouloir le plus grand mal à l'objet aimé, car il pourrait etre en position de nous faire du mal, reaction de pure auto defense. Donc, en prenant les devant, on se laisse envahir par la tristesse, tristesse n'ayant comme consequences que de nous detruire mentalement. Tristesse, qui va nour forcer à adporter des comportements clairement agresseif, comportement qui ne pourra que valoir la declartion de l'agressivité latente egalement enfoui chez l'etre aimé.
Bien sur , ces brusques acces de colere ne sont motivés par rien de concret, le sentiments de colere ou de joie n'ayant aucune base réelle , des le depart

Freud simplifiait en disant simplment que dans la notion d'amour, la possession rentre en grande part. ès lors que la possession est menacée, la haine surgit, arme au poing, oposant la libido à la destructo, les deux plus grandes pulsions humaines.

L'amour , c l'un des rares trucs qui se controle pas , tout comme la haine.


Alors , vivez heureux, vivez pragmas

Dimanche 12 février 2006 à 23:39

Ses bras m'enserrent mais mon ame reste de glace
Mes mots restent plaqués au fond de ma gorge.
Quelle importance auraient ils vraiment apres tout ?
Je la regarde, mais mes yeux, toujours sont flous
J'aimerais revenir abien vant que ne se forgent
Ses sentiments troublés qui ne me laissent que las

Le monstre vert me devore les entrailles , peu à peu
Ne laissant que la carcasse, un cadavre vivant mais creux
Comme j'aimerais que cette vision me laisse enfin
Je voudrais juste pouvoir me refugier contre son sein
Mais cela m'est interdit, maintenant, peut etre à jamais
Tant que cela restera ainsi, une perte de temps stérile
Un bete reve perdu dans une réalite sortide et servile
Tant pis, c'etait un joli reve, juste un peu surfait
J'aimerais dire que cette sensation puérile disparaitra
Mais cela ne serait etre, plus maintenant, plus apres ca
Cette situation m'emprisonne dans un oroboros infini
Et cela, je ne pourrais le supporter, je deviendrais fou
Alors, je pars, je me laisse endormir par ce cri
Cet appel lanscinant pour me trainer au fond de ce trou
Ce precipice sans fou qu'on appele la solitude
Mais apres tout ,n'est elle pa ma plus vielle camarade ?
Alors , je la rejoindrait, elle et ses turpitudes
Apres tout, ca ne sera qu'un episode de la vie d'un barde

Dimanche 12 février 2006 à 23:17

c'est l'histoire de pierrot

c'est un ptit meunier

il n'a pas de fric

mais bon

il ferait nimporte quoi pour y arriver

alors

en plus de la farine

il decide de faire un trafic d'heroine

farine : blanc

heroine : blanc

donc , il se dit qu'il se fera pas chopper

alors, pierrot commence à melanger les deux poudres

resultat, dans sa ville, on vient acheter son pain par kg
Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( jeet defends de raconter des histoires a des enfanst toi..)

et il commence à se faire plein de thunes


mais , tu vois, la boulangerie, elle est pa à lui

Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( Je t'interdit de regarder la tv aussi. )

et un jour, le maitre boulanger lui demande de remoudre toute la farine, pour le punir, parce qu'il etait jaloux

resultat, periot se tape 2 kg d'heroine dans le nez

et il a le bad trip du siecle


il commence par se voir devenir gigantesque

puis, soudain , une fée lui apparait

et lui dit ; pierrooooooooooooooooooooooooooot , c'est pas bien ce que tu as fait

comme pierot, il est geant, il l'ecrase contre un mur comme si c'était un mousitque

" ta gueule connasse "

puis, 20 minutes apres, une autre fée apparait

pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot , c'est pa bien

paf, une autre tache sur le mur

il en ecrase 20 des comme ca

il est tout gueze et tout

et puis

soudain, il voit une superbe épée flamboyante

il la prends en main

et une voix lui apparait soudainement, et lui dit : pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot, il fo que tu affrontes l'horrible brutos

l'horrible brutos etant un etre maléfique qui passe son temps à terroriser les femmes et les pitits nenfants

alors, pierrot prends son epée magique et affronte brutos

c un combat epique de 3 minutes ( pierrot , il est shooté , alors il est rapide, ce con )

et paf, il delivre la charmante princesse

super bonne et tout

et bon

elle commence à le remercier

et paf

il la saute

et c tellement bien

qu'il s'endort comme un pepere

kan il se reveille , il est au poste

au final , il a gifflé sa mere 20 fois ( pierroooooooooooooooooooooooooooooooot , c pa bien ), il a ecrasé les gateaux ( il etait geant paskil marchait sur les figurines ) il a egorgé son boss ( brutos ) et il c tapé la femme du patron ( qui le remerciait vraiment, ce con )

moralité : fo moudre l'héroine au mixer



Ceci ,n'est bien sur pas un conte pour enfant ( fasse le ciel que vous l'ayez compris ) mais juste un conte pour adulte demandé à 4h du matin ( fo pa me demander de raconter une histoire à 4h du mat, ca degenere toujours )
Désolé pour l'orthographe, c du copier coller

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