Jeudi 10 août 2006 à 1:22
Sire printemps se leva, et marcha, errant par monts et par
vaux, flânant ici et la, quand il l'a vit. Ses yeux se posèrent sur elle, la fée moria, celle qui trouble et qui
maudit.
Pourtant, il était soleil, pourtant, il était ciel, pourtant il était pluie,
pourtant il était vie. Mais son coeur battit pour la première à la vue de son visage qui
respirait l'ennui. Il s'approcha, luttant contre cette envie de courir et de la voler, retenir
captive celle qui détenait déjà son coeur. Il s'approcha doucement, se fondit dans la rivière et
elle se contemplait et resta là et écouter son chant. Cette ode était tellement mélancolique
qu'il se mit à pleurer, lui la rivière Elle se mit à grossir, à déborder, autant de
souffrance que d'amour, car si son coeur était pris, il ne pouvait rester avec elle. Il se
laissa emporter par le courant, lui qui était déjà dévasté, et attendit la nuit. Et sous la lumière
de lune laissa éclater sa douleur et son envie. Il la désirait, elle, l'objet de sa
passion, mais il ne pouvait lui offrir ce qu'elle désirait, car il était pas libre, enchaîné à
ses pouvoirs.
Il était le printemps, et il devait faire battre le coeur de dame nature. Et
pourtant, il resta, et chaque jour, il l'épia, changeant de forme à chaque fois. Tantôt
fleur, tantôt rosée, tantôt feuille, tantôt nuage. Chaque jour, il l'approchait, espérant un
jour qu'elle ferait attention à elle. Et puis, un jour, elle l'appela, lui, printemps
- Je sais que tu es la, être. Alors, qui es tu, et que désires tu, toi
qui m'observe depuis tant de tant. Quel est ton souhait.
Alors, il descendit de son nuage, et lui apparu dans toute la splendeur de son
apparat.
- Je suis printemps Je suis celui qui vit, et pourtant, je dépéris car tu m'as dérobé
mon coeur. Je ne puis rester, car bientôt viendra le moment du changement. Mais en échange
de mon coeur, je désire un présent. Une mèche de tes cheveux
Alors, Moria coupa une de ses mèches avec ses ailes, et la jeta au vent, qui, fidèle
destrier lui rapporta l'objet de ses désirs dans ses mors.
Printemps pris la mèche de cheveux et s'engouffra dans le vent, chevauchant les
alysées et hurlant son bonheur. Il n'avait été que nuage, mais face à son amour, il
devient soleil, il devient chaleur, il devint Eté.
Et tous les jours, il descendit auprès de son aimée, et s'assit auprès d'elle,
s'abreuvant de ses chants et de ses paroles, captant chacun de ses regards, volant chacun de
ses souffles.
Mais son bonheur devait tourner court. Un jour, Moria lui dit qu'elle devait
partir bientôt. L'heure était venue pour elle de rejoindre ses frères à l'intérieur de la
terre. Les fées n'appartenaient qu'aux fées, telle était la loi d'Oberon. Le temps était si
court, si court.
Eté fuit à travers la foret, hurlant sa peine et son désespoir. Frappant les
arbres qui perdaient leurs feuilles de terreur. Déclanchant des tempêtes. Et au coeur de
la foret, Eté devient pleur, devint pluie, devint Automne
Et chaque jour, il revint auprès de son aimée, lui déclarant sa flamme, lui
offrant son coeur, lui exprimant sa peine. Et chaque jour Moria le repoussa, fée cruelle d'entre
les cruelles. Et chaque jour, Automne s'enfuit dans la foret, arrachant plus de feuille,
terrorisant plus d'animaux qui s'enterraient dans la terre ou se refugiaient dans des grottes, craignant son courroux, effrayant plus d'arbres.
Puis, un jour, ce jour maudit arriva ou Automne trouva la clairière vide. Moria
était partie, s'envolant seule à travers les pierres et la terre. Cruelle objet de son désir.
Et automne maudit le ciel, et pleura, pleura, se vidant peu à peu de toute substance,
rugissant sa peine, et la crystallisant. De ses yeux sortirent de la glace et de la neige.
De sa bouche, le vent du nord mugit dans le ciel. A ses pieds, le sol gela. Ses cheveux se brisèrent.
Ses yeux moururent. Il pleura, pleura, assis au bord de l'eau. Peu à peu, la vie le
quitta, ne laissant qu'un vague débris plissé par le vent. Et automne devint hiver, vielle
créature assise dans la neige et froide comme la pierre. Son coeur était mort.
Il dormait depuis des mois, quand un son parvint à percer sa carapace de pierre
et de glace. Un chant, aérien qui se promenait dans la clairière. Il ouvrit les yeux, et vit
l'objet de son amour se regardant dans la glace. Elle était revenue. Moria était la.
Elle ne pouvait le voir dans cet état, vieil homme rongé par le désespoir,
craquelé par la pierre. Et il disparut dans les airs, et pourtant criant sa joie. Il plongea
dans le soleil, qui fondu son habit de glace, se lança dans le vent qui lui offrit des brises
pour chevelure.
Et soudain, il redevint chaleur, vie et plaisir, il redevint Printemps.
Et tel qu'il était,
il retourna épier l'objet de son amour. Sa moria
Il regarda le precipice en souriant, abyme tellement tentant. Il en
avait tellement assez. Cette solitude etait agacante, comme une mouche
tournoyant autours de lui. Plus il faisait d'effort pour la chasser,
plus elle revenait. Ca en devenait risible. Il sourit à cette idée.
Pourquoi était il la ? Cela meritait il tant de choses, apres tout. Il
avait joué et il avait perdu. Mais il avait perdu tant de chose, pour
un jeu tellement derisoire. Et pourtant, dieu seul sait ce qu'il aurait
donné pour gagner. Mais n'avait il pas donné assez, fait assez, dit
assez ? C'etait idiot. Pourquoi ne pas en finir, des maintenant. Il
avait deja abandonné tant de choses. Pourquoi n'arrivait il pas à faire
le dernier pas. Les larmes lui venaient aux yeux devant sa lacheté.
Meme ca, il n'y arrivait pas. Ne serait il qu'un perdant en tout. Cette
douleur etait abominable. Etre un raté n'est pas une tare en soi. C'est
le savoir, qui etait dur. Et c'etait dur, tellement dur. Sa tete lui
semblait si lourde, comme prise dans un etau, broyant chacune de ses
volontés, de ses decisions, les unes apres les autres . La defaite a un
gout amer, mais la, c'etait fieleux. La liste de ses echecs etait elle
donc sans limite. Seigneur qu'il en avait marre. Il aurait tellement
donné pour que les choses soient autrements. Que ca ne soit jamais
arrivé. Qu'il ne soit jamais venu. Mais il avait fait un choix. Un
mauvais choix, certes, mais un choix, tout de meme. Et il devait
l'assumer. Mais, il n'avait pa envie de continuer. Tellement de choses
perdaient leurs saveurs, au fur et à mesure du temps. Il en avait la
poitrine en feu. Pourquoi ses larmes ne coulaient elles pas. Il aurait
tellement voulu deverser un torrent de larmes, qui auraient evacuées
tout ce qui le rongeait. Mais elles restaient la, au bord de ses yeux,
perles de haines. Sentir que l'on souffre, etait ce cela, la vraie
decheance. Il aurait tellement aimé que ca s'arrete
Mefie toi des out love, coller, serrer, on crois,
Amour trop peu serieux, Love Story d'une soirée,
C'est sur, clair, faut pas compter sur elles,
Des meufs bien y-en a peu, et des perfides y-en a trop,
Toutes les mêmes meufs, toutes les mêmes, sapées chère chez City.
Si tu crois que tu peux te situer en ce que je dis,
Fils fais lui fianscon, mais si y a quid,
Deviens méfiant et fais plus fianscon. L'amour c'est comme l'eau,
Dans notre vie on en bois des littres, l'autre nous promet fidelité,
Nous de même donc on baisse la garde,
Jusqu'au jour ou on se fait berner, ou on pète les plombs comme Bernie,
Nerfs à Vifs comme De Niro, le plus dur dans tous ça ne pas délirer.
Refrain (x2)
De la Chine à l'Autriche, en passant par Miami Beach,
Toutes les mêmes meufs, mêmes mimiques, mêmes mic-mac,
Aucune est unique. Toujours les mêmes meufs,
Toujours les mêmes blufs, toujours les mêmes seufs
Détourner par les mêmes reufs.
Toujours les mêmes meufs à resse, avec les mêmes chichis,
Les mêmes pièges, méfie-toi d'elle
Car elles restent fidèlent jusqu'à ce qu'un gars l'assiège
Ensuite c'est un autre cliché, tromperies, pêchés,
Début d'une vie émméchée, toujours les mêmes bluffs,
Qu'elles sortent pour te leurrer, toujours les mêmes raisons pour pleurer,
Se faire excuser de ses pêchés, et de ses erreurs passées,
Comme dit AntilopS.A., la vie faut pas la lécher,
Les meufs non plus, mais se méfier de leurs facécies,
Et si t'éfface aussi ta vigilence envers elles,
L'étau se reserre et par la suite laisera de grosses sequelles mec.
Refrain (x2)
Tu dis que tu m'aimes voudrais des mômes de moi,
Et moi de même de toi, me fais croire en l'amour eternel,
Belle vie, et comme toi y-a pas plus fidèle,
Donc je tire un trait sur mes ex, mes futures carrières,
Que toi tu y compte, j'arrive même à dire à mes pôtes
Que je t'aime même si ça me fais honte.
J'ai pleins de truc à faire mais là j'ai pas le temps car je parle d'amour,
De toi et de tes "je t'aime pour toujours c'est avec toi que je veux tout partager".
Mais merde j'ai vu rouge le jour où ton ex t'as embrassé,
Trop affaiblis pour réagir ce jour là alors j'ai tracé,
Mais bon tu te souviens de la suite, une fin plutôt dramatique,
À croire que l'amour est factice, du moins celui qui se porte un tass fils.
Profiteuse, menteuses, et pétasses aux airs chaleureuses,
Méfie-toi de toute cette gente féminine aucune n'est sincère amoureuse.
Une meuf c'est pas un cadeau, je l'offrirai pas à mon pire ennemi,
Début de la galère et saches que les beaux jours sont finis.
Moins de sorties avec les potes, moins de repos,
Moins de soirées, début des prises de têtes, des obligations de te justifier,
Et tout ça pour quoi ? Pour une meuf qui te tromperait pour un rien,
T'es près à jurer sur la tête de ta mère que ta meuf bluf pas et t'aime trop à mort,
Mais si tu savais seulement je suis sur que ça te laisserai un gout trop amer.
Refrain (x2)
Jeudi 30 mars 2006 à 19:57
Je ne sais pas du tout à quel genre d'article tu t'attends, ni si tu t'imagines sincèrement que moi je serais sincère...
Bon je fureter sur le net et je suis tombé sur ça, âmes sensibles s'abstenir:
Susan DaLucci, 22 ans, originaire de la ville de Kittery dans l'état du Maine, se réveille un matin avec un horrible mal au ventre. Elle croit d'abord avoir la diarrhée mais se rend compte que le mal vient du mauvais "trou".Elle trébuche tant bien que mal jusqu'au toilettes. Au moment où elle s'assied sur la cuvette son vagin explose dans un bruit effrayant. Les instants suivants, un liquide visqueux coule de son vagin. Les voisins qui entendent les cris de Susan appellent la police. La police arrive après quelques instants. Ils découvrent Susan évanouie recroquevillée sur le sol de ses toilettes. Un des agents veut relever Susan. Au moment où il soulève doucement sa jambe, une petite bête glisse hors de son vagin. De ses jambes coule une substance verdâtre. L'agent en état de choc, regarde d'un air incrédule la petite bête qui tombe sur le sol : une petite crevette. L'agent sent son estomac se retourner et se retourne vers la cuvette pour vomir. Ce qu'il vit ce jour la, il s'en souvient encore aujourd'hui avec dégoût à chaque fois qu'il se rend aux toilettes. La cuvette des toilettes était remplie de petites crevettes. Si vous croyez avoir entendu le pire, vous vous méprenez ! Susan DaLucci est morte ce jour là, résultat de l'état de choc ainsi que de sa blessure grave à la tête. Elle avait sûrement dû se lever des toilettes pour voir ce qui coulait de ses entrailles. Effrayée, elle avait dû s'évanouir et cogner sa tête sur la cuvette ou sur le sol. Après enquête, la police arriva à ces conclusions : Susan avait acheté un homard vivant au Supermarché quelques jours avant sa mort. Elle voulut utiliser la queue de l'animal pour se satisfaire. Pour accentuer son plaisir elle tint un briquet allume sous la tête de l'animal qui réagît en secouant sa queue avec vivacité. La police a trouvé des cassettes vidéos pornos zoophiles dans sa maison. Le homard fut retrouvé dans la poubelle. La tête du homard était brûlée ; des traces d'ADN de Susan furent retrouvées sur le homard ainsi que quelques poils pubiens. Après examen du homard on constata que celui-ci était rempli d'oeufs. Les médecins pensent que pendant latorture, le homard a dû déverser ses oeufs dans le vagin de Susan. Sachant que les oeufs des crevettes mettent deux jours à éclore, les médecins supposent que le vagin de Susan avait un PH suffisant pour que les oeufs puissent se développer. Les oeufs crevettes du homard sont très petits. Mais pendant leur croissance, ils doublent de taille toutes les dix minutes. En sachant que le homard peut avoir des milliers oeufs, vous pouvez imaginer la souffrance qu'elle a dû endurer. Ce qu'on ne ferait pas pour son petit plaisir
Je sais je suis dégeu, et vache de pas écrire quelque chose de franc pour une fois d'être moi...mais c'est si facile de se cacher derrière tout un tas de trucs sans véritables significations.J'écoute Macy Gray je me trémousse parfois c'est marant à voir.Pour t'avouer quelque chose je trouve que tu as déconné grave en ne venant pas à Paris cette année...Vraiment c'est ce qui s'appelle jouer dans le travail.
J'y pense, mon soleil me manque, comme pourrait me manquer les pommes lianes...je ne pense qu'avec mon estomac...c'est afligeant.
Tu veux savoir à quoi je pense juste now, ben à mon future apart: un lieu où on aimera rester pour lire des BD, manger des tagliatelles/cabillau, ou même écouter un album de jazz...Un lieu où j'ai l'intention de mettre un peu de couleur, c'est pourquoi la prochaine fois que je pars à la République Dominaicaine c'est à dire au mois d'Aout ben je pense ramener de là bas des natif Haïtiens...Je parle pour ne rien dire c'est ma spécialité.
Tu sais si je l'aime autant c'est parce que il c'est réaliser ce que j'appelle le moment unique: tu sais quand tu te dis mais merde, j'ai en face de moi Ze personne.Et du coup je réfléchis à ce que pourrait être ma vie sans Ze personne et je me dis fade et sans interet...no quand même pas.Mon frangin qui a ce petit coté lucide des mineurs, m'a sorti un truc hier: les femmes espèrent toutes faire changer leur homme,et lui le mec il espère qu'elle ne changera jamais.En cela, je réfléchis comme un mec, je ne veux pas changer la personne avec qui je suis, j'aime indéfiniment plus que tout ceux qui crient je t'aime, moi j'aime à mourir.
bref c'est la vie qui veut ça.
Tu veux savoir à quoi je pense juste now, ben à mon future apart: un lieu où on aimera rester pour lire des BD, manger des tagliatelles/cabillau, ou même écouter un album de jazz...Un lieu où j'ai l'intention de mettre un peu de couleur, c'est pourquoi la prochaine fois que je pars à la République Dominaicaine c'est à dire au mois d'Aout ben je pense ramener de là bas des natif Haïtiens...Je parle pour ne rien dire c'est ma spécialité.
Tu sais si je l'aime autant c'est parce que il c'est réaliser ce que j'appelle le moment unique: tu sais quand tu te dis mais merde, j'ai en face de moi Ze personne.Et du coup je réfléchis à ce que pourrait être ma vie sans Ze personne et je me dis fade et sans interet...no quand même pas.Mon frangin qui a ce petit coté lucide des mineurs, m'a sorti un truc hier: les femmes espèrent toutes faire changer leur homme,et lui le mec il espère qu'elle ne changera jamais.En cela, je réfléchis comme un mec, je ne veux pas changer la personne avec qui je suis, j'aime indéfiniment plus que tout ceux qui crient je t'aime, moi j'aime à mourir.
bref c'est la vie qui veut ça.
Mardi 28 février 2006 à 0:11
Bon, piskil fo continuer, an nou ay
Alors, ou en étais je ?
Ah ,oui
- Tu me laisse entrer ou bien tu compte me laisser poiroter longtemps ?
- Je me demande repondiit il en prenant l'air le plus agacé qu'il put
trouvé. C'est pas vraiment une heure pour se pointer chez les gens, si
t'es pas au courant
Il s'effaca néanmoins pour lui permettre de rentrer
- Alors, continua t'il, tu me dis ce que tu fous chez moi à une heure
pareil ou bien tu preferes que j'utilise mes talents de sherlok holmes
?
- Je te laisse deviner, repondit elle , du tac au tac. Meme que si tu gagne , tu auras une recompense
- Mouais, pas confiance, retorqua t'il en essayant de chasser les idées
peu orthodoxes qui affluaient à la porte de son esprit . Enfin, bon . A
voir tes fringues, tu etais de sortie
- Bon debut , mais insuffisant
- Tu dinais avec un mec , et plutot interessant le mec
- Pourquoi tu dis ca
- Le wonderbra , repondit'il l'air amusé.
- Je vois pas ce que tu veux dire, bredouilla t'elle en croisant maladroitement les bras sur sa poitrine
- Ouais , ouais, ouais. La derniere partie, c'est qu'il t'a planté
- Ah ouais, et comment t'a fait pour croire ca ?
- Facile. Un , tu portes des talons. Deux, tu les as enlevé avant
d'etre arrivé dans l'appart. Ca veux dire que tu as marché jusqu'ici.
Et aucun mec decent n'aurait laissé une femme alors qu'elle et habillée
comme ca avecd un decolleté pigeonant. Trois, si tu n'avais pa été
planté , ce n'est pas chez moi que tu serais. C'est de la logique
simple. Je me trompe peut etre ? glissa t'il avec un sourire au coin
des levres
- Ouais, bon, on va pa epilogué. J'avais rendez vous, il m'a dit qu'il
a un imprevu. Il est trop tard, j'aurais pas de metro. Et surtout, j'ai
pa envie d'essayer. Donc , ce soir , je dors chez toi.
- Hein ? C'est pas un hotel , je te signale. Attends, et puis tu pourrais demander
- Non ,pas la peine de demander, t'a gagné. Alors, la recompense, c'est moi.
- Tu parler d'un recompense, grommela t'il. Bon, ok, ajouta t'il sur un
ton resigné. Prends ma chambre, je me contenterais du canapé. Evite de
fouiller partout por favor. Bon, va dormir, j'ai pa que ca à faire,
termina t'il en la bombardant sur le lit.
Il se dirigea vers la porte, se retourna, et ajouta
- tu peux prendre une de mes chemises, si ca te branche. J'espere que tu ne ronfle pas trop fort.
Il partit dans un eclat de rire en evitant un coussin.
Il avait bien besoin de ca. Enfin bon, ca ne durerrait q'une nuit. Et
puis le canapé n'etait pas si incofortable. La preuve, c'est qu'il
dormait deja dedans. Il ne s'etait meme pas rendu compte qu'il
somnolait. Il se laissait choir dans le canapé en grignotant un cookie.
Il esperait qu'elle ne s'incrusterait pas.
Cette fille etait un vrai probleme pour sa santé mentale. Elle balayait
toutes ses decisions avec une facilité déconcertante. Il devait dormir.
Ctait le moyen le plus sur de ne pas se prendre la tete. Il se
recroquevilla sur le canapé et s'ssoupi lentement.
Malheureusement, fortune est pa sympa
Il dormait depuis un moment quand soudain un grands fracas l'eveilla en
sursaut. Mais qu'est ce qui se passait encore ? Un tremblement de terre
? Un coup de mortier ?
Il se precipita vers la cuisine, en choppant un poignard de deco qui
etait accroché contre un mur. Il s'approcha en catimini , et degaina le
poignard, en esperant qu'il n'aurait pa trop de probleme. Il franchit
la porte à toute vitesse en criant ....... et tombant sur elle en train
de faire à manger
- BAKA !!!!!!!!!! Ca va pas de faire un boucan pareil à 3 h du mat ??????
- Arrete de raler , tu veux ? J'avais faim, et y a meme pas un bout de pain chez toi
- Mais .............
- Tais toi , et prends ca
Elle lui colla une assiete de pates entre les doigts, et il devait
l'avouer, ca sentait bon . En plus, il n'avait rien mangé depuis des
jours, et honnetement, il mourrait de faim. Alors, il pris une
fourchette, et commenca à picorer dans l'assiette. Qu'est ce que ca
pouvait faire du bien. Et elle avait l'air bizarre avec son tablier de
travers. Il se demandait eme comment elle avait fait pour arriver à
l'attacher toute seule. Il e mit à rire doucement dans son coin. Bah,
elle etait une amie avant. Autant eviter de se prendre la tete et la
considerer simplement comme une amie, ca allait plus vite non ?
Et il engagea la conversation, avec une assiete de pates , debout au
beau milieu de la cuisine avec une femme qu'il avait tenté de fuir
depuis presqu'un mois.
Elle avait l'air anormalement detendue. Ca faisait drole d'entendre un
rire dans cet appartement. En fait, il ne se rappelait meme plus
qu'elle etait la derniere fois qu'il avait bien pu laisser quelqu'un
rentrer chez lui. Et elle etait bien la derniere personne qu'il aurait
cru.
Et pourtant, ils discuterent de tout et de rien , jusqu'à ce qu'il se
rendent compte qu'elle sautillait d'un pied à un autre. Elle devait
avoir encore mal , mais elle etait trop fier pour aller s'assoire.
- On va dans le salon ?
Elle sortit de la cuisine en evitant de pousser un soupir de
soulagement. Ses pieds etaient dans une etat deplorable. Elle detestait
les talons. Mais elle n'avait pas eu le choix. Sinon , ca n'aurait
jamais marché Il s'assit sur la moquette , deposant sans tete sur le
fauteuil. Ce n'est pas vraiment ce à quoi il s'attendait comme soirée.
Ca faisait un moment qu'il s'etait habitué à sa petite routine. Metro
boulot dodo, ca n'avait pas que des inconveniants. Ca evitait de se
prendre la tete. Mais ca isolait, il ne s'etait pas rendu d'a quel
point c'etait vrait . Il se sentait bien comme ca faisait un moment.
Elle se coucha sur la moquette, et ils se mirent tranquillement à
discuter. Il se sentait bien. Elle etait bien. C'etait tranquille en
somme. Il avait toujours adoré discuter avec elle. Elle etait spécial.
Difficil à decrire. Il avait besoin d'o pour se raffraichir les idées.
Quand il revint, elle etait à moitié assoupie. C'etait tellement
mignon, qu'il ne put s'empecher........................ de lui
renverser la bouteille dessus
- Allez , hop , reveille toi, ma moquette, c pa un matelas
Elle lui balanca une chaussure, l'air carrement furibarde , en le
qualifiant de jolis noms d'oisieaux que je tairais pour les mineurs qui
sont par ici.
Soudain, elle se releva et tenta de lui coller son poing dans l'estomac. Mais il lui attrapa le poignet et la tira contre lui
- Tsssss quelle violence . Tu sais, c pas sexy , une meuf qui boxe à tout va
Pour toute reponse, elle lui projeta son genou la ou un homme n'apprecie pas beaucoup. Mais il bloqua sa jambe avec sa main
Il approcha lentement son visage du sien, et dit lentement, d'une voix presque inaudible
- Ya mieux comme facon de l'utiliser , non
Et il l'embrassa tendrement.
La suite apres, la je suis tchad
Vendredi 24 février 2006 à 5:36
Alors, où en étions nous avec les peripéties de notre jeune homme ?
Ah oui. Apres une nuit où lui et son amie ,ont fait ce qu'on passe la
nuit sur xxl , il est reparti dans son oiseau de fer, non sans quelques
regrets, mais bon, on ne fait pas toujours ce que l'on veux. La vie est
cruelle, quelques fois. Mais bon, quand il n'y a plus de choix.
So welcome to paname city , ses parisiens , sa tour effeil et ses
merdes sur le trottoir. La routine en somme. Il reprit donc ses
habitudes, ses amis, ses études. Mais je crains fort qu'il ne fut plus
le meme durant cette periode. Comprenez qu'il est assez dur de se
rappeler de ses cours quand on a des images qui dansent devant ses
yeux. Et lui, il tenait à ses images. Toutes ses pensées ne tendaient
que vers un regard chaviré, des levres gonflées par le desir, et des
cheveux eparpillées sur un lit. C assez dur de se replonger dans la
psychologie , dans ce cas surtout .
Pourtant, il le tenta. Mais comme tout étudiant avec les idées royalement ailleurs , il se vianda malproprement.
Il s'en foutait royalement, remarquez. Il n'avait choisit cette voix
que parce que c'était relativement facile. Rien à voir avec un plaisir
quelconque. Alors ca ou autre chose.
Non, il ne pouvait se laisser aller. Il n'allait quand même pas se
morfondre dans son coin pour rien. Le meilleur moyen de ne pas se
prendre la tête était encore de se noyer dans le probleme. Donc, il fit
ce qu'on evite de faire ce cas ci: Il lutina de droite à gauche. Et
pourtant, il n'arrivait pas à decrocher ce regard de ses pensées. Mais
qu'avait elle bien pu lui faire ? Cela semblait plus à un cauchemar
qu'à rellement ,une lubie passagère.
En fin de compte, il cessa toute relation avec qui que ce soit aussi
rapidement qu'il avait décider d'exagerer la dose. Il savait tres bien
que ca ne serait jamais une solution. Et puis, nul besoin d'une femme
pour oublier. Il suffisait qu'il s'occupe l'esprit d'une maniere
differente. Et aléatoirement le portefeuille. Il choisit donc le seul
truc qu'il avait dit qu'il ne ferait jamais: Il devint infirmier.
C'était plutot sympa en fait. Se sentir vraiment utile était un
sentiment somme toute assez grisant. Et puis, il se faisait un peu
d'argent comme garcon de salle, en attendant de trouver mieux. Il
travailla comme un fou pendant des mois, se contentant de sorties entre
amis de temps à autre , plus souvent autre qu'autre chose d'ailleurs.
Il preferait eviter les gens, pour l'instant. Il ressentait des choses
troublantes , et tant qu'il ne saurait pas ce que c'etait, il n'avait
pa envie d'approcher quiconque.
Malheureusement, fortuna est plutot cruelle avec les gens qui cherchent à eviter les problemes.
Ses pensées revinrent sur le devant de la scene alors d'une bête soirée
chez une de ses meilleures amies. Soirée ou il etait obligé de venir,
vu qu'il l'avait evité pendant quasiment un mois. Elle finirait par lui
arracher les yeux, et il y tenait encore un petit peu.
Une soirée "tenue decontractée" . Traduction , choisir le truc qui est
moins chic que le smoking et plus que le blazer. Pour un homme qui
s'habillait de chemises de surfeur, ctait tout de même assez agacant.
Il avait tendance à se voir comme un serveur en costume. Finalement, il
se contenta d'une veste demesurement longue. Elle se contenterait de
ses baskets. C'etait "decontracté" non ?
Il sortit de chez lui , et se dirigea en gromellant vers l'appartement
de son amie. Il aimait marcher à travers Paris. Il n'aimait peut etre
pas les gens dedans, mais paris, en elle meme , degagait une atmosphere
etrange. Surtout ce soir, par cette nuit sans lune . Il se sentait
badin, Peut etre finalement qu'une soirée tranquille ne lui ferait pas
de mal. C'etait toujours mieux que rien. Apres tout , il n'avait que 21
ans. On ne se terre pas chez soi , à cet age la. Il sonna , se sentant
rasseneré, soudainement. Qui sait, il trouverait peut etre quelqu'un
avec qui oublier l'espace d'une nuit sa solitude ambiante.
C'etait une fête assez animé; quoiqu'un peu guindé pour lui. Il n'était
pas tres social, encore moins quand il fallait parler , et la , on
etait vraiment la pour parler. Il se mit quelques trucs à grignoter
dans une assiete et se refugia sur le balcon. Qu'est ce qu'il n'aurait
pas donné pour etre chez lui .Il s'assit tranquillement sur un transat
et comtempla le ciel. Il se demandait ce qu'elle pouvait bien faire à
cet instant précis. Mais il ne voulait pas y penser. Rien ne servait de
s'imaginer des trucs qui n'arriveraient jamais. Mieux vallait
s'accrocher au present, et en profiter. Il se dit qu'il devrait peut
etre songer à courtiser quelques demoiselles. Ca ne serait peut etre
pas du luxe, apres tout. Il etait sur le point de se lever quand
soudain son amie surgit devant lui, le faisant presque sursauter
- Tu etais donc la?!? dit elle sur un ton de reproche
- Ben tu me vois, non? maugrea t-il
- Soit pas vache, j'ai besoin de te presenter quelqu'un , tu verras,
elle est super. Tiens, ajouta t'elle,justement elle arrive.
Il se tourna, interessé par la nouvelle catastrophe qu'elle voulait
encore lui balancer dans les pattes , quand soudain , il palit,
s'etouffant presque d'une bouchee d'aperitif. C'etait impossible.
C'etait ELLE. Ctait un cauchemar. Ca pouvait pas etre elle. Un ocean
devait les separer. Elle ne pouvait pas arriver. Pas maintenant.
- Alors, elle te plait, lui chuchotta son amie à l'oreille. C'est une
vielle amie à moi, ajouta t'elle. Elle debarque parce qu'elle s'est
disputé avec ses parents, donc elle a decidé de venir finir ses etudes
ici.
Une alarme etait en train de rugir dans sa tete. IL DEVAIT FUIR. Et
vite. Mais comment, par où ? Son portable !!!! . Il envoya discretement
un message à un ami pour qu'il le rapele et se prepara à faire face à
sa nemesis.
- Bonsoir, dit elle avec une voix velouté. Ca faisait longtemps ajouta elle, avec un sourire mutin
- Bonsoir, repondit'il en essayant de d'eviter son regard, et de ne pas
chercher une issue avec un regard de bête traquée. Hum, ca fait
longtemps que tu es la ?
- Depuis le debut de la soirée. Je n'ai même pas vu quand tu es arrivé.
- La discretion est ma marque de fabrique, non ? Et puis, je n'avais pa
envie de me faire remarqué , je n'avais pas vraiment envie de venir en
fait, ajouta t'il, en evitant le regard courroucé de son amie. En fait,
normalement, j'avais un truc à faire ce soir avec un medecin, mais il
ne m'a pa rappelé , donc j'ai cru qu'il avait laissé tombé. Quand j'ai
vu ca, je me suis dit " autant venir ".
Il essayait par tout les moyens de ne pas la deshabiller du regard. Il
savait que ca ne faisait que ca ne faisait qu'une année grosso modo,
mais il avit l'impression que ca faisait des siecles. Elle avait
quelque chose de changé , mais il n'aurait pu dire quoi. Il devait
partir. Pouquoi ce maudit portable ne sonnait t'il pas ?
- Bon, et bien je vous laisse, lanca son amie. Je prefere vous laisser entre vous .
Elle sortit avec un large sourire, en prenant soin de fermer la fenetre
du balcon derriere elle. Il lui garderait un chien de sa chienne, elle
et ses fichues manies d'entremeteuses.
Un silence pesant s'installa pendant une minute, quand soudain elle rompit le silence en se mettant à rire
- Tu etais un peu plus causant d'habitude.
- Disons que je suis un peu surpris. Tu etais la derniere personne que je m'attendais à voir ici.
- La vie n'est qu'une somme de peripeties. C'est bien ce que tu m'as dit une fois , non ?
- J'ai dit que la vie est somme de peripetie, pas que je suis une
calculette qui les avale. Ca m'arrive d'etre surpris. Mais j'ai vu pire
comme surprise ( tu parles )
- Tiens donc. Ce n'est pas ce que l'air terrifié que tu avais sur le visage
- Ah bon ? Et bien ...........
Il fut soudain interrompu par la sonnerie de son portable. Cet imbecile
avait pris son temps . Il se precipita dessus, et decrocha à toute
vitesse
- Allo ?
Une voix un peu ensommeillée grommella un " qu'est ce que tu veux
- C'est vous professeur , hurla t'il avec la voix la plus terrifié qu'il put reussir.
- Non c'est moi
- Ou ca ? Maintenant ? Mais ecoutez ................ Non ,j'y serais
Il raccorcha prestement, lanca des excuses à la volée , et se precipita
vers la sortie en priant pour que son hotesse ne le voit pas . Elle
tenterait de le tuer dans la minute.
Il fonca chez lui et ne se sentit reelement en securité qu'àpres avoir mis le verrou.
Il etait lache, il le savait . Mais il ne pouvait faire autrement. Pas
maintenant. Il avait presque reussi à se sevrer. C"était pas le moment.
Mais fortuna est cruelle quelques fois.
Elle etait patout ou il etait. A croire qu'elle le suivait à la trace.
Soirées, concerts, meme diners entre amis. Rien à faire, elle etait
partout. Et à chaque fois, il la fuyait avec une raison encore plus
minable que la precedente. Il devait fuir . C'etait une obligation. Il
y laisserait sa santé mentale, sinon.
ll s'abrutit par le travail. Et reussit à tenir 2 semaines sans meme lui adresser la parole. Il s'approchait de son but.
La nuit du 31 approchait. Et la fete d'anniversaire de son ami aussi.
Pourquoi fallait il qu'elle naisse le soir d'halloween. Enfin bon,
ctait son ami, il n'avait pas le choix.
Il aurait donné un bras pour ne pas y aller. Mais elle le lui aurait
arraché s'il ne venait pas; donc il fit contre fortune bon coeur. Et
s'habilla de facon à etre meconnaissable. Scream avait du bon. Un
masque qui prends tout le visage, une cape à cagoule et des rangers.
Pour deviner que c'etait lui, il aurait fallu etre devin. Et il avait
interet. Il s'occuperait du bar, il n'avait pas envie de se faire
draguer. Pas maintenant. Et surtout, il n'avait aucune envie de la voir
, elle. Alors, autant jouer sur la carte de la discretion.
L'aprehension ne le quitta pas de la nuit. Pourtant, c'etait une bonne
soirée. Il avait toujours aimé s'occuper des cocktails. Et preparer des
trucs que seul lui pouvait avaler sans probleme. Il revit deux trois
amis . Mais elle ne pointa jamais le bout de son nez. Et bizarrement,
ca l'inquietait un peu. Ce n'etait pas normal. Il se serait plutot
attendu à la voir la à la premiere minute du premier morceau de la
sono. Il y avait quelque chose qui clochait. Et il devait en avoir le
coeur net.
Donc, il deglutit lentement, et se dirigea vers son amie.
- Ou est elle ?
- Qui ?
- Ta voisine , cretine.
- Qu'est ce qui a ? On est inquiet pour sa meuf ?
- Hahahaha ! Ton humour me laissera toujours pantois. Bon, allez, ou elle est ?
- Je sais pas. Elle est pas venue
- Comment ca, pas venue.
- Elle n'a pa mis les pieds dans mon appart ce soir. C'est mieux ? J'ai essayé de l'appeler , mais ca reponds pas.
Réaction bizarre d'un homme qui cherche à fuir une femme, il traverse
paris à pied pour se rendre chez elle ( vous imaginez bien que les
fringues, ca a pa aidé. C que c lourd, une faux de 2m , meme en plastok
) Il se fait plein de mauvais films durant tout le trajet. Il s'attends
à un choc, une nouvelle grave. Et ce fait ouvrir la porte par un espece
de zombie en robe de chambre.
- Laisse moi deviner, la grippe ?
- D'apres toi ? articula t'elle entre 2 quintes de toux. Qu'est ce que tu fais la, demanda t'elle
- Je sais pas. Mais je sais ce que je vais faire. Je vais te coucher,
te faire un truc à avaler, et attendre que tu t'endormes. Allez, file
dans ton lit
Le ton ne laissant aucune replique, elle clopina jusqu'à son lit, les
poumons à demi arrachés. Elle avait vraiment l'air mal en point. Meme
lui, il ne pouvait la laisser dans cet etat sans rien faire. Alors , il
lui prepara une decoction et pendant qu'elle dormait, rangea un peu son
appartement. Qu'elle fouilli ladedans . La femme de menage devait etre
morte durant l'ere mezozoique. On aurait dit un vide grenier. Mais on
s'y sentais plutot bien.
Il alla lui dire au revoir, mais elle etait encore plus mal en point
qu'à son arrivée. Elle etait pâle à faire peur, et elle etait brulante.
Il ne pouvait pa la laisser seule. Pas cette nuit, en tout cas. IL
passa sa nuit à son chevet, passant des compresses sur son front, et
lui racontant des histoires ( vu qu'elle etait dans un etat comateux,
je pense que ca lui faisait une belle jambe )
Au matin, elle avait repris quelque couleurs, mais il ne put se decider
à partir aussi froidement. Au final, il passa 3 jours dans son
appartement, jusqu'à ce qu'elle soit dans un etat plus ou moins
satisfaisant. Apres, il decampa le plus rapidement possible en esperant
n'avoir plus jamais à mettre les pieds dans ce quartier
Mais il semblerait que fortuna n'aime pas ce mec.
Une nuit ou il etait de jour, donc, passablement crevé, on sonna à son
appart. Et le coup de sonnette etait rageur. S'il tenait l'imbecile qui
se permettait de se pointer à une heure pareillle. Il ouvirt la porte
violemment et se prepara à dire un chapelet de gros mots quand ses
injures mourirent sur ses levres. C"etait elle .............
Bon , ca suffit pour ce soir , la suite demain
Vendredi 24 février 2006 à 5:30
Ouaicheuh
ASSOCIATION DE GENS NORMAUX - TTC FEAT LES SVINKELS
Refrain
Association de gens normaux,
Que des types hyper sympa.
Albiance ultra amicale
Association de gens normale
L'occasion d'une video style "lucie avale "
Bedot , liquide jsuqu'au ptit tinams
j'te jure chui un mec normal
Le probleme c'est quand j'picole
J'deviens comme OJ Simpson
C'est la fete avecles ingals
Le grand partage de l'alcool
Y en a un qui t'a piqué ton verre , mais tu sais pas lequel
Normal si apres si j'men sors mal
J'me sens informe tellement j'dors mal
Et qu'dans ma piole, ca sens fort
Familiere, soirée banale;,
Avec ttc on buvait de la bierre
Mais jvous jure chui normal et j'ai rien fait msieu l'comissaire
Un mec normal, un espece rare à garder dans du formol
Qui va jamais à la pharma, qu'a fait normal sup et harvard
Un rappeur normal, un noir plein d'putes quirafle tout aux grammy award
Un mec normal qu'à peur d'un pitt et surtout qu'aime pas l'rap
Un mec qui economise comme un maudit pour mourir dans un virage en audi
Un quadr' grsouillet chez son psy qui s'fait tout ptit,
qu'a pa fait pipi au lit tard, se couche tot
Regarde pas d'films porno et surtout faute pas dans l'metro
Un mec qui sort des gaps sans faire un rot, compte deja en euros
Qui s'grille aucun neurone, pas un mec qui s'crache comme pauli
Ou un mec qui clache comme xanax, qu'a pris d'la dope un max
Et surtout qui s'en tape de faire des raps sur des mixtapes
Le soleil brille dans le ciel , il est deja midi
Je me reveille et dans la rue, tous les passants me sourient
Instantanement , j'oublie tous mes soucis
Je suis normal, depuis qu'ils m'ont fati sortir de l'hopital
Les gens qui passent ne comprenaient pas mes envies sales
Je me suis senti mal, ils ont froissé mes sentiments
Je me suis enfermé dans une salle en disant
Je suis brisé, je vous en supplie , laissez moi respirer
TTC, le groupe dans l'rap qui s'eclate.
C'est un coup de feu au milieu d'une salle de concert
Ca fait fuir tout le monde, sauf que toutes les rates ecartent
Place au spectacle. Dumbler jean, samplers ting
Plats , fine lames, chit , gratte,
tombeurs qui s'grattent
De l'amusement appetissant, voila cke c'est
Laissez place au style.
Puise le mec dans la discotheque qui rock la place d'cette fille
dans ses basket, chercher la compete sans etre hautain, honnete, respectueu
Meme vis à vis des produits defectueux
Meme vis à vis des produits defectueux
Refrain
Mais vie , c'est la vie d'bureau
Mais quand meme c'est babes
Rendez vous important chez le rebeu
Dej'ner d'affaire au kebab
Journée normale, reneaud espace,
ta future broute pour aller jouer dans le trou du cul du monde
Voir trois ploucs et deux vielles normales
obsédées sexuelles comme tout l'monde
Ou ptet un peu d'avantage
Si t'a l'matos pour un plan bondage
Mais pour l'heure c'est quality street , on va t'finir au finger
Laisse moi mettre deux doigts coupe-faim, dans ta boite à bonheur
Certains repetent que notre hip hop est conceptuel
Nos flow experimentaux et nos sons extremes, on s'en fout
On fait ckon aime, ce sont les autres qui sont fous
Je suis lucide,
levons les mains en l'air et soyons stupides
Si l'on nous supprimes, nos bouteilles,
nos appareils dentaires, nos bougies à la cire d'abeille
Nos caracteres, nos artes
Il nous reste plus qu'à faire du rap de gangster
Je suis caustique
Vive les alcooliques et mort au rap comique
Il flotte une ambiance bizaroide,
une seringue lyricale dans la veine ,
Tu t'vomis dessus
Ta glande tyroïdal s'agite, un coup sec sur la carotide
Tu creve tout de suite, t'es die
On s'branlerais sur nos tete afin qu'ca nous ranime et qu'on gesticule
Descriptif, toujours dans le timing,
la qualité de la rue dans tes oreilles,
j'ai commencé à raper dans des soirs du 19e sans splif conals
Des grands cones et leurs boss trouvent ca normal
Danturing, fight sur des raps ou dromes cartonnent,
un mal de crane carabiné tjours à la fin cette phrase
Recoit la comme un coup de fouet dans tes seves
T sur la bonne route pour l'extase
ou tu prefere est sodom' par un bus que par une phrase
Refrain x 2
LALALALALALALALALA
Vendredi 24 février 2006 à 5:28
Désolé si c'est pa extra bien raconté, mais je suis vraiment crevé
Bon , alors ils sont dans la bagnole en train de se faire chier à
savoir uqi va gauler l'autre en premmier
............................... Bon, ok , je peux faire mieux que ca
Il tapotait nerveusement sur le rebord du volant , ne sachant pas
comment s'y prendre. Mais pourquoi ne disait elle rien ? Bon, mieux
vallait abreger, un rateau ne tue pas.
- J'ai ....... enfin, je suis .............. Bon , je suis descendu
dans une suite, dans un hotel pas tres loin. Hum, tu veux un café ?
bredouilla t'il
Elle se pencha vers lui et deposa lentement un baiser sur les levres,
puis, avec un regard mutin lui chuchota lentement à l'oreille
- Tu y as mis le temps
Son coeur bondit dans sa poitrine, néanmoins, il fit tout son possible
pour garder un air impassible ( ce qui ne reussit pas tres bien )
Le trajet fut silencieux, aucun des deux n'osant ouvrir la bouche. Peut
etre avaient ils peur que leurs voix rompent le charme et que l'un des
deux ne fuit à nouveau. Il fut court, mais il lui parut interminable.
Cette succession de virage et de detours lemoussait de plus en plus son
courage. Il n'avait plus qu'une envie , s'eloigner le plus possible de
sa nemesis. Mais il ne pourrait pas lui faire ça une seconde fois, elle
ne le lui pardonnerait jamais. Et s'il pouvait se passer d'une amante,
il ne pourrait survivre sans son amie. Et puis, honnetement, il n'avait
qu'une envie, se retrouver sous une couette avec elle.
Enfin, l'hotel apparut au detour d'un chemin. La vue du batiment etait
en train de pulveriser ses derniers restes de courage. Il avait envie
de donner un coup de volant et de la ramener chez elle en quatrieme
vitesse pour retourner prendre un bain glacé. L'angoisse etait en train
de broyer son coeur. Qu'est ce qu'il allait faire ?
Avait elle senti ses intentions ou bien etait elle juste anxieuse elle
meme, il ne le saurait jamais, toujours est il qu'elle deposa sa tete
sur son epaule :
- Ne dis rien, l'implora t'elle. Emmene moi jusqu'à ta chambre, mais par pitié, ne dis rien.
Le ton suppliant de sa voix balaya toutes ses hésitations. Il ne
pouvait pas partir. Elle ne le supporterait pas. Et puis, ce n'était
quand même pas la mer à boire. Des centaines d'hommes auraient donné un
bras pour être à sa place. Alors, quel était le probleme. En son for
interieur, il savait tres bien quel etait le probleme. Une fois le
seuil de cette chambre passé, plus rien ne serait comme avant etre eux.
Il n'avait rien à gagner , mais tout à y perdre. Il perdrait son seul
coin de reconfort. Et il n'était pas sur d'avoir envie de le risquer
pour un bref instant de plaisir. Mais il n'était pas seul en jeu. Elle
avait probablement eu les memes tracas et pourtant, elle, elle avait
fait son choix, et elle avait choisi de se donner à lui. Pourquoi, il
n'en avait aucune idée. Mais il était un peu tard pour y penser. Il
n'avait plus qu'à esperer qu'il serait à la hauteur, ce dont il doutait
enormement.
Il coupa le contact, inspira longuement puis, descendit, fit le tour de
la voiture et la sortit de celle ci. Elle avait l'air si fragile,
presque terrorisée, et portant, tout en elle respirait le charme et la
sensualité. Il avait envie d'elle. Il pouvait essayer de se le cacher
tant qu'l le voudrait, mais il le savait parfaitement.
Soudain, il s'empara de ses levres, longuement, avidement. Il avait
faim d'elle, et ce soir, il assouvirait celle ci, peu importe ce qu'il
lui en couterait apres.
Suite apres
Non, je rigole. Ca continue tout de suite apres cette courte page de pub
Buvez de l'infusion " laxa ". Avec laxa , y a plus de tracas à part des
problemes de deboucheurs liquides qui peuvent pa tout enlever.
Me demandez pas pourquoi j'ai fait ca, j'en ai aucune idée.
Bon, j'en etait ou, moi ?
Ah oui , je me rappele. Pinaise, fo que j'arrive à faire ca sans
choquer toutes les personnes qui me prennent pour un gentil garcon.
Tssssssss, ca va etre raide. Derniere fois que je montre à quelqu'un
que je sais ecrire autre choses que des poemes gnanggna
Tout en continuant à s'embrasser, ils se rendirent labourieusement
jusqu'à sa chambre ( marcher, regarder et s'embrasser, c'est assez
difficile, si si, je vous l'assure )
Une fois la porte ouverte, ils se regarderent, legerement embarassés.
Il n'avait aucune envie de lui sauter dessus comme un soudard. Il
devait faire les choses dans les regles. Ca serait peut etre son seul
vrai souvenir de lui. Il n'avait aucune envie qu'il soit marqué au fer
rouge.
- Tu veux quelque chose à boire, baffouilla t'il en cherchant dans le
refrigerateur ? Y a plusieurs trucs, du thé , du café, du jus d'orange
, de papaye.........
- Tu as vraiment l'intention de m'eviter longtemps , le coupa t'elle.
Explique moi une chose. Je te plais, non ? Alors pourquoi des que tu me
vois , tu adopte un regard d'animal traqué. Pourquoi te fais je peur ?
Je n'ai ps de gros bouton vert qui suinte sur mon nez, pour autant que
je sache. Alors crache le morceau ou ramene moi, mais plus de demi
mesure.
Il poussa un long soupir lugubre, s'approcha d'elle avec un verre
d'alcool et s'adossa contre le lit, entre ses jambes, ( ca veux dire
que c'est son dos qui etait en contact, bande d'obsédés ).
- Tu t'es deja demandé ce que tu ferais si tu savais que celui que tu
veux, tu ne le verras qu'au moins une année apres. Ca veux dire une
année sans le moindre contact. C'est long. Et c'est dur, de rester
seul. Tu te dis qu'il merite d'avoir une epaule sur laquelle pleurer,
un dos contre lequel rire. Tu veux qu'il ait du plaisir à vivre, meme
si ce n'est pa avec toi. Peut importe avec qui il est , tant qu'il est
heureux, c'est l'essentiel. Tu n'as pas envie qu'il reste la, dans son
coin à attendre et à penser à une ombre qui est de l'autre coté d'un
ocean. Surtout si tu sens, si tu sais que tu ne le merite pas. Tu sais
qu'il vaut toutes les etoiles du ciel, tous les diamands du monde. Tu
sais qu'il merite ce qu'il y a de mieux. Et toi, tu n'es pas ce qu'il y
a de mieux. Pas tres joli, pas si intelligent que ca, sans thune, sans
travail ,sans avenir. Tu sais que tu n'as rien à donner, rien à offrir.
Alors pourquoi t'enteter à faire attendre quelqu'un que tu ne pourras
meme pas satisfaire correctement ? On ne met pas sur la sellete pendant
des années pour une vie de boheme, ca serait ridicule. Alors, tu
esperes qu'elle se trouve celui qu'il faut , et tu essaie de donner le
moins possible de raison d'attendre. Tu te descends, ut fais part de
tes peurs, esperant qu'elle te prenne pour un lache. Tu es brusque,
sauvage, avec un sens de l'humour douteux, voire grivois. Tu essaies de
le degouter le plus possible. Esperant que quand elle te laisse tomber,
qu'elle te fuit. Peut etre que quand elle te fuira, toi, tu l'oublieras
. Quand bien meme ne serait ce le cas, peu importe, ce n'est pa
l'essentiel. Et puis, tu .............
Elle le fit taire d'un chaste baiser
- Baka !!!!! Qui t'a dit que tu avais le droit de choisir à ma place ?
Je decide de qui je veux, quand je veux, ou je veux, de la facon dont
je veux. S'il refuse, que ce soit pour des raisons normales. Mas pas
pour une tentative imbecile d'auto destruction. Alors, tu arretes tes
betises, tu reflechis trois secondes à cette question bete : veux tu de
moi, ce soir ?
Il se releva, et la plaqua sur le lit , l'embrassant fougueusement,
aspirant litteralement ses levres. Il carressa ses jambes , presque
pieusement, tellement il avait l'impression d'etre au coté d'une
déesse. Il avait faim d'elle. Il remonta maladroitement, sa jupe,
carressant ses cuisses encore et toujours. Elle commenca à enlever sa
chemises, arrachant plus qu'elle ne deboutonnait. Elle fouillait ses
cheveux de ses doigts, cherchant à retenir ses levres, toujours plus.
Elle avait attendu ca trop longtemps, elle ne voulait pas que ca
s'arrete.
Il fit glisser lentement sa robe le long de ses jambes, explorant
chaque partie decouverte par l'absence du vetement. ce morceau de tissu
lui paraissait interminable telement son envie le rendait fou. Il
voulait explorer ce corps, indéfiniment. Il finit par enlever la robe,
devoilant un corps encore plus volupteux qu'il ne se le rappelait.
Cette incaranation meme d'artemis etait fantasmagoriquement affolante.
Et pourcette nuit, elle etait à lui. Il l'embrassa impétueusement,
presque avec violence. Dire qu'il l'avait refusée une fois. Quel fiéfé
imbecile il etait d'avoir laissé partir parreille vision. Peu importe
ce qui se passerait apres, il voulait profiter de cette ultime nuit.
Il carressa doucement ses cheveux , humant leurs odeurs. Il devora
litteralement le cou de sa "victime" aspirant les gouttes de sueur qui
commencaient à perler sur sa peau. Il voulait tout d'elle. Il degraffa
son soutien gorge, liberant les deux globes de chair emmurés dans ce
carcan. Il ne put retenir un gemissement de surprise. Seigneur dieu, Il
avait la perfection devant les yeux. Une pointrine telle que michel
ange lui meme se serait incliné. Il en emprisonna un entre ses doigts.
Quelle douceur sous ses doigts. Il en voualit encore, toujours plus. Il
prit l'un entre ses levres, goutant cette peau, l'aspirant,
l'embrasant, ses doigts se promenant le long de ses cuisses. Soudain ,
enhardit par un gemissement un peu plus sonore, il commenca à carresser
l'antre ses souhaits à travers l'ultime barriere de tissu restait entre
lui et elle. Sous ce contact, ele eu un brusque sursaut de recul, suivi
par un gemissement frustré. Il n'était pas le seul à en vouloir plus,
semble t'il. Il prolonga son massage, sa bouche partagée entre sa
poitrine et son ventre. Pourquoi lui avait t' on donné que deux bras.
Il en aurait voulu quatre, dix , cent. Il plongea un dogt dans on
intimitée. Elle se raidit sous le plaisir. Elle voulut se redresser,
cherchant peut etre à reprendre un peu le controle d'une situation qui
lui avait totalement echappé. Mais il l'a colla contre le matelas, lu
emprisonnant les main avec une des siennes
- Ce soir, c'est ma nuit, mes choix.
La maintenant toujours, il glissa entre ses cuisses et enleva l'ultime
gardien de sa pudeur delicatement avec ses dents ( s si, je l'ai deja
fait, c possible. Et ché meme vachemnt facile, mine de rien )
Ca y est, elle etait à lui. Fabuleuse vision, feminité incarnée. Et
elle était tout à lui pour cette nuit. Il plongea sa tete entre ses
jambes, lechant le creux de ses cuisses, faisant glisser ses doigts le
long de son ventre et de sa poitrine. Elle gemissait de plus en plus
quand soudain il baisa le fruit de son desir. Elle se cabra si
violement qu'il faillit etre desarconné. Il crut qu'elle allait
l'envoyer paitre quand elle ressera ses cuisses autours de son visage.
Il accentua la pression de sa bouche, donnant de court coups de langue
de temps à autres. L'etreinte de ses jambes se faisait de plus en plus
imposante ( mourir d'un devissage de tete , ca doit etre une chouette
mort, non ? ). Ce faisant, il introduit un doigt en elle. Elle attrapa
sa main qui courait le long de sa poitrine et l'attira à elle, le
decrochant de son nid. Elle le voulait en elle, maintenant.
Il ouvrit delicatement ses cuisses et s'introduisit lentement en elle.
Elle etait si acceuillante, s'en etait fou. Il l'embrassait
passionnement en augmentait la cadence de ses va et viens. Il voulait
que cela dure sans arret. Elle accompagnait chaque mouvement de son
coprs, le laissant monter et descendre à son rythme, tandis que le
plasir affiché sur son visage semblait augmenter en proportions. Ils
bougeaient à l'unisson su plaisir de l'autre sans que sa volonté parut
y avoir sa place. Ils ne vivaient plus out deux que par le plaisir
irradiant par l'union de leurs corps. Il sentit monter en lui un
plaisir plus grand que ce qu'il avait imaginé. Plus impetueux, plus
dominateur. Ils se rejoignirent dans l'extase avec un meme gemissement
à la limite du hurlement.
Il s'ecroula sur le lit, presque vidé. Elle se blottit contre l'air assouvie. Elle le mordit legerment au creux du coup
- Ca veux dire non ?
Ils eclaterent de rire tout les deux. Elle l'embrassait fougueusement ,
tandis qu'il sentait qu'il n'avait pa envie d'arreter tout de suite. Ca
serait une longue nuit
Surtout pour moi. Merdeuh, pourquoi y a jamais de femmes quand t'en a
besoin. Bon, vais encore passé ma nuit à conter les roses blueus sur
mon mur. Pauvre vie qu'est la mienne
Vendredi 24 février 2006 à 5:27
Il sifflotait en conduisant, l'air detendu, mais en son for
interieur, il n'en menait pas large. En fait, il avai surtout prevu de
l'inviter à diner. Il ne s'etait pas vraiment attendu à ce qu'elle
accepte. Enfin bon, il y etait deja, autant continuer.
- Je sais pas si tu as remarqué, mais des qu'on est dans une voiture emsemble, on pourrait entendre une mouche voler
- Tu n'es pas tres douép pour mettre à l'aise qu'y puis je ?
- Quoi ? Tu pretends que c'est de ma faute ?
- Toi , tu n'as jamais rien fait. Ce qui est peut etre le neud du probleme ........
Un silence glcial s'établit, chacun se renfrognant dans son coin. Le
plus dur pour lui, c'est qu'elle avait raison. Mais il n'était pas du
genre à avouer ses fautes aussi facilement. Il tourna legerement la
tête et la devisagea legerement. Elle avait l'air vraiment malheureuse.
Ses yeux commencaient à se remplir de larmes qu'elle essayait de cacher
le plus possible. Mais quand est ce qu'il etait devenu aussi cruel ?
Bon , il etait temps de faire un peu amende honorable.
-D'accord. Peut etre n'aurais je pas du te laisser en plan aussi
brusquement. Peut etre aurais je du t'expliquer pourquoi je pouvais
pas. Mais c'est pas ma faute. J'ai jamais été doué pour parler. Encore
moins pour m'excuser. Mais bon, je sais reconnaitre mes torts. Et la, c
pa mal ma faute
- Pas mal ?
- Oui, bon d'accord, c'est entierement ma faute. Tu preferes ?
Elle gloussa silencieusement dans son coin , essuyant maladroitement
ses yeux avec un ourlet de sa robe. Ce qui decouvrit encore un peu plus
ses jambes. Seigneur, la route ! Il devait se concentrer sur la route,
ne regarder nul part ailleurs !
- Je voulais te demander, tu as une preference pour la cuisine ?
- Quoi ?
- Chinois, japonais, kurde, italien, francais, vietnamien ? Quoi mets toi dans estomac toi ?
- Dis toi que j'espere que la surprise sera à la hauteur. Néanmoins ,
fais moi penser à te donner des cours de syntaxe. Ta grammaire laisse à
desirer
Il grommela un "imbéclie " largment machouillé et roula ves un petit italien, pres de la marina.
Il la fit descendre de voiture, lui prit le bras et lui demanda en prenant le ton plus guindé qu'il puisse imaginer
- Cela convient à madame ?
Elle rit legerement et prenant un air faussment mefiant lui repondit nonchallement
- Cela suffira pour cette nuit, j'ai envie de m'encannailler
Il eclaterent de rire et penetrerent à l'interieur du magasin.
C'était un petit restaurant feutré à l'atmosphere suave. Des tables de
merisier tres delicatement ourlées avec des petites nappes à carreaux
comme dans les restaurants italo-americains du debut du siecles. Des
fleurs un peu partout. De la lumiere tamisée. Un peu de bell canto en
musique de fond. Ce restaurant etait une petite perle pourtant tres peu
connue. L'endroit parfait pour emball........ pour courtiser
delicatement une jolie jeune femme.
Ils s'assierent à une petite table isolée dans le fond, et il commanda
deux verres de chianti. Elle etait sur le point de protester quand il
posa delicatement ses doigts sur ses levres en lui faisant signe de ne
pas refuser
- Je sais que tu ne bois pas d'alcool , mais c une occasion un peu
speciale. Je pars demain apres midi et j'ai envie de passer une bonne
soirée. Un tout petit peu de vin , c'est tout. Refuse pas ou je vais
etre obligé de faire mon air de cocker malade et mouillé
Elle sourit, amusée par le fait qu'il ne cesserait jamais de faire le pitre.
-Je croyais que tu n'etais comme ca que parce que tu avais le temps de reflechir avant de taper
- Meuh non, la betise intelligente, c'est un don inné chez moi. Tout comme le charme
- Sans hesiter. Pour la betise, bien sur.
Il sourit beatement et fit signe au serveur. Pour une raison qu'il
avait peur de s'avouer, il voulait que ce diner s'eternise. Il n'avait
pas envie d'affronter tout de suite le dilemme de l'"apres". C'était
trop tot. Il n'était pas sur de pouvoir la meriter. Encore moins de la
combler. Il etait totalement terrifié. Mais il aurait le temps de s'y
atteler plus tard. Pour l'instant , autant s'amuser.
- Servez à mademoiselle ce que vous avez de meilleur. Et ramenez du chianti ; sil vous plait
- Mais .....
- Chuteuh. Laisse moi faire. C'est ma nuit, tu as oublié ?
- Je n'ai jamais dit ca ......
- Tu as acceptée d'etre la; non ? c'est que tu me fais confiance, n'est
ce pas ? Alors, detens toi et laisse moi faire, d'accord ?
Se retournant vers le serveur, il reprit :
- Nous commencerons avec des antipasto di crostini alla napoletana,
puis, nous mangerons des Pasta ripiena, et on finira avec un moka glacé
Pendant que le serveur s'eloignait, soudainement, il prit lentemet se
main par dessus la table et plongea son regard dans le sien.
- C'est ma derniere nuit ici avant au moins un an. J'ai envie qu'elle soit parfaite. S'il te plait, laisse moi ce plaisir.
Il prit delicatement une meche de ses cheveux et la baisa ( ca devait etre plein de truc gras, beurk )
Juste cette nuit. Apres, ut feras ce que tu voudras. Nous sommes d'accord
Il avait l'air tellement fragile, qu'elle ne put lutter tres longtemps. En avait elle seulement envie ?
- Soit, fais ce que tu veux. Mais n'exagere pas trop la dose, d'accord ?
Il sourit, l'air soudain soulagé = et hela le patron pour remplacer le chianti par un Vin Santo.
- Il est legerement sucré, tu verras , c'est exellent
- Essairais tu de me saouler par hasard ?
- Ca se pourrait, repondit il d'un air malicieux
Ils etaient encore en train de rire quand le serveur revient avec leur repas.
Elle se regala, elle devait bien l'avouer, c"etait succulent. Il avait
assurement des gouts de maitres. Le moka etait une veritable merveille
Elle sirota lentement un vin chaud pendant qu'il reglait l'addition
Ils revinrent sur terre seulement quand il mit le contact
La quesstion qu'aucuns des deux ne voulaient poser trotait dans leurs esprit
" Et maintenant ? "
Suite plus tard ( tu me hais, hein ? )
Vendredi 24 février 2006 à 5:26
Vous voulez connaitre la suite hein ?
Bon, alors comme je suis sympa , je vous la donne
Une semaine s'ecoule sans nouvelle du couillon ( parce que lacher une meuf
en emoii juste pasrce qu'on considere que c'est pa assez bien pour elle ? mais faut
etre le dernier des rois des connards de basse caste , m'enfin bon )
Je pourrais vous raconter en detail ce qui c passé dans la tete de nos
protagonistes, mais comme je suis vache, je vous laisse imaginer.
M'enfin bon, notre " heros " n'a plus bcp de temps devant lui
Dring dring ( téléfone soné, pèsonn pa décroché , téléfone soné, pèsonn pa décroché .....)
Notre heroine était tranquillement en train de roupiller, son bouquin
d'histoire plus ou moins sur son nez........ Ah , vous voulez que je le
raconte plus ou moins dans un type de narration ? Pffffffff vous etes
lourds. Bon ok
Elle se reveilla en sursaut, se demandant qui pouvait bien la deranger
en pleine " revision " alors qu'elle avait prevenu tout le monde
qu'elle voulait etre seule. Elle se traina jsuqu'au téléphone, avec la
ferme intention de jeter tres désagréablement l'intrus
- Alloooooooooo ? C'est moi
Elle aura reconnu cette voix nimporte où. Que pouvait il encore
vouloir. Sa premiere idée fut de racrocher. Mais elle mourrait d'envie
de savoir POURQUOI il l'appelait. Et surtout, même si elle ne voulait
en aucun cas se l'avouer, elle avait désesperement attendu qu'il lui
parle
- J'avais reconnu , reponds dit elle d'une voix plus seche qu'elle ne
le voulait réellement. Si tu veux t'excuser, c'est un peu tard, je te
signale.
- Pas faux. C'est pas pour m'excuser. En fait, c'es plutot pour me faire pardonner
- Tu consideres que tu as quelque chose à te faire pardonner ? Tiens
donc, je vois pas quoi. C'est pas la peine , je te promets. Tu
consideres que c'était une erreur. Ou bien j'étais pas ton type, j'en
sais rien .........
- Stop, tais toi ! Toi , tu dines avec moi ce soir
- Toi, tu as bu quelque chose. Il est deja 8h je te signale. En plus, tu n'etais pa supposé etre deja parti
- Euh, disons que mon programme a été quelque peu bouleversé. Pour ca
que j'ai pa pu téléphoner avant. Alors, ajouta t'il d'une voix
suppliante, tu dines avec moi ? Steu plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!
- Tu sais que tu es pire qu'un gamin ?
- Je sais , c'est meme pour ca que tu m'adores. Bon , tu dis ça à tes renpas ?
- Ouais. Passe me prendre dans une demi heure
- Ouvre ta fenetre et regarde devant, pres de la route
Il ne pouvait quand meme pas etre la ? Il etait stupide mais quand meme
pas à ce point la. Et bien, il semblerait qu'il le soit. Il etait
tranquillement assis sur le capot de la voiture jouant avec son
portable.
- Dis moi, tu aurais fait quoi si j'avais refusé ?
- J'imagine que je serais passé par la fenetre et que je t'aurais
kidnappé tranquillement. Ou quelque chose d'equivalent du moins. J'ai
toujours detesté perdre.
Elle sourit dans le noir. Elle n'arriverait jamais à le comprendre totalement.
- Ok , je leur dit, me prepare et j'arrive.
- Une derniere chose, ajouta t'il d'une voix suave. Previens les que tu ne vas peut etre pas rentrer de la nuit .....
Son coeur s'arreta de battre une faction de secondes puis se mit à
battre à la chamade. Elle deglutit avec difficulté et racrocha le
telephone peut etre un peu plus violemment qu'elle ne l'aurait
souhaité. Mais comment ce petit ********** ( mettez celle que vous
préférez ) arrivait à lui faire cet effet la ? Elle n'y comprendrais
jamais rien. Enfin bon, elle verrait bien. Soudain , elle se precipita
vers la chambre de ses parents et leur brodda une histoire
invraisemblable. Mais pourquoi ne disait elle pas la verité ? Elle n'en
avait aucune idée. Peut etre avait elle peur d'etre decue à nouveau. Ou
etait ce juste parce qu'elle avait peur que la joie ( ou le desir ) ne
transparaisse trop à travers sses mots. Toujours est il qu'elle laissa
ses parents interloqués dans leur chambre et fonca dans la salle de
bain. Il etait peut etre insensible à ses charmes la derniere fois,
mais elle allait tout faire pour que ca ne soit pa le cas
Pendant ce temps , il etait nonchalement allongé sur le toit de sa
voiture et regardait les etoiles. Il aimait laisser ses pensées
vagabonder, mais la, elles ne faisaient que galoper en direction de
cette maison. Ou plutot vers la salle de bain. Imagine l'eau ruisseler
sur son corps nu .......... Non mais qu'est ce que c'était que ces
idées. Il etait en train de muter en pervers ou quoi ? Il fallait qu'il
se ressaisisse. Ce n'était quand meme pas la premiere fois qu'il
sortait avec une femme. Certes elle etait ravissante mais quand meme.
Non , c"tait faux et il le savait. Elle etait bien plus que desirable.
Elle etait tout simplment fantasmagoriquement affolante. Un ovni dans
sa vie qui avait collé sa raison sur orbite. Ca lui faisait mal de
l'avouer, mais elle etait tres importante pour lui. Et pa que pour
cette paire de ....... mirette ? Allons, resaisis toi, non de zeus. Il
se leva et s'assit sur le paillasson. Pour une raison betasse, il
preferait etre devant la porte pour la recevoir que dans la voiture.
Galanterie ? Tu parles. Il voulait admirer le spectacle ouais. Il
s'adossa à la porte et joua avec le paquet de cigarette sans nicotine
qui trainait toujours dans sa poche. Il crevait d'envie de s'en griller
une. Mais s'il y avait juste pensé, elle l'aurait laissé campé devant
la porte toute la nuit. Bon, tant pis, il se contenterais du bruit des
cigales. Il ferma les yeux et se laissa emporter par le champ de la
nature. Au moins, son coin etait agréable à vivre. Meme si ctait un peu
nulle part. Il commencait tranquillement à s'assoupir quand soudain la
porte s'ouvrit en grand. Il etait tellement desequilibré qu'il s'ecrasa
sur son dos. Quand il ouvrit les yeux, il avait une vue imprenable sur
la plus jolie paire de jambe qu'il lui eu été de voir ( du moins depuis
la semaine derniere ). Encore heureux qu'il fut un " gentleman " . En
ouvrant un tout petit peu les yeux, il aurait vu quelque chose qu'il
desirait enlever mais qui l'aurait empecher de conduire droti. Brrrr,
un peu de sereixu. Il se leva precipitement et se retourna pour
s'excuser quand il regarda vraiment ce qu'il avait en face de lui. Et
les mots mourrurent sur ses levres. Elle portait un fourreau noir si
moulant qu'on aurait dit une seconde peau. Cette gaine de velours
mettait incroyablement en valeurs ses courbes si sensuelles. Elle
n'avait pour toute parure que ses cheveux , qu'elle aviat laissé
flotter librement sur ses epaules. Ses yeux brillaient ( d'amusement,
probablement ) telles des opales dans leur ecrin. Seigneur ideu , mais
elle etait litteralement divine. Et il avait refusé CA ? Cretin ,
cretin, cretin , baka, estupido, fucking brat. Ca resterait un poids
sur sa conscience jusqu'à la fin de sa vie.
- Hum, tu es .......... hum, euh ..... On y va ?
Elle eclata de rire, lui prit le bras avec une douceur non feinte et l'entraina lentement vers la voiture
- Ferme la bouche, tu vas finir par baver
Son sourire mutin etait la plus belle chose qu'il avait jamais vu. Il devait avoir du sable dans les yeux la derniere fois.
Il mit le contact et se dirigea vers le restaurant
Vendredi 24 février 2006 à 5:24
Alors, ou en etais je dans mon recit ?
Ah oui
Replentons le decor
Lui, sortais de paname, retourne chez lui et invite une jolie mamzelle à diner.
Apres un pic nic sur la banquette arriere d'une voiture, au bord d'une
plage, nos deux protagonistes commence à s'embrasser. Lorsque nous les
avons laissés, notre seducteur du jeudi matin commencait à delicatement
embrasser l'epaule de la demoiselle. Retournons au feu de l'action
Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle ,
descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule. Sa peau
avait une odeur suave, entetante. Il commenca à degraffer son soutien
gorge tout en l'embrassant voluptueusement. Jamais un simple baiser ne
l'avait mis dans cet etat la. Et il avait bien l'intention que ca aille
de mieux en mieux. Il enleva lentement cette barriere de tissu,
admirant pour la premiere fois la perfection de ces globes. Seigneur
dieu, à ce stade la , ce n'etait plus des seins, mais des oeuvres
d'art. Il planta son regard dans le sien, ses yeux brillait d'exitation
mais aussi de frusration. Un regard à rendre fou un ayatollah. Il prit
l'un dans sa main et le petrir aussi delicatement que possible et
commenca a prendre le deuxieme entre ses levres. Elle gemit lentement
sous la carresse. Ca y est , il allait enfin assouvir son desir.
Le moment qu'il avait attendu tant de temps, qui l'avait tenu eveillé
tellement de nuit etait à sa portée , et la seule pensée qui lui
traversa l'esprit était qu'il ne voulait pas que sa premiere fois avec
elle se passe à l'arriere d'une voiture tachée du gras d'un sandwich.
Quel imbecile. Il avait une femme desirable entre ses bras qui s'etait
offerte à lui , et lui, il lui, il allait la repousser. Partagé entre
l'idée de se mettre des giffles et l'idée de laisser aller ses envies,
il se redressa néanmoins
- C'est l'heure, je te raccompagne chez toi
Elle se redressa sur un coude et le regarda, interloquée. Elle devait avoir mal entendu
- Tu plaisantes, n'est ce pas ?
- Non. J'avais dis 10h , on a tous juste le temps de se mettre en route. Une promesse est une promesse. Tu as oublié
- Tu te crois drôle ? Tu ne l'es pas. Pourquoi tu fais ça ?
- Ca ne me plait pas plus qu'à toi. Mais c'est la seule solution qui me vient à l'esprit
Elle fit lentement glisser ses doigts le long de son epaule et lui murmura au creux du cou :
- Tu es vraiment sur que c'est la seule idée qui te vient ...............
Ses doigts étaient d'une douceur folle. Il n'avait qu'une seule envie.
Tendre la main et passer ses doigts dans ses cheveux. Lui murmurer ce
qu'il ressentait en cet instant. Elle etait en train de le rendre
litteralement fou de desir. Mais il ne pouvait pas. Pas maintenant. Il
se leva ( la demarche un peu raide, il faut bien l'avouer ) et se mit
au volant.
- Reste à l'arriere, tu pourras te changer. Je ne regarderais pas dans le retroviseur. Tu peux en etre sure , soupira t'il
Elle recut cette phrase comme une gifle. Jamais elle ne s'étais senti
aussi humilliée. Non, ce n'étais pas de l'humiliation. C'était purement
et simplment de la frustration. Il ne pouvait pas lui faire ca. Pas
maintenant. Pas apres tout ca
Il demarra la voiture et brancha la radio. Il avait besoin de se vider
l'esprit. Ne pas penser. Srtout ne pas penser. Il l'entendait se
changer à l'arriere. Imaginer le frolement du tissu glissant contre sa
peau. Houla, mieux valait se concentrer sur la route, il allait finir
dans un fossé. Soudain, il sentit des levres se presser contre son cou.
Sous la surprise, il fit une legere embardée. Encore heureux qu'il ne
fut pas un trop mauvais conducteur
- Encore un coup comme ca, et on finit contre un arbre, lui signala t'il doucement
- Je voulais juste savoir si je te faisais quand meme un peu d'effetL L'air mutin
Il grommela un "imbecile" préalablement machouillé, haussa le volume de
la radio et se concentra sur la route. Mais comment faisait elle pour
ne pas se rendre compte d'à quel point c"était douloureux pour lui.
Sans doute beaucoup plus que pour elle.
Ils arriverentd devant chez elle. Il se tourna lentement
- Ca y est , on est arrivé. Hum.... Ecoute, je suis désolé pour ce qui s'est passé
Elle le regarda froidement , ouvrit la portiere. Il était vraiment stupide ou il imitait le cretinisme à la perfection ?
- Il ne s'est rien passé. Et c'est bien ca le probleme
Elle claqua la portiere et marcha rageusement vers la maison
Il la rattrapa un peu plus loin
- Je deteste quand tu es comme ca. Alors arrete. Tu crois que c'est
facil pour moi ? Je sais que c'est pas vraiment comme ca que tu
t'attendais que la soirée finisse. Mais on merite mieux. Non , TU
merites mieux. C pas comme ca que je voyais .............
Enfin bon, fais comme tu veux.
Il deposer un baiser leger comme le vent sur ses levres et marcha ( s'enfuit ouais, couille molle ) vers la voiture
Suite plus tard
Dimanche 12 février 2006 à 23:17
c'est l'histoire de pierrot
c'est un ptit meunier
il n'a pas de fric
mais bon
il ferait nimporte quoi pour y arriver
alors
en plus de la farine
il decide de faire un trafic d'heroine
farine : blanc
heroine : blanc
donc , il se dit qu'il se fera pas chopper
alors, pierrot commence à melanger les deux poudres
resultat, dans sa ville, on vient acheter son pain par kg
Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( jeet defends de raconter des histoires a des enfanst toi..)
et il commence à se faire plein de thunes
mais , tu vois, la boulangerie, elle est pa à lui
Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( Je t'interdit de regarder la tv aussi. )
et un jour, le maitre boulanger lui demande de remoudre toute la farine, pour le punir, parce qu'il etait jaloux
resultat, periot se tape 2 kg d'heroine dans le nez
et il a le bad trip du siecle
il commence par se voir devenir gigantesque
puis, soudain , une fée lui apparait
et lui dit ; pierrooooooooooooooooooooooooooot , c'est pas bien ce que tu as fait
comme pierot, il est geant, il l'ecrase contre un mur comme si c'était un mousitque
" ta gueule connasse "
puis, 20 minutes apres, une autre fée apparait
pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot , c'est pa bien
paf, une autre tache sur le mur
il en ecrase 20 des comme ca
il est tout gueze et tout
et puis
soudain, il voit une superbe épée flamboyante
il la prends en main
et une voix lui apparait soudainement, et lui dit :
pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot,
il fo que tu affrontes l'horrible brutos
l'horrible brutos etant un etre maléfique qui passe son temps à terroriser les femmes et les pitits nenfants
alors, pierrot prends son epée magique et affronte brutos
c un combat epique de 3 minutes ( pierrot , il est shooté , alors il est rapide, ce con )
et paf, il delivre la charmante princesse
super bonne et tout
et bon
elle commence à le remercier
et paf
il la saute
et c tellement bien
qu'il s'endort comme un pepere
kan il se reveille , il est au poste
au final , il a gifflé sa mere 20 fois (
pierroooooooooooooooooooooooooooooooot , c pa bien ), il a ecrasé les
gateaux ( il etait geant paskil marchait sur les figurines ) il a
egorgé son boss ( brutos ) et il c tapé la femme du patron ( qui le
remerciait vraiment, ce con )
moralité : fo moudre l'héroine au mixer
Ceci ,n'est bien sur pas un conte pour enfant ( fasse le ciel que vous l'ayez compris ) mais juste un conte pour adulte demandé à 4h du matin ( fo pa me demander de raconter une histoire à 4h du mat, ca degenere toujours )
Désolé pour l'orthographe, c du copier coller
Samedi 11 février 2006 à 4:13
IL la ramena à la voiture, grignotant rageusement ses pâtisseries. Il devait être mort de faim, apparemment
- Attend. t'a pas manges depuis 2 jours et c'est ce que tu trouves à
bouffer ? Mais on devait pas aller manger quelque part par toi et moi?
- Si, mais tu me connais deja, tu sais que je manges pour un regiment.
Elle rit doucement
- Bon, enchaîna t'elle, alors quelle plage tu préfères, demanda t'elle en regardant négligemment par la portiere.
- Aucune idée. la ou y a de l'eau, c parfait répondit il sans même la regarder
Cela l'étonna un peu, mais elle fit comme si elle n'avait rien remarqué
Bon je me suis payes un maillot je ne sai si te conviendra, mais au moins je sai ce que je pourrais me baigner
Il mâchouilla un Ok entre ses lèvres et continua à fixer froidement la route.
Son comportement commençait à l'inquiéter, donc elle prefera calmer le jeu;
- Tu sais que j'ai des devoirs a afire ce soir glissa t-elle ? Donc tu tien ta parole de 10h, ok ?
Il ne daigna même pas répondre. Il semblait totalement perdu dans ses reflexions
- Euh, bon tu m'as promis une heure de rentrée me fais pas avori trop de problème ce soir ok?
- Ok promis, répondit-il enfin. C'est juste un diner je vois pas
pourquoi tu stress. Relax... . termina t'il en mordant tranquillement
dans un croissant.
Le long du chemin ,il l'examina du coin de l'oeil, scrutant les cernes
sous ses yeux. Elle avait l'air épuisée. Voyant cela, il mis un peu de
musique, histoire de distraire son esprit sur cette fichue école ( qui
cesse pas de lui pourrir la vie, d'après ses propres termes)
- Alors Max tu es la pour combien de temps encore? est ce que j'aurais le e plaisir de te revoir aussi souvent que ca?
- En fait,je sais pas, je suis la que pour une semaine, question de régler deux ou trois petites affaires comme ca.
- Ok, mais tu aurais au moins pu me prevenir de ton arrive, je me
serais mis en valeur au moins. T'es chiant des fois...mais enfin.. si
ce n'ai pas trop indiscret, tu es venu régler quoi?
- Tu sais quoi ? Je me suis toujours demande pourquoi les filles étaient toujours aussi curieuse, pas toi?
- Il lui lanca un regard flatteur sur une expression un peu banal, la réponse n'était pas vraiment loin ( faut pas chercher quoi!!)
Elle se tue, comme vexée par ses commentaires.
Arrivés sur la plage,il s'étira longtemps et en grand. Mais elle resta
assise, un peu hébétée par le voyage et demanda innocemment :
- Je me change où moi, demanda t'elle ??? je veux bien me baigner, mais s'il faut que je mette le maillot...?
- Ben tu fous ton maillot répondit t'il du tac au tac , regarde, il n'y
a pas beaucoup de monde,je vois pas ce que tu as caches...
Il eut tout juste le temps de se baisser pour éviter la chaussure qu'elle lui lanca et sorti de la voiture en s'esclaffant
Elle ferma violemment la portière, maugréa quelques jurons bien sentis,
placa son paréo de maniere à dissimuler l'intérieur de l'habitacle et
se contorsionna, se débrouillant comme elle pu pour se changer.
Un peu déçue de son choix, elle descendit de la voiture, un peu
persuadé par les appels de son compagnon attendant pour aller se
baigner. Elle détacha innocemment le pareo, le laissa glisser à terre
et lui demanda si au moins ca lui faisait plaisir ce qu'elle avait pris
Le maillot était un bikini plutôt Sexy, quoi que banal , mais comme si
elle le connaissait depuis toujours , elle avait choisi des couleurs
qu'il aimait par dessus tout, un bleu turquoise comme l'eau d'un lagon
avec des filament de rouge virant de l'orange et au jaune com un couche
de soleil; Le maillot jouait un faux role de Balconnet, laissant
apparaître une généreuse partie de sa personne. Bref, bonnasse ; quoi
Il resta bouche bee, littéralement fasciné devant ce qu'il voyait, tous
ses doutes sur ce qu'elle pouvait être s'étaient dissout tout d'un
coup. Elle le regarda, lui demandant pourquoi il la fixait et bêtement.
il repris son air paisible et dis calmement
- Non juste que si il n'y avait pas plus moche oche que ca.
S'il était honnête avec lui même; ce maillot n'était pas vraiment sa proie a ce moment precis.
Presque furieuse d'avoir à subir autant de plaisanteries douteuses,
surtout d'une personne qui lui aussi avait tant attendu pour la voir.
Elle remis son Tee shirt aussi vite que possible et le poursuivit sur
la plage
Ils se mirent alors a courir sur la plage, lui se moquant de sa lenteur
et elle préparant un plan pour l'attraper ( aucune sens de l'humour,
les meufs). Mais elle n'était pas vraiment au bout de ses surprises; il
s'arrêta juste un instant pour lui donner du leste afin qu'elle le
rattrape, et une fois arrive vers lui, elle sauta , de façon à le
déstabiliser:
-Non ne fais pas ca tu vas me faire tomber
- C'est bien mon but, cretin
-Quelle gamine tu fais des fois.
- Attend, tu vois pas les conneries que tu me dis ? Entre te noyer et t'étrangler pas grand choix
- Tssssss, pourquoi tant de haine
ll la souleva et la plaqua dans l'eau. Immobilisée par son poids par
lui qui la maintenant sous lui, elle tentait en vain de se débattre.
Mais il continu de l'étreindre en la fixant...
-Tu regarde quoi com Ca toi?
Il la releva doucement, et passa tendrement la main dans ses cheveux. Et dis tout doucement........
- Rien, tu avais une algue dans les cheveux
Il l'enleva d'une pichenette et se glissa légèrement dans l'eau, se laissant porter par la vague
Elle le regarda, légèrement surprise. Mais il était tranquillement bercé par le roulis des vagues, dormant presque
Elle l'éclaboussa légèrement et se mis à nager nonchalamment dans l'eau
quelques temps après, elle le chercha du regard, bien décidé à le faire
bouger. Elle en avait un peu assez de son comportement lymphatique.
Depuis le temps qu'ils devaient se voir, il était trop distant, trop
glacial. C'était pas normal, ca cachait quelque chose
Mais il était introuvable. Ca sentait le coup fourré
Elle le chercha quelques minutes, puis se dirigea vers la voiture, se
préparant à s'appeler un taxi , quand elle le trouva tranquillement en
train de dresser une table de fortune sur la banquette arrière de la
voiture
-Je te devais un diner , non ?
Surprise par ce diner de fortune, elle se sécha comme elle pu de Sa
serviette, elle s'assit provisoirement dans la voiture en le gardant
faire, elle regardait d'étonnement mais aussi d'admiration
Lui poussait la chansonnette, une musique sortie de je ne sais ou et quelques minutes après déclara que c'était prêt
Tout les 2 s'assirent devant cette table improvise en tête a tête.
Comme s'il avait deja tout prepare, il y avait un chandelier a 2
branches, ils éclairaient déjà suffisamment, car le soleil était deja
coucher depuis 1/2 heure deja.
il s'assirent face a face se baignant chacun dans le regarde d l'autre,
quand soudain un vent frais Vint caresser son dos, et son visage a lui,
elle frissonna doucement, pour jouer son galant homme? Il sorti de
table et pris sa chemise qu'il mit sur ces épaules, il faisait enfin
preuve de rapprochement après tant de temps... ( putain de cabotin )
-Merci c'est gentil de ta part, je me doutais pa ce que tu pouvais être galant, ajouta t'elle d'un ton ironique
il la regarda d'un air moqueur, et se remit a table
les lumières des flammes des Bougies dansait sur son visage encore salé
et ensablé, il la regarda une fois encore plus fixement, mais cette
fois l'excuse de l'algue ne pouvait plus fonctionner.
- Je peux savoir pk tu me regarde Comme ca depuis un moment?
Comme surpris par un réveil il sursauta
-euh non pour rien laisse tomber, tu comprendrais pas!!
-Comment ca je comprendrais pas? je suis trop bete pour ca?? ou bien...
Pour éviter encore une fois de s'embrouiller inutilement avec elle, il
avoua que dans le noir , mais en vrai cette fois, Sa beauté était une
vrai merveille
Stupéfaite de cette réponse, elle rougit sur place
- le problème , c'est que je rêve de t'embrasser depuis si longtemps.
Et maintenant que j'en ai l'occasion, ma raison me dit de te ramener
chez toi , le plus rapidement possible. C'est bete hein ? Tant de temps
à rêver que de ca , et à deux doigts d'y arriver, c'est une bêtise
Elle écarquilla les yeux, littéralement abasourdie. Elle eut beau
chercher une réponse, elle ne put que le regarde fixement, l'air hagard
- Je ne reste qu'une semaine, continua t'il. Si je me laisse aller, kan
je repartirais, je deviendrais fou. Je ne t'ai jamais encore touché et
je le suis deja; je n'ose même imaginé ce qui se passerait si on allait
plus loin. Alors la, on va finir tranquillement de manger,et la, je te
raccompagne et je vais me coucher
il était en dilemme avec sa conscience, un coup il se disait si je me
laissais aller je deviendras fou, mais s'il ne réalisait pas se rêve
tant desire ils ne seraient plus que Frustre. Deja l'avoir touche dans
l'eau l'avait presque hypnotise , lors l'embrasser...
il agit alors comme automatiquement, comme si il n'était plus maître de
quoi que ce soit, il passa entre le chandelier, et d'un geste simple,
il la tin (ouais c vrai) par le menton et l'embrassa plus
langoureusement. Il se pencha si lentement, elle encore hagarde par ces
paroles, me laissant faire et rougissant par un baiser plus profond et
voulu.
Soudain, il se rassit ,la laissant hasardeuse dans ses pensées. Elle se
remit quand même vite, et comme pour se venger de son geste, elle se
leva brusquement et se rapprocha de lui. Elle s'assit à califourchon
contre lui, l'enlaça en l'embrassant beaucoup plus tendrement et
mensuellement qu'il ne l'avait fait auparavant.
Perdu pr ces geste, il reste Stupéfait , ls bras ballant dans le vent ,
les yeux encore ouvert de stupefaction. Puis reprenant peu a peu ces
esprit, il l'enlaça aussi doucement que si elle était faite de cristal,
la pencha lentement en arrière et l'embrassa dans le cou doucement.
Elle planta soudain son regards dans le sien et demanda :
- Alors ce baiser tant rêves ressemblait a ca au moins? Ce baiser était il aussi inintéressant que tu l'imaginais?
Il sourit lentement et déclara
- Mmmmmmmm, je suis pas sur, je me rappelle pas bien. On recommence histoire de me le remettre en mémoire ?
Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle ,
descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule
Vas t'il continuer ou sa raison reprendra t'elle le dessus ? Suite au moins quand je serais debout
La fatigue, ca me roussit pas
Vendredi 10 février 2006 à 23:01
Il est enfin chez lui. C'est la premiere pensée qui lui est venue quand
il est déscendu de l'avion. Beaucoup trop de temps, cette ile m'a
manqué.
Il héla un taxi et se dirirgea vers son appartement. Rien n'avait
changé, ou presque. Une route qui zigzague un peu par ici. Un nouveau
magasin par là. Mais ça restait sa ville.
Il flanna un peu dans les rues , puis alla à l'appartement de sa mere.
Il sonna et l'air hébahi de sa mère apparut dans l'entrebaillement de la porte
- T'es pa sensé etre en france toi ?
- Semblerait que non , vu que je suis devant chez toi. Tu compte me laisser devant la porte encore longtemps ?
Elle s'ecarta pour le laisser passer et il balanca son sac dans le salon
- Tu n'as toujours pas appris à ranger ton sac, apparement, dit elle , l'air dubitatif
- Je ne suis parti qu'une année. Tu croyais quand meme pas que j'allais
me transformer en mister parfait en un aussi court labs de temps. Tu
m'as fabriqué comme ca, j'te signale.
Il fouilla un petit moment dans son sac, sortit un tee shirt et grimpa l'escalier
- Je prends une douche et je pars, je suis en retard.
- Hein !? Mais ça ne fait que 3 minutes que tu es là !
- Je sais, j'étais la aussi tu sais ?
- Mais ou tu vas ?
- J'ai un rencart. Je sais pas quand je rentre au fait
- Non mais tu te fiche de moi ? Tu prends chez moi pour un hotel ou quoi ?
Il devalla l'escalier et embrassa le front de sa mère
- Meuh non , je prends pas chez toi pour un hotel. Juste pour chez moi.
Je reviens demain ou apres demain. Relax Mater, je serais là dans pas
trop trop longtemps. Et pis, au lieu de raler, rejouie toi du retour de
ton fils. Tu devrais etre contente non ?
Sur ces mots, il sortit de l'appartement et se dirigea en sifflotant
vers l'extérieur de la cité C'est fou quand même. Ca faisait 1 an qu'il
était parti et il savait exactement ou il allait. Il trouvait ça plutot
marrant. ( pour les personnes qui se posent la question , oui, je parle
vraiment comme ca avec ma mere. Si si si )
Il partit tranquillement en direction de la ville et s'arreta pres
d'une societé de locations de voiture. Il en lloua une petite et roula
vers la destination ou ses pensées se tournaient depuis si longtemps.
Son lycée.Son vieux lycée tout miteux avec le meme systeme pourrave
d'entrée apparament. 4 "gorilles" sensés empecher les intrus d'entrer.
Enfin , sensé. Suffisait de connaitre le truc. Dans les locaux de ce
bon vieux bahut, ils avaient installé un orgmanisme admnistratif ouvert
à tout public. Il suffisait de se pointer en disant que l'on allait au
cio , et paf, c'était une lettre à la poste.
Donc acte.
Il s'assit tranquillement sur les marches du premier étage et attendit
patiemment la cloche de 17heures. A ce moment , il sortit
tranquillement son portable et commence à composer un numero
- Allo ? Une pizza aux pépéronnis s'il vous plait
- Non mais t'es malade ? je suis en plein cours.
- C'est faux, je suis sur que t'es en train de sortir. Bon arrete de raler, je t'appele juste pour te poser une question
- Quoi encore.
- Juste une chtite question. Imaginons que tu sois invité par un
charmant type à diner ce soir, tu pourrais decommander tout ce que tu
as prévu ou tu as un emploi du temps fixe ?
- Pourquoi tu me demande ca ?
- Etude de cas, ne t'inquiete pas. Alors, ma réponse ? s'enquit il sur un ton faussement agacé.
- Tu me deranges juste pour ça ? Bof , j'imagine que me debarasser de
tous les casse pieds ne devrait pas être trop difficile. Ni même trop
désagréable.
- Et si tu devais dire à tes parents qu'on te depose, ils prendraient ça comment ?
- Je crois pas que ça les generaient trop. Au besoin je trouverais un bobard.
- OK , merci. Excuse moi de t'avoir dérangé avec des questions aussi betes. Bon moi ,j'y vais. A plit ta.
Il se leva, et se dirigea vers la grille et attendit qu'elle sorte. Et se contenta d'un charmant
- Hep, sexy
Elle ne lui accorda même pas un regard et se contenta d'un "Va te faire foutre" machouoillé.
Il s'inclina nonchalement sur la rembarde et dis sur un ton taquin.
- Je remarque que pour une meuf qui reve de me voir depuis une bonne
année, t'a pas l'air si emballé. Elle se figea un instant et se
retourna lentement.
- Crétin.
- Je vois que tu n'as pas perdu ce coté jouvencelle qui me plait tant.
- Mais qu'est ce que tu fais là ?
Il éclata de rire
- Mais qu'est ce que vous avez toutes à me poser cette question bête ?
Vous ne pourriez pas tranquillement etre contente que je sois là ? En
fait , je suis là pour t'inviter à diner.
-Tu plaisantes, pas vraii , demanda t'elle ?
- 600¤ Ca fait cher la plaisanterie non ?
Il prit son sac dans ses mains, mis passant un de ses bras autours de
ses épaules et se dirigea tranquillement vers la sortie du lycée.
- Allez relax, on va juste diner. Enfin , je crois . Enfin , j'espere.
Enfin c'est ce que j'avais prevu en tout cas. Allez, ste plait, te fais
pas prier, j'ai une sainte horreur de supplier quelqu'un. Et puis, j'ai
deja loué la voiture et j'aime pas gaspiller ma thune pour rien. Et
puis, continua t'il , tu me dois bien ça non ? Juste un diner. Rien de
plus. Tu seras dans ta chambre pour dix heures. Promis.
- Bon d'accord, repondis t'elle sans entousiasme.
Ils rejoignirent la voiture - ou plutot , il la traina jusqu'à elle- et s'intallerent à l'interieur.
- Tu as quoi sous ta robe s'enquit il avec un sourire en coin
- Non mais ça va pas ? ca te regarde pas.
- Tu compte te baigner avec, alors ? demanda t'il calmement
- Me baigner ?
- Ben oui , me baigner. J'ai pas mis les pieds sur une plage depuis un
an donc, je comptais aller me baigner. Truc bateau. En vue que y a pa
beaucoup de demoiselles qui portent des maillots de bain sur elles pour
aller en cours, je pensais t'en payer un. Il approcha son visage du
sien et demanda avec un large sourire
- Tu pensais à quelque chose d'autre ?
Le rouge lui monta aux joues. Elle detourna le regard et bafouilla un non.
- Parfait.
Il mit le contact et il les conduisit jusqu'au magasin le plus proche.
- Paye toi un maillot et un paréo , je reviens
- Mais .........
- Il la fit taire d'un baiser rempli de douceur et posa un doigt sur ses levres
- Pas de mais. Maillot et paréo. Vas y , je vais m'occuper d'un truc
Il revint 10 minutes apres, un sachet rempli de viennoiseries dans les bras.
- Ben quoi ? j'ai pas mangé depuis presque 2 jours. J'ai faim moi.
Peu de temps apres, ils s'arreterent sur une plage quasi deserte.
Et ....................... la suite au prochain numéro
Vendredi 10 février 2006 à 22:58
Après un bon diner, je t'emmene chez toi.
Au moment de partir, tu me demande si je veux pas un café, vu qu'il est
tard. J'accepte, tu es tellement superbe que j'ai peine à croire que tu
me propose ça avec une idée en tête.
Tu as l'air fatigué, donc je vais faire le café moi-même pendant que tu
t'allonge sur le canapé. Je reviens avec la cafétiere et m'installe sur
le fauteuil en face de toi. On commence tranquillement à discuter.
Le temps passe et au bout d'un moment, tu me propose un irish cofee.
J'accepte et tu montes à l'étage. Pendant ce temps, je regarde un peu
le salon, décoré avec gout, quoique un peu solitaire. Je fouille un peu
dans les cd, cherchant un peu de bonne musique. Au bout d'un moment ,
je sens un souffle dans ma nuque qui me fait sursauter. Mais ce n'est
que toi. Tu me fixes bizarrement. Ca me mets tellement mal à l'aise que
je detourne les yeux.Je prends le whisky dans ta main et vais dans la
cuisine preparer les cocktails. Au bout de quelqu'un instant, j'entends
une musique douce et ététente.
Je ramene les boisonns et m'instale sur le canapé.
Tranquillement , tu reviens , avec le meme regard. Soudain , tu
t'assieds à califouchon sur moi et m'embrasse. Ca m'a tellement surpris
que j'ai failli renverser mon verre. Je le depose et te regarde,
essayant de comprendre. Mais toi , tu te contente de m'embrasser.
Encore et encore. Le gout sucré de tes levres commence à m'enivrer. Je
me sens perdre la tête. Dans un dernier sursaut de conscience, j'essaie
de parler mais tu mets un doigt sur mes levres et depose un baiser
leger sur mes épaules. Mes dernieres hésitations sont balayées.
Je renverse ta tête en arriere et
commence à gouter le gout de ton cou. Si suave. Je remonte lentement
jusqu'à ta nuque et enroule ma langue autour du lobe de ton oreille. Je
te sens te raidir entre mes bras, alors j'arrete. Mais tu m'attrape par
les cheveux et m'ordonne de continuer. Je retourne au creux de ta nuque
et commence à descendre le long de ta colone vertebrale. Je m'etends,
palpe , goute à cette peau, deja tellement teintée de sueur. Lentement,
je remonte jusqu'à ton cou et je retourne à ce temple de la sensualité
que sont tes levres. Je me rends compte que tu n'as jamais fermé les
yeux. Je n'avais jamais encore fixé une femme en l'embrassant. Ton
regard se voile au fur et à mesure que je redescent.
Je commence à enlever les boutons de ta chemise avec mes dents, tout en retirant ton soutien gorge par une manche.
Je me niche au creux de tes sens. On
dirait qu'ils ont été fait pour mes doigts. J'avais pensé à les
tripoter facon melon ( désolé, mais fallait que je mette au moins une
connerie sinon on aurait pa vu que c moi ).
Jamais je n'aurais cru prendre tant de plaisir juste en posant mes
doigts sur un corps. J e m'ennivre de cette sueur fruitée. Tout chez
toi me parais parfait. Je me sens le pretre d'une déesse antique et
mysterieuse. Le pied koi ( dsl une seule, ca suffisait pas ).
Je descend encore un peu plus
bas, m'attardant sur ton ventre. Ce receptacle de la vie me parait
tellement armonieux avec ses courbes alléchantes. Je fixe ses courbes
avec mes doigts et mes levres dans ma memoire. Je continue ma descente
aux paradis. Je niche ma tête au creux de tes cuisses, si douces et si
fortes à la fois . Je les caresse le plus lentements que je peux.
M'approchant et m'eloignant de l'objet de mon desir. Mais je prefere
prendre mon temps. Je contourne tes cuisses jusqu'à tes fesses. Ces
deux globes de chairs, si allechants, si pleins. Je les carresses
lentement du doigts. Je sais le raidissement de ton corps, anoncant les
fureurs de la frustration.
Vu que j'aime pas les droites ( jamais 2 sans 3 ). Je
commence àe remonter jusqu'à ton mont de venus, pret pour lescalade de
ma vie. J'ote lentement la barriere de tissu qui me separe de ma proie.
Quelques gouttes de nectar sont deja en train de scintiller sous la
lumiere de la lampe. Je les lappes doucement sans toucher à ta peau.
J'aime le gout de ta cyprine. Je palpe un doigt à l'entrée , mais je le
retire, preferant ne pa te brusquer. A la place, je darde une langue
afamée. Je commence à carreser lentement les deux rivieres de chair qui
cache la cavité que cherche le reste de mon corps. Elles se separent
d'elle meme, ton exitation montant en crechendo. Je commence à rentrer
plus profondement quand soudain , un petit capuchon de chair se tent.
Je commence à le masser de droite à gauche, pour voir s'il va
bourgeaonner. Rien. Je le goute un peu , histoire de voir le gout. Puis
je traine ma langue à gauche, a droite., le plus lentement que je peux.
Tes gemissements deviennent de plus en plus sonore. Je me deshabille à
mon tour et commence à te penetrer. Enfin , je suis la ou je fantasme
depuis tant de temps. Soudain , tu ouvres la bouche et declare de ta
voix suave
- G rien senti.
Et pof , je me reveille.
Qui dit que je fais pa des cauchemards interessants ?