Samedi 11 février 2006 à 3:59

Ma vie s'éffrite entre mes doigts
Triste sentiment qui m'étreint, en cette magnifique nuit.
Je me sens lentement déperir en ce lieu sinistre qu'est mon ame
Je sens la solitude, ce vautour, tournoyer autours de mon ombre.
Lentement, "sors, pars , fuis" cette voix qui hurle dans mon esprit
Pourkoi me hair sans cesse ? n'aurias-je pas moi aussi droit au calme ?
Point de plaisir pour moi, seul reste dans ma tete cette voix sombre

Comme j'aimerais rire, danser, me laisser aller à cette joie grégaire
Mais cette petit ombre dans mon crane vitupere que cela m'est refusé
Pourkoi me refuser cela ? qu'ai-je donc fait ? Quel antique crime ai-je commis ?
Je ne sais comment arreter cette voie ou m'a jetée cette destinée amere
Seule cette desilusion glacée qui m'etreints, m'empechant d'expier
J'aimerais juste une fois que le plaisr soit substitué aux cris

Ma vie s'effrite entre mes doigts

Samedi 11 février 2006 à 3:57

Je crois que je suis un lâche à l'état brut.
Ca depuis aussi longtemps que je m'en souvienne.
C ptet pour ca que je passais mon temps à faire l'imbecile. Je voulais pas qu'on sache que je me pissais dessus toute la journée. Donc je passais à faire des trucs de folies juste pour que ca se sache pas. Et kan je jouais à ces jeux imbeciles, mon coeur battait tellement vite que je croyais qeu j'allais mourrir avant meme de commencer.
Je crois que j'ai peur à peu pres de tout.
Du noir, des serpents, des araignées, de la solitude, de la mort, de l'eau, de l'altitude, des chiens, des chats, bref à peu pres de tout ce qui vit , respire ou peu etre dangeureux.
Resultat : je jouais avec les araignées, je caraissais les chiens érants, g fait du rafting sauvage sans protection, je grimpais sur les toits , g eu 3 chats, je traversais lorisisque à minuit avec une montre en or à mon bras ( ca conjugue la peur du noir et celle de la mort ).
Je crois que j'ai peur de tout le monde.
C ptet pour ca que généralement, soit je tape en premier, soit je file , par un moyen ou par un autre la trouille au type en face de moi. J'aurais tro peur de devoir me battre réelement.
Je crois que le truc qui me file la trouille plus que tout, ce sont les relations avec les autres. Je c que c pas mon truc.
Je souffre de timidité chronique. C à cause de ça que j'ai hérité ce sens de l'humour que tout le monde m'envie ;). En gros, si tu fais rire, on te regardera moins que si tu reste dans ton coin.
Je sais que je suis ni un appolon ( koike ) ni un génie ( koike ) ni un sportif ( ca , y a pa tof ) ni un créatif (koike ). Et voyez vous, pour avoir la paix dans la vie, fo etre l'un de ces trucs. Sinon , tu finis avec des emmerdes. Resultat , le college , ca a été humiliation sur humiliation.
Résultat, g hérité d'une cruauté sans pareil meme pas dissimulée. Je suis sadik, je ne m'en cache pas. En fait, je deteste à avoir à parler à kike ce soit.
C ptet pour ca que je suis incapable d'avoir une relation normale avec une femme.
C bcp plus facile pour moi de sortir avec une meuf que je kiffe pas qu'avec une meuf que j'apprecie. En gros, kan je m'interesse à kelkun qui me plait, je pisse de trouille.
C plus fort que moi.
Les seules pensées qui me viennent, c'est "elle est trop bien pour moi" et " je peux pas sortir avec elle, ca serait lui faire perdre son temps". Résultat, je me rentre dans ma coquille.
J'ai toujours l'impression d'etre un jouet d'étude. Genre elle s'ennuie , alors elle se trouve un clown pas trop difficile à chopper et encore moins à jeter.
Je n'ai plus aucune confiance en moi, et ca depuis tres longtemps. C sans doute pour ca que j'arrete pas de faire le fanfaron. Kan je vais vers quelqu'un , ma premiere pensée, c'est que je vais me planter. J'y peux rien , c comme ca.

Samedi 11 février 2006 à 0:39


Je haissais deja la st Valentin, pour son coté commercial et mercantile, et tout et tout. Mais j'avoue que la , ca va etre pire que d'hab

Imaginez 5 minutes. Vous etes amoureux d'une femme qui vous aime, mais qu'accesoirement, elle aime egalement son petit ami officiel. Vous savez qu'il fera quelque chose " d'exeptionnel " pour la st valentin. Vous feriez quelque chose  , vous ?

Moi, non
La saint valentin, c'est le jour des couples. Elle et moi, on en est pas un . J'aimerais , mais ce n'est pas le cas. Alos je vais passer la mienne avec un bouquin et une rose que ej me payerais. J'aurais telleemnt aimé que ce soit different. Mais ca ne sera pas le cas. Alors a deus vat, autant arreter de se prendre la tete. J'ai décidé de la plaquer le 14. J'en peux plus de cette histoire

J'aurais aimé tellement de choses.. J'aurais aimé l'emmener à travers l'ile, la faire voyager, lui faire connaitre tellement de choses. Mais je me contenterai d'une rupture. Il fo savoir clore le passer . Et le temps est venu. Meme si ca me dechire
Mais putain, que c'est dur .......

Vendredi 10 février 2006 à 23:01

    Il est enfin chez lui. C'est la premiere pensée qui lui est venue quand il est déscendu de l'avion. Beaucoup trop de temps, cette ile m'a manqué.
Il héla un taxi et se dirirgea vers son appartement. Rien n'avait changé, ou presque. Une route qui zigzague un peu par ici. Un nouveau magasin par là. Mais ça restait sa ville.
Il flanna un peu dans les rues , puis alla à l'appartement de sa mere.
Il sonna et l'air hébahi de sa mère apparut dans l'entrebaillement de la porte
- T'es pa sensé etre en france toi ?
- Semblerait que non , vu que je suis devant chez toi. Tu compte me laisser devant la porte encore longtemps ?
Elle s'ecarta pour le laisser passer et il balanca son sac dans le salon
- Tu n'as toujours pas appris à ranger ton sac, apparement, dit elle , l'air dubitatif
- Je ne suis parti qu'une année. Tu croyais quand meme pas que j'allais me transformer en mister parfait en un aussi court labs de temps. Tu m'as fabriqué comme ca, j'te signale.
Il fouilla un petit moment dans son sac, sortit un tee shirt et grimpa l'escalier
- Je prends une douche et je pars, je suis en retard.
- Hein !? Mais ça ne fait que 3 minutes que tu es là !
- Je sais, j'étais la aussi tu sais ?
- Mais ou tu vas ?
- J'ai un rencart. Je sais pas quand je rentre au fait
- Non mais tu te fiche de moi ? Tu prends chez moi pour un hotel ou quoi ?
Il devalla l'escalier et embrassa le front de sa mère
- Meuh non , je prends pas chez toi pour un hotel. Juste pour chez moi. Je reviens demain ou apres demain. Relax Mater, je serais là dans pas trop trop longtemps. Et pis, au lieu de raler, rejouie toi du retour de ton fils. Tu devrais etre contente non ?
Sur ces mots, il sortit de l'appartement et se dirigea en sifflotant vers l'extérieur de la cité C'est fou quand même. Ca faisait 1 an qu'il était parti et il savait exactement ou il allait. Il trouvait ça plutot marrant. ( pour les personnes qui se posent la question , oui, je parle vraiment comme ca avec ma mere. Si si si )
Il partit tranquillement en direction de la ville et s'arreta pres d'une societé de locations de voiture. Il en lloua une petite et roula vers la destination ou ses pensées se tournaient depuis si longtemps.
Son lycée.Son vieux lycée tout miteux avec le meme systeme pourrave d'entrée apparament. 4 "gorilles" sensés empecher les intrus d'entrer. Enfin , sensé. Suffisait de connaitre le truc. Dans les locaux de ce bon vieux bahut, ils avaient installé un orgmanisme admnistratif ouvert à tout public. Il suffisait de se pointer en disant que l'on allait au cio , et paf, c'était une lettre à la poste.
Donc acte.
Il s'assit tranquillement sur les marches du premier étage et attendit patiemment la cloche de 17heures. A ce moment , il sortit tranquillement son portable et commence à composer un numero

- Allo ? Une pizza aux pépéronnis s'il vous plait
- Non mais t'es malade ? je suis en plein cours.
- C'est faux, je suis sur que t'es en train de sortir. Bon arrete de raler, je t'appele juste pour te poser une question
- Quoi encore.
- Juste une chtite question. Imaginons que tu sois invité par un charmant type à diner ce soir, tu pourrais decommander tout ce que tu as prévu ou tu as un emploi du temps fixe ?
- Pourquoi tu me demande ca ?
- Etude de cas, ne t'inquiete pas. Alors, ma réponse ? s'enquit il sur un ton faussement agacé.
- Tu me deranges juste pour ça ? Bof , j'imagine que me debarasser de tous les casse pieds ne devrait pas être trop difficile. Ni même trop désagréable.
- Et si tu devais dire à tes parents qu'on te depose, ils prendraient ça comment ?
- Je crois pas que ça les generaient trop. Au besoin je trouverais un bobard.
- OK , merci. Excuse moi de t'avoir dérangé avec des questions aussi betes. Bon moi ,j'y vais. A plit ta.
Il se leva, et se dirigea vers la grille et attendit qu'elle sorte. Et se contenta d'un charmant
- Hep, sexy
Elle ne lui accorda même pas un regard et se contenta d'un "Va te faire foutre" machouoillé.
Il s'inclina nonchalement sur la rembarde et dis sur un ton taquin.
- Je remarque que pour une meuf qui reve de me voir depuis une bonne année, t'a pas l'air si emballé. Elle se figea un instant et se retourna lentement.
- Crétin.
- Je vois que tu n'as pas perdu ce coté jouvencelle qui me plait tant.
- Mais qu'est ce que tu fais là ?
Il éclata de rire
- Mais qu'est ce que vous avez toutes à me poser cette question bête ? Vous ne pourriez pas tranquillement etre contente que je sois là ? En fait , je suis là pour t'inviter à diner.
-Tu plaisantes, pas vraii , demanda t'elle ?
- 600¤ Ca fait cher la plaisanterie non ?
Il prit son sac dans ses mains, mis passant un de ses bras autours de ses épaules et se dirigea tranquillement vers la sortie du lycée.
- Allez relax, on va juste diner. Enfin , je crois . Enfin , j'espere. Enfin c'est ce que j'avais prevu en tout cas. Allez, ste plait, te fais pas prier, j'ai une sainte horreur de supplier quelqu'un. Et puis, j'ai deja loué la voiture et j'aime pas gaspiller ma thune pour rien. Et puis, continua t'il , tu me dois bien ça non ? Juste un diner. Rien de plus. Tu seras dans ta chambre pour dix heures. Promis.
- Bon d'accord, repondis t'elle sans entousiasme.
Ils rejoignirent la voiture - ou plutot , il la traina jusqu'à elle- et s'intallerent à l'interieur.
- Tu as quoi sous ta robe s'enquit il avec un sourire en coin
- Non mais ça va pas ? ca te regarde pas.
- Tu compte te baigner avec, alors ? demanda t'il calmement
- Me baigner ?
- Ben oui , me baigner. J'ai pas mis les pieds sur une plage depuis un an donc, je comptais aller me baigner. Truc bateau. En vue que y a pa beaucoup de demoiselles qui portent des maillots de bain sur elles pour aller en cours, je pensais t'en payer un. Il approcha son visage du sien et demanda avec un large sourire
- Tu pensais à quelque chose d'autre ?
Le rouge lui monta aux joues. Elle detourna le regard et bafouilla un non.
- Parfait.
Il mit le contact et il les conduisit jusqu'au magasin le plus proche.
- Paye toi un maillot et un paréo , je reviens
- Mais .........
- Il la fit taire d'un baiser rempli de douceur et posa un doigt sur ses levres
- Pas de mais. Maillot et paréo. Vas y , je vais m'occuper d'un truc
Il revint 10 minutes apres, un sachet rempli de viennoiseries dans les bras.
- Ben quoi ? j'ai pas mangé depuis presque 2 jours. J'ai faim moi.
Peu de temps apres, ils s'arreterent sur une plage quasi deserte.
Et ....................... la suite au prochain numéro

Vendredi 10 février 2006 à 22:58

Après un bon diner, je t'emmene chez toi.
Au moment de partir, tu me demande si je veux pas un café, vu qu'il est tard. J'accepte, tu es tellement superbe que j'ai peine à croire que tu me propose ça avec une idée en tête.
Tu as l'air fatigué, donc je vais faire le café moi-même pendant que tu t'allonge sur le canapé. Je reviens avec la cafétiere et m'installe sur le fauteuil en face de toi. On commence tranquillement à discuter.
Le temps passe et au bout d'un moment, tu me propose un irish cofee. J'accepte et tu montes à l'étage. Pendant ce temps, je regarde un peu le salon, décoré avec gout, quoique un peu solitaire. Je fouille un peu dans les cd, cherchant un peu de bonne musique. Au bout d'un moment , je sens un souffle dans ma nuque qui me fait sursauter. Mais ce n'est que toi. Tu me fixes bizarrement. Ca me mets tellement mal à l'aise que je detourne les yeux.Je prends le whisky dans ta main et vais dans la cuisine preparer les cocktails. Au bout de quelqu'un instant, j'entends une musique douce et ététente.

Je ramene les boisonns et m'instale sur le canapé.
Tranquillement , tu reviens , avec le meme regard. Soudain , tu t'assieds à califouchon sur moi et m'embrasse. Ca m'a tellement surpris que j'ai failli renverser mon verre. Je le depos
e et te regarde, essayant de comprendre. Mais toi , tu te contente de m'embrasser. Encore et encore. Le gout sucré de tes levres commence à m'enivrer. Je me sens perdre la tête. Dans un dernier sursaut de conscience, j'essaie de parler mais tu mets un doigt sur mes levres et depose un baiser leger sur mes épaules. Mes dernieres hésitations sont balayées.
Je renverse ta tête en arriere et commence à gouter le gout de ton cou. Si suave. Je remonte lentement jusqu'à ta nuque et enroule ma langue autour du lobe de ton oreille. Je te sens te raidir entre mes bras, alors j'arrete. Mais tu m'attrape par les cheveux et m'ordonne de continuer. Je retourne au creux de ta nuque et commence à descendre le long de ta colone vertebrale. Je m'etends, palpe , goute à cette peau, deja tellement teintée de sueur. Lentement, je remonte jusqu'à ton cou et je retourne à ce temple de la sensualité que sont tes levres. Je me rends compte que tu n'as jamais fermé les yeux. Je n'avais jamais encore fixé une femme en l'embrassant. Ton regard se voile au fur et à mesure que je redescent.
Je commence à enlever les boutons de ta chemise avec mes dents, tout en retirant ton soutien gorge par une manche.
Je me niche au creux de tes sens. On dirait qu'ils ont été fait pour mes doigts. J
'avais pensé à les tripoter facon melon ( désolé, mais fallait que je mette au moins une connerie sinon on aurait pa vu que c moi ).
Jamais je n'aurais cru prendre tant de plaisir juste en posant mes doigts sur un corps. J e m'ennivre de cette sueur fruitée. Tout chez toi me parais parfait. Je me sens le pretre d'une déesse antique et mysterieuse. Le pied koi ( dsl une seule, ca suffisait pas ).

Je descend encore un peu plus bas, m'attardant sur ton ventre. Ce receptacle de la vie me parait tellement armonieux avec ses courbes alléchantes. Je fixe ses courbes avec mes doigts et mes levres dans ma memoire. Je continue ma descente aux paradis. Je niche ma tête au creux de tes cuisses, si douces et si fortes à la fois . Je les caresse le plus lentements que je peux. M'approchant et m'eloignant de l'objet de mon desir. Mais je prefere prendre mon temps. Je contourne tes cuisses jusqu'à tes fesses. Ces deux globes de chairs, si allechants, si pleins. Je les carresses lentement du doigts. Je sais le raidissement de ton corps, anoncant les fureurs de la frustration.
Vu que j'aime pas les droites ( jamais 2 sans 3 ). Je commence àe remonter jusqu'à ton mont de venus, pret pour lescalade de ma vie. J'ote lentement la barriere de tissu qui me s
epare de ma proie. Quelques gouttes de nectar sont deja en train de scintiller sous la lumiere de la lampe. Je les lappes doucement sans toucher à ta peau. J'aime le gout de ta cyprine. Je palpe un doigt à l'entrée , mais je le retire, preferant ne pa te brusquer. A la place, je darde une langue afamée. Je commence à carreser lentement les deux rivieres de chair qui cache la cavité que cherche le reste de mon corps. Elles se separent d'elle meme, ton exitation montant en crechendo. Je commence à rentrer plus profondement quand soudain , un petit capuchon de chair se tent. Je commence à le masser de droite à gauche, pour voir s'il va bourgeaonner. Rien. Je le goute un peu , histoire de voir le gout. Puis je traine ma langue à gauche, a droite., le plus lentement que je peux. Tes gemissements deviennent de plus en plus sonore. Je me deshabille à mon tour et commence à te penetrer. Enfin , je suis la ou je fantasme depuis tant de temps. Soudain , tu ouvres la bouche et declare de ta voix suave

- G rien senti.
Et pof , je me reveille.
Qui dit que je fais pa des cauchemards interessants ?

Vendredi 10 février 2006 à 22:55

Vous croyez que quelqu'un sur cette terre vous est destinée ?
Moi , g un peu de mal à le croire. C'est peut etre du à la desillusion. Par deux fois j'y ai cru. Par deux fois, g eté dessus. Ptet que ce n'est qu'une destinée temporaire. Facon forfait 4h. Ou bien c'est tout simplement moi qui me faisait un film. Je ne saurais dire. Mais j'y ai cru. Et plutot deux fois qu'une . Je vais finir par croire que l'empereur des tenebres est vraiment un piti bonhomme credule. Ou pire, que je faisais expres de croire à tout ca. Apres tout , on voit le nombre de truc stupide qu'on peut faire par solitude. Alors pourquoi pas croire tout simplement ? Moi j'aimerais bien que ce soit aussi simple. Mais bon.
Je me demande à koi elle ressemble si elle existe.
Je vois d'ici ce tableau d'horreur.
Elle doit etre chabine ou metisse. Pas tres grande, 1m63 à tout peté. Des yeux marrons pas super extra. Des cheveux filasses et je suis sur qu'elle essaira de me piquer mes coupes en plus. Un sale caractere. Une facilité incroyable à dramatiser des trucs qui n'ont rien de vraiment catastrophiques. J'imagine qu'elle inondera mon portable de sms bizarre ou pire de chansons insipides. Elle aimera des chansons bizarres. Elle fera expres de me rendre dingue. Elle jouera avec moi facon chat qui se trouve un mulot. Elle me trouvera bizarrement fascinant. Mais elle me trouvera kan meme tro pessimiste alors que c ckelle aime chez moi. Elle risque d'avoir honte de moi et aura la trouille de me presenter à ses parents, de peur que je leur flanque la trouille ou ke je drague sa mere. J'imagine qu'elle aura une ame d'artiste qu'elle va refrener ou pire arborer comme une insigne. M'appelera à 3h du mat et me demander "tu dors ?". Un coup me prendra pour un papi, un autre coup me reprimera comme un gamin. Soit elle me prendra pour un genie, soit pour un simplet ou pire, elle alternera entre les 2. Aura peur d'avoir une relation serieuse ou au contraire voudra pratiquement plus me quitter. Soit elle pensera comme une petite fille, soit une pshycopate. Me prendra pour un "bad boy". Se mefiera de tout le monde ,meme de moi. Me fera des crise de jalousie bizarre en lousedé. Elle aura des relations bizarres avec les autres femmes et essaira de me rendre aussi syphoné que possible

Bref, un calvaire

Vendredi 10 février 2006 à 22:53

Juste envie de t'avoir contre moi.
Pouvoir sentir ta peau contre la mienne. Voir mon reflet dans tes yeux. Rien de plus
Je voudrais qu'on se tire, qu'on aille nimporte ou , tant que c'est loin d'ici. Quitte à ce que ce soit en patagonie du sud ou en mongolie. Tant que ca te plait , ca m'irait.
Je te veux près de moi, pour moi.
Je voudrais t'emmener la ou tes désirs tendent. Je veux que mes reves s'arretent pask'ils ne pourraient etre plus agréable qu'etre à tes cotés.
Je veux arreter de penser, juste ressentir.
Je ne veux plus d'o , juste le nectar de tes levres
Je ne veux plus d'air, juste le vent de ta bouche.
Je ne veux pa de nourriture, la sueur de ta peau me suffira
Rien entendre, sauf le son de ta voix.
Il ne me sert plus rien de voir, ton eclat à bruler mes yeux à jamais
Je veux juste pouvoir te serrer dans mes bras, rien d'autre.

Vendredi 10 février 2006 à 22:50

Vous croyez que le bonheur, ca peut etre refusé à des gens ?

C bête , mais pour aussi longtemps que je me souviennes, j'ai jamais été vraiment heureux.
Mon pere est mort 3 mois avant ma naissance. Je sais meme pas à koi ca ressemble un pere . Pas mal , pas mal. C ptet pour ca que j'ai la main avec les momes. J'ai hérité directement de ca.
Tout ce que je sais de lui , c à travers les recits de ma mere et de ses amis. Et si je fais une synthese de tout ce que je sais de lui , je suis le fils d'un surdoué, ceinture noir de viet vow dao, avec le charisme d'un chef d'état. Prof de math et de sport de son etat, il etait un engagé dans tout ce qu'il faisait.
Résultat, il a engagé un surdoué (keke je peu detesté ce mot) nul en sport, detestant se battre (du moins maintenant), avec généralement le charisme d'une ptite souris, vu que je deteset kon me remarque. Je crois que j'ai jamais dépassé les 12 en sport (fallait deja que je m'y pointe ) Et je hais les maths. Je ne suis engagé en rien , je suis apolitique, athée , et je deteste mon ile. Marrant non. L'antithese de son paternel.

J'arrive pa à me rappeler un moment ou j'étais vraiment heureux. Ma mere a commencé à réellement taffer, j'avais tout juste 4 ans.
Je me suis tapé 3 ou 4 nounous avant d'arriver en CE2, et c pour m'etre tapé ma frangine.

Les nounous ctait une horreur, sauf la premiere. J'arrive plus à me rappeler son nom , mais je me rappele encore son visage. Ellle avait un visage tout rond, je trouvais ca tellement mignon. Elle me souriait tout le temps ; meme kan je faisais des conneries (environ toutes les 25 sec ). Je n'ai jamais su pourkoi elle était partie. Bof, elle a du se trouver un mec ou un truc du genre.
En suite, je suis allé chez une voisine. Mamie. Pour autant que je sache , c ke comme ca que je m'en rappele. Une toute petite bonne femme (elle devait pa depasser le metre 40). Je me rappele , au college je la depassais alors que je devais tre le plus petit de mon lycée. C elle qui m'a appris à deguster le café au lait. Un visage tout ridé, mais qui respirait la fraicheur, la douceur , mais surtout l'autorité. La vraie, celle de la sagesse, pas celle de la peur. Je crois pa que j'ai jamais eu le moindre probleme avec elle, et poutant , j'étais un sale mome.
Ensuite , j'ai eu droit à une autre voisine. Michelle. Alcooolo. Mechante gratuitement. Stupide comme un sac de pommes de terre. Je crois que des que ma mere c rendu compte kelle buvait, elle c foutu en petard d'une force. C am'a bien fait rire. Pour une fois que ctait pa aprs moi qu'elle en avait.
Ensuite , j'ai eu droit à Ghislaine. Mon cauchemard. Je crois que j'aurais peur de l'o jusqu'à la fin de ma vie à cause d'elle. Elle me torturait moralement. Et je crois meme qu'elle me faisait des trucs pa tro correct politiquement. Mais bon , on va pa parler de sa des masses.
Ensuite j'ai eu droit à une autre qui a du duré 3 semaines. Et , j'ai enfin eu droit à Mme Lan..... pour pa la citer. Bof , rien de spé à dire . Elle faisait son boulot, san plus. Assez sympa, mais pa vraiment le genie de l'année.
Apres ca, g eu droit à ma sista. Suite au deces de mon paternel , ma mater n'ayant pas assez de pognons pour s'occuper de deux gosses, elle l'avait refilé à ma tante, celle chez qui je suis. Ma soeur voyez vous, jusqu'à maintenant, n'a qu'une seule réaction fasse à moi. Tire toi. Avant qu'elle rentre definitivement à la maison, elle passait tout les mercredis à la maison. Et de temps en temps, ma mere devait filer des cours le mercredi egalement. Donc elle nous laissait seul dans l'appart. Le seul souvenir que j'ai jamais eu de cette epoque, c elle , me torturait avec le bout pointu d'un manche a balai cassé. J'avoue que j'ai pa été spécialement ravi quand elle a debarqué à la maison. G encore du mal à croire que c ma sista. Sauf quand on se met à fredonner en meme temps la meme chanson san raison. Sinon , elle et moi , c le jour ou la nuit. Dieu merci. Si j'avais été comme elle , je me serais suicidé depuis logntemsp. Koike .........Non c pa vrai. Si j'étais comme ma sita, j'aurais été tranquille. Languiste hors pair, danseuse d'exeption, musicienne de genie, scientifique de talent. Je me demande encore ce que ma sista ne sait pa faire. Ah si , me ficher la paix, et ne pas etre egoiste aussi.

Le primaire, mise à part ma sista, ctait plutot tranquille. Je jouais au foot , comme nimporte kel mome. Je passais mon temps à me battre comme nimporte kel mome. Je sniffais de la colle comme bcp d'otre. Koike moi je mangais celle qui étais aromatisé à la fraise. J'en ai rebouffé au college, mais ctait pa la meme recette. Ou bien moi qui avait enfin des papilles gustatives. Bref, ctait plutot cool. Sauf kil y avait un chti problem. Je pensais deja comme un adulte à l'age de 9ans (du moins sur pas mal de point ). j'étais capable de discuter politique, histoire, ou science avec nimporte kel pote de ma mater. Résultat, kan t entouré de mome qui parle de leur chaussures, tu t'emmerde puissance de 24.
Et le college est arrivé. Et l'enfer sur terre a commencé. La sixieme et la cinquieme, y a pa grand chose à dire. Les aléas tranquilles de la vie . Un coup ctait bien , un coup ctait pourrave.
Nan , c à la quatrieme que ca c mal barré. Imaginez un povre mome de prof, ayant deux années de moins que le reste de ses camarades de classe, qui laissait sa mere lui payer ses fringues paskil detestait le shopping ( heureusement, elle avait pa tro movais gout , donc ctai des jean et des polos ) qui etait un peu schtarbe, et qui savait plus de trucs à lui tout seul que le reste de sa classe. Un seul mot, souffre douleur. J'en ai bavé comme rarement on en bave. On m'a fait à peu pres toutes les crasses possibles. Et y en a bcp .
Dans ce genre de cas, on a deux réactions. Ou on se bat pour devenir le meilleur, ou on se casse. Depuis l'age de 12 ans, j'ai toujours eu le record de seche de l'endroit ou j'étais , le college cesar lemaistre hormis. Je passais mon temps dans les salles d'arcade à claquer des sommes folles. Juste pour avoir l'impression d'etre quelqu'un. Enfin , je m'amusais.
Ctait pa du luxe. J'ai appris ce qu'etait la vraie solitude. Grosso modo , j'ai appris ce qu''étais etre sans potes, sans meuf, sans rien. Ceux que je considerais comme des potes, n'en etaient pas. Mais les ennemeis l'étaient réelement eux. J'ai reinventé le terme secher. Si on considere qu'en plus g eu droit à une toux irritative pendant six ans, ce qui fait qu'iactuelement , j'ai les poumons d'une enfant de 5 ans, vous comprendrez que je mettais pa souvent les pieds en cours.
Ma mere ne savait plus koi faire avec moi. C la qu'un de ses neveux qui vivait en france lui a proposé de me prendre pendant une année. Keske ca paraissait une bonne idée. Si j'avais su. On m'a fait redoublé ma troisieme, donc je me suis retrouvé dans le charmant college cesar lemaistre , à vernon. Vernon , grosso mode, c chateauroux, mais dans la normandie, donc c le trou du cul du monde mais à gauche. Y avait deux noirs dans tout mon college . Mais en fait, le probleme , ctait pa le college, mais la ou j'étais .
D'abord, fo decrire la famille pour comprendre.
D'abord, y a alain , le pere de famille. Imbu de lui meme , pas tre net, alcoolo, beauf de chez beauf( le comble pour un noir ).
Ensuite , y a M-N la matronne. Babtou de normandie, cerveau raide, tronche defiguré par un poele kan elle etait petit, ce qui fait que sa tete ressemble à un terrain de cross.
Ensuite Virginir , l'ainée . En gros , c la crise d'adolescence version loubard. Traine dans le quartier avec des zonards de 5 eme zone ( t à vernon, fo pa rever de mieux) fume des petes, s'engueule tout le temps avec ses parents. Mais ctait kan mme celle avec qui je m'entendais le mieux
Ensuite , y a elodie ( oui je sais, g pa de chance avec ce prenim ) Mon cauchemard d'une année. C la premiere fois de ma vie que j'ai cherché des facons de torturer des gens. D'hab , c un garcon manqué fringué comme une table à repasser.Ensuite , cette imbecile a cru que j'étais la pour lui piquer son daron. Si elle savait. Resultat, sa disctratction premiere etait de me taper dessus . J'ai promis à ma mater de taper sur personne kan je serais la bas. Elle me l'a fait promettre une bonne dizaine de fois. Mais c la premiere fosi qde ma vie que g compris à kel point c dur de rompre une promesse.
Ensuite , g eu droit à Valentin et sa soeur dont g oulbié le nom . Pour resumer, leur jeu favori etait de me cracher dessus. Vous comprendrez donc ke ctait pa la joie. G dorenavent une sainte horreur des temoins de jehovat. Peuvent bruler, rien à battre .
Grosso modo , on m'a fait toutes les vacheries ki sont possible.
D'jhabitude, je cherchais des trucs pour pa aller en cours. La je cherchais des trucs pour y avoir droit. C la premiere fois de ma vie que j'ai apprechié les heures de colles. Koike c les seules fois ou j'en ai eu. Grosso modo , on m'a tapé dessus, on a enlevé les ampoules de ma chmbre. on m'a fait vivre dans un cagibis de la taille d'une cage à poule; j'ai été interdit de télé depuis le mois d'octobre, chouette mon anniversaire. Kan je suis arrivé , le seul truc que je devais faire , ctait essueyer la vaisselle. Kan je suis parti , avant d'aller en cours, je devais nettoyer ma chamblre, le couloir du haut, l'escalier, le couloir du bas , me fare à bouffer et une fois sur deux pour le reste de la chambrée. Et enfin aller en cours;
Le soir rebelotte, suaf que je devais faire la vaisselle, netoyer la cuisne, jeter les poubelles, essuyer et ranger la vaisselle et ranger la cuisne. En gros, on m'a fait toutes les vacheries possibles. C la que j'ai appris à marcher. Et pour marcher , ca j'ai marché.
Koike cette année a eu un avantage. J'aurais jamais lu autant de livre sinon. En 8 mois, g lu grosso modo plus de 350 bouquins. Pas mal , hein. C dire à kel point je m'emmerdais.

Arrivé en gwada, j'avais la haine., mais bon , je me suis calmé vite fait. Je crois que le lycée, je me suis contenté de m'y emmerder.
Je sechais en cours pour draguer à pap et apprendre des trucs à droite à gauche. Je passais mes journées sur des plages à lire des bouquins les doigts de pieds en eventails. J'étais pa heureux, mais au moins , j'étais tranquille.
C à peu pres la que j'ai rencontré caroline. La premiere meuf que j'ai aimé. L'amour , kel connerie. Comment vous expliquer. Ctait un cado bien emballé. La meuf la plus mal fagoté qu'on ai jamais vu . Mais elle avait un humour à tuer . Donc c devenu mon amie. Et un jours ,on a seché et on est allé au chutes du carbets. Et la , j'ai compris le truc de po d'ane. En maillot de bain , ctait le mix entre leticia casta et jennifer lopez. Ray hay hay. Meme son visage etait transformé sans son chignon en chien. La, on est sorti emselbe.
Et c la que je suis tombé amoureux pour la premiere fois de ma vie.
Ctait cool. Bon , son taré de paternel m'aimait pa; il m'avait menacé avec son flingue, il jurait qu'il allait me buter si je continuais à tourner au tours de sa fille, mais ca me faisais marrer.On a essayé de me racqueter de toutes les facons possibles et imaginables au college. Au nombre, au couteau , au cutter, meme au gun. J'ai jamais filé une roupette. Alors un vieux con avec un fusil de chasse.
J'avoue que pour une fois , j'étais vraiemnet heureux. Un jour , elle m'a invité au macdo , elle m'a refilé une montre et m'a dit qu'elle taillait au states. Ca fait 4 ans, et g eu droit à 3 emails. Pour une meuf qui m'avait juré amour eternel, ca fait plaisir.
Premier coeur brisé.
G loupé mon bac la premiere fois que je l'ai passé. Fo voir que j'ai pa fait grand chose pour l'avoir. En plus, sur mon bulletin , y avait ecrit en gros, au rouge, taponné, "N'EST PA ADMIS A REDOUBLER" .Rahlala, braimbidge mon chtit lycée. Tu c que je tu m'a manqué ? jte jure.
Bon , alors g taillé à providence, fallait bien que j'ai mon bac. Premier trimestre , memes conneries que l'année d'avance. Seul changement, je dormais en cours; Ben ouais, je me faisais chier, je savais tout ca mwa.Et pis , je suis tombé du jour au lendemain d'une meuf de ma classe.
Pourkoi ? j'en sais rien. J'étais persuadé qu'elle me detestait. ELLe croyait que ctait moi qui la haissais. Marrant non ?

Vu que c une histoire compliqué et queje suis tchad, je metterais le reste apres . Allé bonne nuit

Vendredi 10 février 2006 à 22:48

Amis du soir , bonsoir

J'aimerais bien savoir quel est le cretin qui a dit que l'amour etait quelque chose d'agreable
Il devait etre bourré, le type qui a sorti ca. Ché pa pour vous, mais pour moi, l'amour, ca se resume à des disputes et à des crises de jalousie
J'en ai marre. Je passe du stade ou je suis amorphe à celui ou je suis enervé. Je veux juste que ce calvaire s'arrete . Pourkoi faut il que ce soit si dur ?
Je voulais juste une histoire banale. Une femme, un homme, du temps emsemble, un peu de plaisir, bcp de tendresse. La routine quoi
Et je me retrouve avec le plan amoureux le plus compliqué jamais réalisé. Est ce qeu j'ai une tete de cyrano de bergerac, moi ? Je veux que ce calvaire s'acheve. Je veux redevenir celui que j'etais. Je veux a nouveau etre libre. Et je ne peux pa etre libre tant que je l'aime elle; Mais ca ne sera jamais un plaisir tant qu'elle l'aimera lui. Si seulement elle ne me disait pas qu'elle m'aiem tout les soirs. J'en ai assez de cette situation. Pourkoi faut il toujours que l'amour soit une punition. De toutes les femmes, pourkoi fallait il que ce soit ELLE . Sur toutes les femmes, pourquoi fallait il que mes yeux se posent sur elle, que mon coeur s'emballe à sa vue, que mon ame tressaille à sa voix. Je le dit , non, je le crie, l'amour, ca pue. Je veux que ca s'acheve. J'exige que ca s'arrete. Je veux recuperer ma vie d'avant.
Laisse moi, nemesis de malheur.

Mais si seulement c'était aussi simple. Ce que je veux , c'est qu'elle m'aime. Mais elle ne m'aime pas. Ce qu'elle aime en moi, c'est que je lui dis ce qu'elle veut entendre quand elle veut l'entendre. je la rassure, je la protege, je la fais rever. Mais je ne suis qu'un reve ethéré qui n'a pa sa place dans la réalité. Alors pourquoi s'accorche t'elle. Je veux juste qu'elle reste avec son nain de jardin. File dans ses bras à lui, puis que je ne suiffit pas; Disparait de ma vie
Ou simplement, aime moi seul

Vendredi 10 février 2006 à 1:38



                               
En fait , pour le pari , fallait que j'en fasse deux, et comme l'otre risque de se sentir seul........


Tic Tax
Ce seul bruit me vrille les tympans
Il me rappele mon inique ennemi eternel
Le temps.
Il me rappele que je ne suis pas eternel
Tic Tac
Ce bruit me dechire l'âme
Il me signale que le temps est lent, mais tenace
Jamais il ne se fatigue
Jamais il ne s'arrete
Toujours là, silencieux
Un seul cri, tenace, lancinant
Tic Tac
Ce bruit ne m'abandonne jamais
Et quand il le fera
C'est qu'il sera trop tard pour moi

Vendredi 10 février 2006 à 1:36




Comme je suis tchad, g le droit de mettre nimporte koi. Donc , g décidé de mettre un truc que g écrit pour un pari. 'tention les yeux

Des mois

Des mois que la vision de ta peau me prends à la gorge
Des mois que la pensée du choc de nos corps me fait fantasmer
Des mois que tes mots m'enflamment l'âme
Des mois que les images ont remplacé les paroles
Des mois que je te vois l'embrasser
Des mois que je le vois te toucher
D
es mois que que mon cerveau est embru par la colere
Des mois que je ve de ça
Deux jours que je l'ai fait
Deux jours que je te l'ai dit
Deux jours que tu m'as ri au nez
Deux jours que tu m'a pietiné
Deux jours que mes mains se sont posés sur ta gorge
Deux jours que mes doigts ont sérrés
Deux jours que tu est morte entre mes bras
Deux joursque je sais que je ne pourrais vivre avec ça
Dix minutes que j'ai pris ces compris et la mort ne vient toujours pa me prendre
D
ix minutes longues comme l'univers qui n'en finissent pas
Dix minutes où je sais que je te rejoindrais
D
eux jours que je sais que ça ne servira à rien

A yech, oui , je sais.
Enfin, c pa grave ce n'est que le premier d'une longue serie

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