Mercredi 23 août 2006 à 3:59
J'etais deja ravi, CA Y EST JE PEUX PLEURER. J'etais deja tout content, je suis redevenu humain, je suis normal , youpi mon coeur bat encore.
Tu parles, ctait juste un des effets secondaires de 3 nuits blanches d'affilées. Depuis que j'ai dormi, je me sens comme une fleur. Bon, j'ai la haine, c'est sur. Mais c'est tout. C'est nul, tres nul, tres nul, tres tres nul.
Le monde est mal fait.
Pourkoi il n'y aurait que les femmes qui auraient le droit de pleurer tranquillement ?
Pffffffffffffffff, machisme de merde
Mercredi 23 août 2006 à 0:24
On va dire que j'ai vecu mieux, que j'ai vecu pire
Mais soyons franc, j'ai envie de faire un carnage
Mais bon, c'est pas tres grave, en fait. Je suis juste un chouia pathétique. Je vux une femme qui m'humilie. So pathétic, you are. Noté, je fantasme sur les differentes d'arracher son coeur. Avec les dents. Sans les dents. Avec les doigts. Avec un scalpel. Avec une lime à ongle rouillée.
Je crois que je m'en veux surtout à moi. Comment fait on pour etre aussi bete aussi longtemps ?
L'amour ne rend pas aveugle, juste tres tres con.
J'emmerde les femmes. J'admet, je deviens mysogine. Je deviendrais pédé, s'il fallait pas coucher avec des mecs. Damnée soit mon hétérosexualité
Lundi 21 août 2006 à 23:47
J'avoue que c'est un sentiment assez desagreable. Or , c'est celui la qui m'etreins depuis un moment. Non pas que ce soit une surprise. C'est juste qu'on a l'impression d'etre tellement stupide quand ca arrive. Mais j'avoue que je ne suis qu'haine et mepris. Comment on fait pour mentir deliberement comme ca sans vergogne pendant autant de temsp. N'a t'on donc aucun sens moral ? Non , le probleme, ce n'est ps le sens moral, c'est l'egoisme. Juste l'egoisme. Tu feras souffrir tous les types qui s'approcheront de toi, parce qu'ils ne t'offriront jamis ce que tu veux. Tu vas juste rester là et grignoter peu à peu ce que tu preferes chez chacune de tes proies, sous couvert de " l'amour " . Sais tu seulement ce que c'est qu'aimer ? Tu en as peut etre une idée, mais juste une idée. Tu ne sais pas ce que c'est qu'aimer quelqu'un au point de la faire passer avant soi meme. La seule personne qui t'intersse , c'est ta petite personnne. Juste ta petite personne. Peu importe combien les gens souffrent , pour peu que toi non. Tu t'en fiches de ce qui arrivera au gens qui t'entoures. Tu t'en fiches. Tu vas juste rester la, comme le rapace que tu es , et tenir tes victimes, dans le creux de ta main et t'ennorgeuillir de leurs cabrioles. Comme j'ai du etre ridicule, à ce moment la. Comme j'ai du etre stupide. Tellement stupide. Ca a du t'amuser de me voir, jour apres jour ramper apres toi, jour apres jour, heure apres heure. Tu avais le paillasson ideal. Celui qui te filerait les conseils que tu veux, celui qui te dirait ce que tu veux entendr qund tu veux entendre. Ce souffle de renouveau dans ta charmante vie. Mais le probleme, c'est uqe peut etre qu'il allait se rebeller. Que faire, dans ce cas, lui donner un peu de fil, un os à ronger. Ca devait ere pratique. Oh oui, tellement pratique à imaginer. Quel effet ca fait de devenir l'objet de desir d'un typet et de s'en ficher ? Royalement. Le seul truc que je refuse de comprendre, c'est pourkoi c'est toi qui es venue apres moi. Je ne te demandais rien. J'etais juste la, c'est toi qui m'a poursuivi, traquer comme un animal. combien de fois t'ai je dit que c'etait une mauvaise idée ? Combien de fois t'ai je dit que ca allai mal finir, combie nde fois t'ai je dit de me laisser tranquille ? Peu importe à tes yeux, car , c'est ce que tu voulais
Tu devais etre ravie
J'espere que tu pourriras sur pied, et que le prochain mec sur qui tu tomberas te fera souffrir le martyr
Lundi 21 août 2006 à 22:57
Quand comprendrons nous que nous sommes des consommateurs nés, et c'est ainsi que ca se fait, non pas par materialisme, mais juste que la principale qualité de l'homme, c'est la curiosité. Hors , il lui faut constamment quelque chose pour allimenter sa curiosité. Mettez le dans un carcan, il en choisira un autre, parce que l'homme est ainsi fait. Prenons un exemple.
Un homme sensé se debarasse de sa télé et decide de se mettre à la lecture. Au bout de 3 semaines, il aura lu plus d'une 20aines de bouquins ( enfin, s'il lit comme moi , koiken se labs de temps, on peu en rajouter une dizaine pour moi ), et bien, il va finir par avoir une idée, germée à partir de ce bouquin, uqe ce soit faire du sport, partir, lire de nouvelles choses, bref, il va se degotter une passion temporaire. Et il va donc chercher à l'assouvir, et donc, il va consommer pour soit pouvoir l'acheter , soit pouvoir en approcher. Une fois celle ci assouvie, il va passer à autre chose, qui aura le meme effet, et ainsi de suite. L'esprit humain est une chose qui fait que sa tete doit rester occupée à tout moment. Est ce la télé le meilleur moyen pour ca, je suis pas sur. Maintenant, les gens qui crachent sur dessus, mais qui vont discretment regarder kolantha le dimanche soir à 1 h du mat, ils me font encore plus rire que lse autres. C'est de l'hypocrisie
Dimanche 20 août 2006 à 6:02
C'est pathétique. Vraiment pathétique. Le pire, c'est uqe j'ai passé 2 ans à la remettre sur pied, et que c lui qui recupere tous les benefices. C'est genial, quand meme.
Les femmes rendent mysogines. Y a meme pa besoin d'etre macho de nature. Suffit d'en frequenter, et on les deteste. C'est malade
Vendredi 11 août 2006 à 2:20
Les raisons importent peu. Apres tout, elles ne changent jamais. Elles migrent, c tout J'ai mal à cause d'une meuf , c'est pathétique, je sais.
L'important. Enfin, pour peu qu'on trouve ca important, c'est que j'ai mal. Ca me monte à la gorge, et c'est desagreable. J'ai mal au point d'avoir envie de crier, au point d'avoir envie de me vider de toute l'eau de mon corps par les larmes. J'ai mal, quoi. Et ca n'arrete pas. Il faut voir que cette douleur date de tellement longtemps que j'ai fini par l'accepter. Non, c'est faux, je ne peux pa l'accepter. Ca , c'est une gageure trop grande pour moi. Meme moi, j'ai des limites. Mais on le comprends toujours trop tard. C'est toujours comme ca, de toute facon. Les gens sont toujours persuadés de me connaitre. De penser que je suis sans sentiments, ou bin tout simplement que je peux tout encaisser. S'ils savaient. Quoiqu'ils n'ont meme pa envie de savoir. Ou meme, tout simplement, ca ne les regarde pas. J'aimerais juste qu'on arrete de se moquer de moi. Ou pire, de faire en sorte que j'arrete de penser que je ne suis qu'une sous merde qui ne merite rien. Kelkes fois, c'est l'impression qu'on me donne. Je ne merite pas de reconnaissance, ca doit etre ca. Je devrais etre habitué, apres tout, remarque. Ce n'est pas comme si ca changeait de d'ahb. C'est juste que pour une fois, ca avait tellement l'air vrai. J'avais tellement envie d'y croire. D'y penser, de le sentir. Mais bon, meme ca, c'etait un mirage. Rien, je n'ai rien recu, comme d'habitude. Un don et un partage ne sont pas la meme chose. Les gens n'ont jamais reussi à comprendre une difference pourtant tellement simple. Moi, je la vois. C'est peut etre ca, le probleme. Le truc, c que je suis sensé pardonner alors que je n'ai pa de raison pour , rien qui me prouve que j'ai raison de le faire. Je devrais juste redevenir sympa paske ca serait le plus simple. J'ai pa envie . J'ai mal, c'est tout. Et je sais pas quand ca va arreter. Ou si j'ai simplement envie d'arreter. La vengeance, c'est pueril, mais ca fait du bien, quelques fois. Beaucoup de bien ,meme. Etre gentil et delicat, kelkes fois, ca pue, vraiment. J'en ai marre d'etre la delicatesse faite homme. J'ai envie d'etre un sale type, pour une fois. Trop de fois on m'a pris pour une cruche. Trop de fois, on c fichu de moi, jute paske j'ai pas ralé. La, j'ai envie de raler. Kelke fois, faut savoir etre sadique, quand les moyens normaux sont obstrués. Et puis, ca fait du bien, non ? J'ai envie de rendre la monnaie, pour une fois. Avec les interets, sur long long time. Fo aps commencer quand on sait qu'on pourra pa arreter. Ce n'est pas une bonne idée.
Jeudi 10 août 2006 à 1:22
Sire printemps se leva, et marcha, errant par monts et par
vaux, flânant ici et la, quand il l'a vit. Ses yeux se posèrent sur elle, la fée moria, celle qui trouble et qui
maudit.
Pourtant, il était soleil, pourtant, il était ciel, pourtant il était pluie,
pourtant il était vie. Mais son coeur battit pour la première à la vue de son visage qui
respirait l'ennui. Il s'approcha, luttant contre cette envie de courir et de la voler, retenir
captive celle qui détenait déjà son coeur. Il s'approcha doucement, se fondit dans la rivière et
elle se contemplait et resta là et écouter son chant. Cette ode était tellement mélancolique
qu'il se mit à pleurer, lui la rivière Elle se mit à grossir, à déborder, autant de
souffrance que d'amour, car si son coeur était pris, il ne pouvait rester avec elle. Il se
laissa emporter par le courant, lui qui était déjà dévasté, et attendit la nuit. Et sous la lumière
de lune laissa éclater sa douleur et son envie. Il la désirait, elle, l'objet de sa
passion, mais il ne pouvait lui offrir ce qu'elle désirait, car il était pas libre, enchaîné à
ses pouvoirs.
Il était le printemps, et il devait faire battre le coeur de dame nature. Et
pourtant, il resta, et chaque jour, il l'épia, changeant de forme à chaque fois. Tantôt
fleur, tantôt rosée, tantôt feuille, tantôt nuage. Chaque jour, il l'approchait, espérant un
jour qu'elle ferait attention à elle. Et puis, un jour, elle l'appela, lui, printemps
- Je sais que tu es la, être. Alors, qui es tu, et que désires tu, toi
qui m'observe depuis tant de tant. Quel est ton souhait.
Alors, il descendit de son nuage, et lui apparu dans toute la splendeur de son
apparat.
- Je suis printemps Je suis celui qui vit, et pourtant, je dépéris car tu m'as dérobé
mon coeur. Je ne puis rester, car bientôt viendra le moment du changement. Mais en échange
de mon coeur, je désire un présent. Une mèche de tes cheveux
Alors, Moria coupa une de ses mèches avec ses ailes, et la jeta au vent, qui, fidèle
destrier lui rapporta l'objet de ses désirs dans ses mors.
Printemps pris la mèche de cheveux et s'engouffra dans le vent, chevauchant les
alysées et hurlant son bonheur. Il n'avait été que nuage, mais face à son amour, il
devient soleil, il devient chaleur, il devint Eté.
Et tous les jours, il descendit auprès de son aimée, et s'assit auprès d'elle,
s'abreuvant de ses chants et de ses paroles, captant chacun de ses regards, volant chacun de
ses souffles.
Mais son bonheur devait tourner court. Un jour, Moria lui dit qu'elle devait
partir bientôt. L'heure était venue pour elle de rejoindre ses frères à l'intérieur de la
terre. Les fées n'appartenaient qu'aux fées, telle était la loi d'Oberon. Le temps était si
court, si court.
Eté fuit à travers la foret, hurlant sa peine et son désespoir. Frappant les
arbres qui perdaient leurs feuilles de terreur. Déclanchant des tempêtes. Et au coeur de
la foret, Eté devient pleur, devint pluie, devint Automne
Et chaque jour, il revint auprès de son aimée, lui déclarant sa flamme, lui
offrant son coeur, lui exprimant sa peine. Et chaque jour Moria le repoussa, fée cruelle d'entre
les cruelles. Et chaque jour, Automne s'enfuit dans la foret, arrachant plus de feuille,
terrorisant plus d'animaux qui s'enterraient dans la terre ou se refugiaient dans des grottes, craignant son courroux, effrayant plus d'arbres.
Puis, un jour, ce jour maudit arriva ou Automne trouva la clairière vide. Moria
était partie, s'envolant seule à travers les pierres et la terre. Cruelle objet de son désir.
Et automne maudit le ciel, et pleura, pleura, se vidant peu à peu de toute substance,
rugissant sa peine, et la crystallisant. De ses yeux sortirent de la glace et de la neige.
De sa bouche, le vent du nord mugit dans le ciel. A ses pieds, le sol gela. Ses cheveux se brisèrent.
Ses yeux moururent. Il pleura, pleura, assis au bord de l'eau. Peu à peu, la vie le
quitta, ne laissant qu'un vague débris plissé par le vent. Et automne devint hiver, vielle
créature assise dans la neige et froide comme la pierre. Son coeur était mort.
Il dormait depuis des mois, quand un son parvint à percer sa carapace de pierre
et de glace. Un chant, aérien qui se promenait dans la clairière. Il ouvrit les yeux, et vit
l'objet de son amour se regardant dans la glace. Elle était revenue. Moria était la.
Elle ne pouvait le voir dans cet état, vieil homme rongé par le désespoir,
craquelé par la pierre. Et il disparut dans les airs, et pourtant criant sa joie. Il plongea
dans le soleil, qui fondu son habit de glace, se lança dans le vent qui lui offrit des brises
pour chevelure.
Et soudain, il redevint chaleur, vie et plaisir, il redevint Printemps.
Et tel qu'il était,
il retourna épier l'objet de son amour. Sa moria
Mardi 8 août 2006 à 2:10
Mardi 8 août 2006 à 2:05