Vendredi 24 février 2006 à 5:28

Désolé si c'est pa extra bien raconté, mais je suis vraiment crevé
Bon , alors ils sont dans la bagnole en train de se faire chier à savoir uqi va gauler l'autre en premmier ............................... Bon, ok , je peux faire mieux que ca

Il tapotait nerveusement sur le rebord du volant , ne sachant pas comment s'y prendre. Mais pourquoi ne disait elle rien ? Bon, mieux vallait abreger, un rateau ne tue pas.
- J'ai ....... enfin, je suis .............. Bon , je suis descendu dans une suite, dans un hotel pas tres loin. Hum, tu veux un café ? bredouilla t'il
Elle se pencha vers lui et deposa lentement un baiser sur les levres, puis, avec un regard mutin lui chuchota lentement à l'oreille
- Tu y as mis le temps

Son coeur bondit dans sa poitrine, néanmoins, il fit tout son possible pour garder un air impassible ( ce qui ne reussit pas tres bien )
Le trajet fut silencieux, aucun des deux n'osant ouvrir la bouche. Peut etre avaient ils peur que leurs voix rompent le charme et que l'un des deux ne fuit à nouveau. Il fut court, mais il lui parut interminable. Cette succession de virage et de detours lemoussait de plus en plus son courage. Il n'avait plus qu'une envie , s'eloigner le plus possible de sa nemesis. Mais il ne pourrait pas lui faire ça une seconde fois, elle ne le lui pardonnerait jamais. Et s'il pouvait se passer d'une amante, il ne pourrait survivre sans son amie. Et puis, honnetement, il n'avait qu'une envie, se retrouver sous une couette avec elle.
Enfin, l'hotel apparut au detour d'un chemin. La vue du batiment etait en train de pulveriser ses derniers restes de courage. Il avait envie de donner un coup de volant et de la ramener chez elle en quatrieme vitesse pour retourner prendre un bain glacé. L'angoisse etait en train de broyer son coeur. Qu'est ce qu'il allait faire ?
Avait elle senti ses intentions ou bien etait elle juste anxieuse elle meme, il ne le saurait jamais, toujours est il qu'elle deposa sa tete sur son epaule :
- Ne dis rien, l'implora t'elle. Emmene moi jusqu'à ta chambre, mais par pitié, ne dis rien.

Le ton suppliant de sa voix balaya toutes ses hésitations. Il ne pouvait pas partir. Elle ne le supporterait pas. Et puis, ce n'était quand même pas la mer à boire. Des centaines d'hommes auraient donné un bras pour être à sa place. Alors, quel était le probleme. En son for interieur, il savait tres bien quel etait le probleme. Une fois le seuil de cette chambre passé, plus rien ne serait comme avant etre eux. Il n'avait rien à gagner , mais tout à y perdre. Il perdrait son seul coin de reconfort. Et il n'était pas sur d'avoir envie de le risquer pour un bref instant de plaisir. Mais il n'était pas seul en jeu. Elle avait probablement eu les memes tracas et pourtant, elle, elle avait fait son choix, et elle avait choisi de se donner à lui. Pourquoi, il n'en avait aucune idée. Mais il était un peu tard pour y penser. Il n'avait plus qu'à esperer qu'il serait à la hauteur, ce dont il doutait enormement.
Il coupa le contact, inspira longuement puis, descendit, fit le tour de la voiture et la sortit de celle ci. Elle avait l'air si fragile, presque terrorisée, et portant, tout en elle respirait le charme et la sensualité. Il avait envie d'elle. Il pouvait essayer de se le cacher tant qu'l le voudrait, mais il le savait parfaitement.
Soudain, il s'empara de ses levres, longuement, avidement. Il avait faim d'elle, et ce soir, il assouvirait celle ci, peu importe ce qu'il lui en couterait apres.

Suite apres




Non, je rigole. Ca continue tout de suite apres cette courte page de pub

Buvez de l'infusion " laxa ". Avec laxa , y a plus de tracas à part des problemes de deboucheurs liquides qui peuvent pa tout enlever.

Me demandez pas pourquoi j'ai fait ca, j'en ai aucune idée.



Bon, j'en etait ou, moi ?
Ah oui , je me rappele. Pinaise, fo que j'arrive à faire ca sans choquer toutes les personnes qui me prennent pour un gentil garcon. Tssssssss, ca va etre raide. Derniere fois que je montre à quelqu'un que je sais ecrire autre choses que des poemes gnanggna


Tout en continuant à s'embrasser, ils se rendirent labourieusement jusqu'à sa chambre ( marcher, regarder et s'embrasser, c'est assez difficile, si si, je vous l'assure )
Une fois la porte ouverte, ils se regarderent, legerement embarassés. Il n'avait aucune envie de lui sauter dessus comme un soudard. Il devait faire les choses dans les regles. Ca serait peut etre son seul vrai souvenir de lui. Il n'avait aucune envie qu'il soit marqué au fer rouge.
- Tu veux quelque chose à boire, baffouilla t'il en cherchant dans le refrigerateur ? Y a plusieurs trucs, du thé , du café, du jus d'orange , de papaye.........
- Tu as vraiment l'intention de m'eviter longtemps , le coupa t'elle. Explique moi une chose. Je te plais, non ? Alors pourquoi des que tu me vois , tu adopte un regard d'animal traqué. Pourquoi te fais je peur ? Je n'ai ps de gros bouton vert qui suinte sur mon nez, pour autant que je sache. Alors crache le morceau ou ramene moi, mais plus de demi mesure.
Il poussa un long soupir lugubre, s'approcha d'elle avec un verre d'alcool et s'adossa contre le lit, entre ses jambes, ( ca veux dire que c'est son dos qui etait en contact, bande d'obsédés ).
- Tu t'es deja demandé ce que tu ferais si tu savais que celui que tu veux, tu ne le verras qu'au moins une année apres. Ca veux dire une année sans le moindre contact. C'est long. Et c'est dur, de rester seul. Tu te dis qu'il merite d'avoir une epaule sur laquelle pleurer, un dos contre lequel rire. Tu veux qu'il ait du plaisir à vivre, meme si ce n'est pa avec toi. Peut importe avec qui il est , tant qu'il est heureux, c'est l'essentiel. Tu n'as pas envie qu'il reste la, dans son coin à attendre et à penser à une ombre qui est de l'autre coté d'un ocean. Surtout si tu sens, si tu sais que tu ne le merite pas. Tu sais qu'il vaut toutes les etoiles du ciel, tous les diamands du monde. Tu sais qu'il merite ce qu'il y a de mieux. Et toi, tu n'es pas ce qu'il y a de mieux. Pas tres joli, pas si intelligent que ca, sans thune, sans travail ,sans avenir. Tu sais que tu n'as rien à donner, rien à offrir. Alors pourquoi t'enteter à faire attendre quelqu'un que tu ne pourras meme pas satisfaire correctement ? On ne met pas sur la sellete pendant des années pour une vie de boheme, ca serait ridicule. Alors, tu esperes qu'elle se trouve celui qu'il faut , et tu essaie de donner le moins possible de raison d'attendre. Tu te descends, ut fais part de tes peurs, esperant qu'elle te prenne pour un lache. Tu es brusque, sauvage, avec un sens de l'humour douteux, voire grivois. Tu essaies de le degouter le plus possible. Esperant que quand elle te laisse tomber, qu'elle te fuit. Peut etre que quand elle te fuira, toi, tu l'oublieras . Quand bien meme ne serait ce le cas, peu importe, ce n'est pa l'essentiel. Et puis, tu .............
Elle le fit taire d'un chaste baiser
- Baka !!!!! Qui t'a dit que tu avais le droit de choisir à ma place ? Je decide de qui je veux, quand je veux, ou je veux, de la facon dont je veux. S'il refuse, que ce soit pour des raisons normales. Mas pas pour une tentative imbecile d'auto destruction. Alors, tu arretes tes betises, tu reflechis trois secondes à cette question bete : veux tu de moi, ce soir ?
Il se releva, et la plaqua sur le lit , l'embrassant fougueusement, aspirant litteralement ses levres. Il carressa ses jambes , presque pieusement, tellement il avait l'impression d'etre au coté d'une déesse. Il avait faim d'elle. Il remonta maladroitement, sa jupe, carressant ses cuisses encore et toujours. Elle commenca à enlever sa chemises, arrachant plus qu'elle ne deboutonnait. Elle fouillait ses cheveux de ses doigts, cherchant à retenir ses levres, toujours plus. Elle avait attendu ca trop longtemps, elle ne voulait pas que ca s'arrete.
Il fit glisser lentement sa robe le long de ses jambes, explorant chaque partie decouverte par l'absence du vetement. ce morceau de tissu lui paraissait interminable telement son envie le rendait fou. Il voulait explorer ce corps, indéfiniment. Il finit par enlever la robe, devoilant un corps encore plus volupteux qu'il ne se le rappelait. Cette incaranation meme d'artemis etait fantasmagoriquement affolante. Et pourcette nuit, elle etait à lui. Il l'embrassa impétueusement, presque avec violence. Dire qu'il l'avait refusée une fois. Quel fiéfé imbecile il etait d'avoir laissé partir parreille vision. Peu importe ce qui se passerait apres, il voulait profiter de cette ultime nuit.
Il carressa doucement ses cheveux , humant leurs odeurs. Il devora litteralement le cou de sa "victime" aspirant les gouttes de sueur qui commencaient à perler sur sa peau. Il voulait tout d'elle. Il degraffa son soutien gorge, liberant les deux globes de chair emmurés dans ce carcan. Il ne put retenir un gemissement de surprise. Seigneur dieu, Il avait la perfection devant les yeux. Une pointrine telle que michel ange lui meme se serait incliné. Il en emprisonna un entre ses doigts. Quelle douceur sous ses doigts. Il en voualit encore, toujours plus. Il prit l'un entre ses levres, goutant cette peau, l'aspirant, l'embrasant, ses doigts se promenant le long de ses cuisses. Soudain , enhardit par un gemissement un peu plus sonore, il commenca à carresser l'antre ses souhaits à travers l'ultime barriere de tissu restait entre lui et elle. Sous ce contact, ele eu un brusque sursaut de recul, suivi par un gemissement frustré. Il n'était pas le seul à en vouloir plus, semble t'il. Il prolonga son massage, sa bouche partagée entre sa poitrine et son ventre. Pourquoi lui avait t' on donné que deux bras. Il en aurait voulu quatre, dix , cent. Il plongea un dogt dans on intimitée. Elle se raidit sous le plaisir. Elle voulut se redresser, cherchant peut etre à reprendre un peu le controle d'une situation qui lui avait totalement echappé. Mais il l'a colla contre le matelas, lu emprisonnant les main avec une des siennes
- Ce soir, c'est ma nuit, mes choix.
La maintenant toujours, il glissa entre ses cuisses et enleva l'ultime gardien de sa pudeur delicatement avec ses dents ( s si, je l'ai deja fait, c possible. Et ché meme vachemnt facile, mine de rien )
Ca y est, elle etait à lui. Fabuleuse vision, feminité incarnée. Et elle était tout à lui pour cette nuit. Il plongea sa tete entre ses jambes, lechant le creux de ses cuisses, faisant glisser ses doigts le long de son ventre et de sa poitrine. Elle gemissait de plus en plus quand soudain il baisa le fruit de son desir. Elle se cabra si violement qu'il faillit etre desarconné. Il crut qu'elle allait l'envoyer paitre quand elle ressera ses cuisses autours de son visage. Il accentua la pression de sa bouche, donnant de court coups de langue de temps à autres. L'etreinte de ses jambes se faisait de plus en plus imposante ( mourir d'un devissage de tete , ca doit etre une chouette mort, non ? ). Ce faisant, il introduit un doigt en elle. Elle attrapa sa main qui courait le long de sa poitrine et l'attira à elle, le decrochant de son nid. Elle le voulait en elle, maintenant.
Il ouvrit delicatement ses cuisses et s'introduisit lentement en elle. Elle etait si acceuillante, s'en etait fou. Il l'embrassait passionnement en augmentait la cadence de ses va et viens. Il voulait que cela dure sans arret. Elle accompagnait chaque mouvement de son coprs, le laissant monter et descendre à son rythme, tandis que le plasir affiché sur son visage semblait augmenter en proportions. Ils bougeaient à l'unisson su plaisir de l'autre sans que sa volonté parut y avoir sa place. Ils ne vivaient plus out deux que par le plaisir irradiant par l'union de leurs corps. Il sentit monter en lui un plaisir plus grand que ce qu'il avait imaginé. Plus impetueux, plus dominateur. Ils se rejoignirent dans l'extase avec un meme gemissement à la limite du hurlement.
Il s'ecroula sur le lit, presque vidé. Elle se blottit contre l'air assouvie. Elle le mordit legerment au creux du coup
- Ca veux dire non ?
Ils eclaterent de rire tout les deux. Elle l'embrassait fougueusement , tandis qu'il sentait qu'il n'avait pa envie d'arreter tout de suite. Ca serait une longue nuit


Surtout pour moi. Merdeuh, pourquoi y a jamais de femmes quand t'en a besoin. Bon, vais encore passé ma nuit à conter les roses blueus sur mon mur. Pauvre vie qu'est la mienne

Vendredi 24 février 2006 à 5:27

Il sifflotait en conduisant, l'air detendu, mais en son for interieur, il n'en menait pas large. En fait, il avai surtout prevu de l'inviter à diner. Il ne s'etait pas vraiment attendu à ce qu'elle accepte. Enfin bon, il y etait deja, autant continuer.
- Je sais pas si tu as remarqué, mais des qu'on est dans une voiture emsemble, on pourrait entendre une mouche voler
- Tu n'es pas tres douép pour mettre à l'aise qu'y puis je ?
- Quoi ? Tu pretends que c'est de ma faute ?
- Toi , tu n'as jamais rien fait. Ce qui est peut etre le neud du probleme ........
Un silence glcial s'établit, chacun se renfrognant dans son coin. Le plus dur pour lui, c'est qu'elle avait raison. Mais il n'était pas du genre à avouer ses fautes aussi facilement. Il tourna legerement la tête et la devisagea legerement. Elle avait l'air vraiment malheureuse. Ses yeux commencaient à se remplir de larmes qu'elle essayait de cacher le plus possible. Mais quand est ce qu'il etait devenu aussi cruel ? Bon , il etait temps de faire un peu amende honorable.

-D'accord. Peut etre n'aurais je pas du te laisser en plan aussi brusquement. Peut etre aurais je du t'expliquer pourquoi je pouvais pas. Mais c'est pas ma faute. J'ai jamais été doué pour parler. Encore moins pour m'excuser. Mais bon, je sais reconnaitre mes torts. Et la, c pa mal ma faute
- Pas mal ?
- Oui, bon d'accord, c'est entierement ma faute. Tu preferes ?
Elle gloussa silencieusement dans son coin , essuyant maladroitement ses yeux avec un ourlet de sa robe. Ce qui decouvrit encore un peu plus ses jambes. Seigneur, la route ! Il devait se concentrer sur la route, ne regarder nul part ailleurs !
- Je voulais te demander, tu as une preference pour la cuisine ?
- Quoi ?
- Chinois, japonais, kurde, italien, francais, vietnamien ? Quoi mets toi dans estomac toi ?
- Dis toi que j'espere que la surprise sera à la hauteur. Néanmoins , fais moi penser à te donner des cours de syntaxe. Ta grammaire laisse à desirer

Il grommela un "imbéclie " largment machouillé et roula ves un petit italien, pres de la marina.
Il la fit descendre de voiture, lui prit le bras et lui demanda en prenant le ton plus guindé qu'il puisse imaginer
- Cela convient à madame ?
Elle rit legerement et prenant un air faussment mefiant lui repondit nonchallement
- Cela suffira pour cette nuit, j'ai envie de m'encannailler
Il eclaterent de rire et penetrerent à l'interieur du magasin.
C'était un petit restaurant feutré à l'atmosphere suave. Des tables de merisier tres delicatement ourlées avec des petites nappes à carreaux comme dans les restaurants italo-americains du debut du siecles. Des fleurs un peu partout. De la lumiere tamisée. Un peu de bell canto en musique de fond. Ce restaurant etait une petite perle pourtant tres peu connue. L'endroit parfait pour emball........ pour courtiser delicatement une jolie jeune femme.
Ils s'assierent à une petite table isolée dans le fond, et il commanda deux verres de chianti. Elle etait sur le point de protester quand il posa delicatement ses doigts sur ses levres en lui faisant signe de ne pas refuser
- Je sais que tu ne bois pas d'alcool , mais c une occasion un peu speciale. Je pars demain apres midi et j'ai envie de passer une bonne soirée. Un tout petit peu de vin , c'est tout. Refuse pas ou je vais etre obligé de faire mon air de cocker malade et mouillé
Elle sourit, amusée par le fait qu'il ne cesserait jamais de faire le pitre.
-Je croyais que tu n'etais comme ca que parce que tu avais le temps de reflechir avant de taper
- Meuh non, la betise intelligente, c'est un don inné chez moi. Tout comme le charme
- Sans hesiter. Pour la betise, bien sur.
Il sourit beatement et fit signe au serveur. Pour une raison qu'il avait peur de s'avouer, il voulait que ce diner s'eternise. Il n'avait pas envie d'affronter tout de suite le dilemme de l'"apres". C'était trop tot. Il n'était pas sur de pouvoir la meriter. Encore moins de la combler. Il etait totalement terrifié. Mais il aurait le temps de s'y atteler plus tard. Pour l'instant , autant s'amuser.

- Servez à mademoiselle ce que vous avez de meilleur. Et ramenez du chianti ; sil vous plait
- Mais .....
- Chuteuh. Laisse moi faire. C'est ma nuit, tu as oublié ?
- Je n'ai jamais dit ca ......
- Tu as acceptée d'etre la; non ? c'est que tu me fais confiance, n'est ce pas ? Alors, detens toi et laisse moi faire, d'accord ?
Se retournant vers le serveur, il reprit :
- Nous commencerons avec des antipasto di crostini alla napoletana, puis, nous mangerons des Pasta ripiena, et on finira avec un moka glacé
Pendant que le serveur s'eloignait, soudainement, il prit lentemet se main par dessus la table et plongea son regard dans le sien.
- C'est ma derniere nuit ici avant au moins un an. J'ai envie qu'elle soit parfaite. S'il te plait, laisse moi ce plaisir.
Il prit delicatement une meche de ses cheveux et la baisa ( ca devait etre plein de truc gras, beurk )
Juste cette nuit. Apres, ut feras ce que tu voudras. Nous sommes d'accord
Il avait l'air tellement fragile, qu'elle ne put lutter tres longtemps. En avait elle seulement envie ?
- Soit, fais ce que tu veux. Mais n'exagere pas trop la dose, d'accord ?
Il sourit, l'air soudain soulagé = et hela le patron pour remplacer le chianti par un Vin Santo.
- Il est legerement sucré, tu verras , c'est exellent
- Essairais tu de me saouler par hasard ?
- Ca se pourrait, repondit il d'un air malicieux

Ils etaient encore en train de rire quand le serveur revient avec leur repas.
Elle se regala, elle devait bien l'avouer, c"etait succulent. Il avait assurement des gouts de maitres. Le moka etait une veritable merveille
Elle sirota lentement un vin chaud pendant qu'il reglait l'addition
Ils revinrent sur terre seulement quand il mit le contact

La quesstion qu'aucuns des deux ne voulaient poser trotait dans leurs esprit

" Et maintenant ? "


Suite plus tard ( tu me hais, hein ? )

Vendredi 24 février 2006 à 5:26

Vous voulez connaitre la suite hein ?
Bon, alors comme je suis sympa , je vous la donne
Une semaine s'ecoule sans nouvelle du couillon ( parce que  lacher une meuf en emoii juste pasrce qu'on considere que c'est pa assez bien pour elle ? mais faut etre le dernier des rois des connards de basse caste , m'enfin bon )
Je pourrais vous raconter en detail ce qui c passé dans la tete de nos protagonistes, mais comme je suis vache, je vous laisse imaginer. M'enfin bon, notre " heros " n'a plus bcp de temps devant lui

Dring dring ( téléfone soné, pèsonn pa décroché , téléfone soné, pèsonn pa décroché .....)

Notre heroine était tranquillement en train de roupiller, son bouquin d'histoire plus ou moins sur son nez........ Ah , vous voulez que je le raconte plus ou moins dans un type de narration ? Pffffffff vous etes lourds. Bon ok

Elle se reveilla en sursaut, se demandant qui pouvait bien la deranger en pleine " revision " alors qu'elle avait prevenu tout le monde qu'elle voulait etre seule. Elle se traina jsuqu'au téléphone, avec la ferme intention de jeter tres désagréablement l'intrus

- Alloooooooooo ? C'est moi
Elle aura reconnu cette voix nimporte où. Que pouvait il encore vouloir. Sa premiere idée fut de racrocher. Mais elle mourrait d'envie de savoir POURQUOI il l'appelait. Et surtout, même si elle ne voulait en aucun cas se l'avouer, elle avait désesperement attendu qu'il lui parle

- J'avais reconnu , reponds dit elle d'une voix plus seche qu'elle ne le voulait réellement. Si tu veux t'excuser, c'est un peu tard, je te signale.

- Pas faux. C'est pas pour m'excuser. En fait, c'es plutot pour me faire pardonner
- Tu consideres que tu as quelque chose à te faire pardonner ? Tiens donc, je vois pas quoi. C'est pas la peine , je te promets. Tu consideres que c'était une erreur. Ou bien j'étais pas ton type, j'en sais rien .........
- Stop, tais toi ! Toi , tu dines avec moi ce soir
- Toi, tu as bu quelque chose. Il est deja 8h je te signale. En plus, tu n'etais pa supposé etre deja parti
- Euh, disons que mon programme a été quelque peu bouleversé. Pour ca que j'ai pa pu téléphoner avant. Alors, ajouta t'il d'une voix suppliante, tu dines avec moi ? Steu plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!
- Tu sais que tu es pire qu'un gamin ?
- Je sais , c'est meme pour ca que tu m'adores. Bon , tu dis ça à tes renpas ?
- Ouais. Passe me prendre dans une demi heure
- Ouvre ta fenetre et regarde devant, pres de la route
Il ne pouvait quand meme pas etre la ? Il etait stupide mais quand meme pas à ce point la. Et bien, il semblerait qu'il le soit. Il etait tranquillement assis sur le capot de la voiture jouant avec son portable.
- Dis moi, tu aurais fait quoi si j'avais refusé ?
- J'imagine que je serais passé par la fenetre et que je t'aurais kidnappé tranquillement. Ou quelque chose d'equivalent du moins. J'ai toujours detesté perdre.
Elle sourit dans le noir. Elle n'arriverait jamais à le comprendre totalement.
- Ok , je leur dit, me prepare et j'arrive.
- Une derniere chose, ajouta t'il d'une voix suave. Previens les que tu ne vas peut etre pas rentrer de la nuit .....
Son coeur s'arreta de battre une faction de secondes puis se mit à battre à la chamade. Elle deglutit avec difficulté et racrocha le telephone peut etre un peu plus violemment qu'elle ne l'aurait souhaité. Mais comment ce petit ********** ( mettez celle que vous préférez ) arrivait à lui faire cet effet la ? Elle n'y comprendrais jamais rien. Enfin bon, elle verrait bien. Soudain , elle se precipita vers la chambre de ses parents et leur brodda une histoire invraisemblable. Mais pourquoi ne disait elle pas la verité ? Elle n'en avait aucune idée. Peut etre avait elle peur d'etre decue à nouveau. Ou etait ce juste parce qu'elle avait peur que la joie ( ou le desir ) ne transparaisse trop à travers sses mots. Toujours est il qu'elle laissa ses parents interloqués dans leur chambre et fonca dans la salle de bain. Il etait peut etre insensible à ses charmes la derniere fois, mais elle allait tout faire pour que ca ne soit pa le cas
Pendant ce temps , il etait nonchalement allongé sur le toit de sa voiture et regardait les etoiles. Il aimait laisser ses pensées vagabonder, mais la, elles ne faisaient que galoper en direction de cette maison. Ou plutot vers la salle de bain. Imagine l'eau ruisseler sur son corps nu .......... Non mais qu'est ce que c'était que ces idées. Il etait en train de muter en pervers ou quoi ? Il fallait qu'il se ressaisisse. Ce n'était quand meme pas la premiere fois qu'il sortait avec une femme. Certes elle etait ravissante mais quand meme. Non , c"tait faux et il le savait. Elle etait bien plus que desirable. Elle etait tout simplment fantasmagoriquement affolante. Un ovni dans sa vie qui avait collé sa raison sur orbite. Ca lui faisait mal de l'avouer, mais elle etait tres importante pour lui. Et pa que pour cette paire de ....... mirette ? Allons, resaisis toi, non de zeus. Il se leva et s'assit sur le paillasson. Pour une raison betasse, il preferait etre devant la porte pour la recevoir que dans la voiture. Galanterie ? Tu parles. Il voulait admirer le spectacle ouais. Il s'adossa à la porte et joua avec le paquet de cigarette sans nicotine qui trainait toujours dans sa poche. Il crevait d'envie de s'en griller une. Mais s'il y avait juste pensé, elle l'aurait laissé campé devant la porte toute la nuit. Bon, tant pis, il se contenterais du bruit des cigales. Il ferma les yeux et se laissa emporter par le champ de la nature. Au moins, son coin etait agréable à vivre. Meme si ctait un peu nulle part. Il commencait tranquillement à s'assoupir quand soudain la porte s'ouvrit en grand. Il etait tellement desequilibré qu'il s'ecrasa sur son dos. Quand il ouvrit les yeux, il avait une vue imprenable sur la plus jolie paire de jambe qu'il lui eu été de voir ( du moins depuis la semaine derniere ). Encore heureux qu'il fut un " gentleman " . En ouvrant un tout petit peu les yeux, il aurait vu quelque chose qu'il desirait enlever mais qui l'aurait empecher de conduire droti. Brrrr, un peu de sereixu. Il se leva precipitement et se retourna pour s'excuser quand il regarda vraiment ce qu'il avait en face de lui. Et les mots mourrurent sur ses levres. Elle portait un fourreau noir si moulant qu'on aurait dit une seconde peau. Cette gaine de velours mettait incroyablement en valeurs ses courbes si sensuelles. Elle n'avait pour toute parure que ses cheveux , qu'elle aviat laissé flotter librement sur ses epaules. Ses yeux brillaient ( d'amusement, probablement ) telles des opales dans leur ecrin. Seigneur ideu , mais elle etait litteralement divine. Et il avait refusé CA ? Cretin , cretin, cretin , baka, estupido, fucking brat. Ca resterait un poids sur sa conscience jusqu'à la fin de sa vie.
- Hum, tu es .......... hum, euh ..... On y va ?
Elle eclata de rire, lui prit le bras avec une douceur non feinte et l'entraina lentement vers la voiture
- Ferme la bouche, tu vas finir par baver
Son sourire mutin etait la plus belle chose qu'il avait jamais vu. Il devait avoir du sable dans les yeux la derniere fois.
Il mit le contact et se dirigea vers le restaurant

Vendredi 24 février 2006 à 5:24

Alors, ou en etais je dans mon recit ?

Ah oui
Replentons le decor
Lui, sortais de paname, retourne chez lui et invite une jolie mamzelle à diner.
Apres un pic nic sur la banquette arriere d'une voiture, au bord d'une plage, nos deux protagonistes commence à s'embrasser. Lorsque nous les avons laissés, notre seducteur du jeudi matin commencait à delicatement embrasser l'epaule de la demoiselle. Retournons au feu de l'action


Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle , descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule. Sa peau avait une odeur suave, entetante. Il commenca à degraffer son soutien gorge tout en l'embrassant voluptueusement. Jamais un simple baiser ne l'avait mis dans cet etat la. Et il avait bien l'intention que ca aille de mieux en mieux. Il enleva lentement cette barriere de tissu, admirant pour la premiere fois la perfection de ces globes. Seigneur dieu, à ce stade la , ce n'etait plus des seins, mais des oeuvres d'art. Il planta son regard dans le sien, ses yeux brillait d'exitation mais aussi de frusration. Un regard à rendre fou un ayatollah. Il prit l'un dans sa main et le petrir aussi delicatement que possible et commenca a prendre le deuxieme entre ses levres. Elle gemit lentement sous la carresse. Ca y est , il allait enfin assouvir son desir.
Le moment qu'il avait attendu tant de temps, qui l'avait tenu eveillé tellement de nuit etait à sa portée , et la seule pensée qui lui traversa l'esprit était qu'il ne voulait pas que sa premiere fois avec elle se passe à l'arriere d'une voiture tachée du gras d'un sandwich. Quel imbecile. Il avait une femme desirable entre ses bras qui s'etait offerte à lui , et lui, il lui, il allait la repousser. Partagé entre l'idée de se mettre des giffles et l'idée de laisser aller ses envies, il se redressa néanmoins
- C'est l'heure, je te raccompagne chez toi
Elle se redressa sur un coude et le regarda, interloquée. Elle devait avoir mal entendu
- Tu plaisantes, n'est ce pas ?
- Non. J'avais dis 10h , on a tous juste le temps de se mettre en route. Une promesse est une promesse. Tu as oublié
- Tu te crois drôle ? Tu ne l'es pas. Pourquoi tu fais ça ?
- Ca ne me plait pas plus qu'à toi. Mais c'est la seule solution qui me vient à l'esprit
Elle fit lentement glisser ses doigts le long de son epaule et lui murmura au creux du cou :
- Tu es vraiment sur que c'est la seule idée qui te vient ...............
Ses doigts étaient d'une douceur folle. Il n'avait qu'une seule envie. Tendre la main et passer ses doigts dans ses cheveux. Lui murmurer ce qu'il ressentait en cet instant. Elle etait en train de le rendre litteralement fou de desir. Mais il ne pouvait pas. Pas maintenant. Il se leva ( la demarche un peu raide, il faut bien l'avouer ) et se mit au volant.
- Reste à l'arriere, tu pourras te changer. Je ne regarderais pas dans le retroviseur. Tu peux en etre sure , soupira t'il
Elle recut cette phrase comme une gifle. Jamais elle ne s'étais senti aussi humilliée. Non, ce n'étais pas de l'humiliation. C'était purement et simplment de la frustration. Il ne pouvait pas lui faire ca. Pas maintenant. Pas apres tout ca
Il demarra la voiture et brancha la radio. Il avait besoin de se vider l'esprit. Ne pas penser. Srtout ne pas penser. Il l'entendait se changer à l'arriere. Imaginer le frolement du tissu glissant contre sa peau. Houla, mieux valait se concentrer sur la route, il allait finir dans un fossé. Soudain, il sentit des levres se presser contre son cou. Sous la surprise, il fit une legere embardée. Encore heureux qu'il ne fut pas un trop mauvais conducteur
- Encore un coup comme ca, et on finit contre un arbre, lui signala t'il doucement
- Je voulais juste savoir si je te faisais quand meme un peu d'effetL L'air mutin
Il grommela un "imbecile" préalablement machouillé, haussa le volume de la radio et se concentra sur la route. Mais comment faisait elle pour ne pas se rendre compte d'à quel point c"était douloureux pour lui. Sans doute beaucoup plus que pour elle.
Ils arriverentd devant chez elle. Il se tourna lentement
- Ca y est , on est arrivé. Hum.... Ecoute, je suis désolé pour ce qui s'est passé
Elle le regarda froidement , ouvrit la portiere. Il était vraiment stupide ou il imitait le cretinisme à la perfection ?
- Il ne s'est rien passé. Et c'est bien ca le probleme
Elle claqua la portiere et marcha rageusement vers la maison
Il la rattrapa un peu plus loin
- Je deteste quand tu es comme ca. Alors arrete. Tu crois que c'est facil pour moi ? Je sais que c'est pas vraiment comme ca que tu t'attendais que la soirée finisse. Mais on merite mieux. Non , TU merites mieux. C pas comme ca que je voyais .............
Enfin bon, fais comme tu veux.
Il deposer un baiser leger comme le vent sur ses levres et marcha ( s'enfuit ouais, couille molle ) vers la voiture


Suite plus tard

Vendredi 24 février 2006 à 5:14

Amis du soir bonsoir

Je me rends compte que finalement, les souhaits peuvent juste etre quelque chose de creux qu'il vaut mieux ne pas exaucer. Ou en tout cas, qu'il faut choisir le moment.
J'aimerais bien des fois n'avoir jamais deamndé cke j'ai demandé. Mais je l'ai eu. Alors il va falloir que je fasse avec.
Mais bon, j'avouerai que ca m'ennerve des fois. Ca m'attire presque autant de problemes que de plaisrir. Et je n'aime pa les problemes. Et tout ca pour rien, en plus. J'en ai marre que ca dure.Mais ca ne s'arretera jamais, n'est ce pas? Porukoi ? Paske je ne suis pa sur d'avoir envie que ca change. Et il n'y a pa que ca que je veux voir immuable. Je ne suis pa pret. Et elle non plus. C'est la vie. La mienne, ne tout cas. J'aimerais qe ca change, mais ca ne le fera pas , n'est ce aps. J'aimerais bien que tout change, quelque fois, mais ca ne sera pa le cas. Quelle misere, n'est ce pas ? J'ai faim de tout . De savoir, de plaisir, de joie , de peine. Mais je ne suis rasasier de rien ,emem pa de douleur. J'aimerais tant que ces cris dans ma tete cessent. Mais ils restent, lanccinant, cruels, me devorant peu à peu de l'interieur. Et le pire, c'est que j'aime ca presque autant que je deteste ca. Je dois etre fou. Non, je suis fou, ca , ca ne change pa; Mais uq'est ce que la folie , apres tout, si ce n'est un decallage par rapport au psychisme classique, si le psychisme claissique existe vraiment .
Bah, ce n'est pa grave. Je reviendrai à ma prise de tete naturelle. C'est un fait que je sois cinglé. Mais je veux quelque chose, mais je ne sais quoi . Ptete une pipe ................ Non, ca serait trop trivial. Agreable, mais trivial. Non ,en fait, je cherche kelke chose de plus ......... grand. Oui, grand est bien le terme, je veux un changement. Mais lequel ? Lequel ? J'aimerais tant savoir .............



Je souffre de ca. C'est desagreable, mais c vrai. J'en souffre, de cet immobilisme. Et le pire, c'est que personne ne peut m'aider. Tout le monde me sort les meme fadaises " tu ne fais pa d'effort " Mais allez tous vous faire FOUTRE. Vous ne savez rien ,vous qui parlez. Vous pensez savoir, mais que connaissez vous de ma petite personen ? Hein ? Rien , c'est ca le problem. Vous vous imaginez max, mais vous ne connaissez pa max. La seule personne qui me connait ne le sait meme pa. Amusant, n'est ce pas ?Tripan ,meme. Mais agacant. Je ne peux meme pa en parler. A qui en parler. Le monde est partiale. Entre celles qui n'en ont rien à foutre, let celles qui sont impliquées ou tout simplmenet celles qui vont mal le prendre à qui parle ? A personne. paske personne ne comprendrait . Je n'arrive meme pa à le dire. Alors l'expliquer? De toute facon, kan j'essaie, on me regarde comme une bete curieuse, et on me dit que c'est de ma faute .Et apres, on me dit uqe je ne parle pa. Oui, je ne parle pa , et koi ? Ca vous defrise ? Ben pa moi . Max ne parle pa de lui mem , c'et un fait. Je n'oblige personne à m'aider. Mais personne ne m'oblige à accpeter son aide. Ca vous vexe ? Je m'en moque. Vous meme ne vous laissez meme pa aider, alors pourkoi me forcer ? Je ne veux pa , c'est tout . Laissez moi

Mercredi 15 février 2006 à 1:41

J'inspire, J'aspire a cet instant eternel
Un moment De paix royal, mais illoyal
Mes peres pleurent Mes defauts et mon defaitisme
Mes soupirants meurent de ma desinvolture
et mon amour s'emiette a chaque Souffle de vie

J'ai peur des tenebres
pourtant j'y vais a pas de courses
Je m'y risques sans pensees Aux autres
J'y vais sans penser a moi


JE me jettes Dans la gueule grande ouverte de ce loup Affame
QU'ai je fait? Ke m'a t on fait?
Je me sens defaillir, envahir
Trahir, et trahis..

Mes regards se perdent dans l'horizon
Mon Ame soeur se morfond de mon sort
Et la Mort Se confond parmi les siens.
Que suis je? a part une ombre sans ame?


Delivrez moi tout puissant Etre
Des Cieux, des Tenebres, des environs.
J'aspire a connaitre la reussite Ave cun bien fait d'effort
Tant voulu et merite..

DnG
JE me sens Vide, Etrange, Sans plus aucune etreinte
Je me sens defaillir

Mercredi 15 février 2006 à 1:38


OUaiche
Hier soir, on m'a posé une question assez amusante.
Peut on aimer et detester quelqu'un en meme temps ?

Pour moi, la reponse est sans hésitation oui.
Et pour une fois, je vais meme vous faire un detail de la reponse ( et apres , on dit que je suis pa délicat. Les cons ! )

En fait, l'amour et la haine ont la meme source emotionnelle : la passion. Et c'est l'une des emotions les moins controlables ( si ce n'est la moins tout court ). En fait, ce sont meme des emotions purement oposées. Dun coté la haine, c de la passion négative. L'amour de la passion positive.
Dès qu'une péripétie un peu forte arrive, elle peux faire basculer d'un coté comme de l'autre.
Et ca peux etre vraiment nimporte quoi
Comme quelqu'un de jaloux qui s'en veux et qui transforme l'objet de son desir en objet de haine.
Mais ca peux etre plus banale. Quelqu'un d'amoureux qui voit l'objet de son amour tomber amoureuse ou tout simplment triper avec quelqu'un d'autre
Mais ca peux tout aussi bien d'etre d'ordre "domestique" ou relationnel.

En fait, l'amour-haine a plusieurs ramification
C'est le doute et l'ennui qui arrivent, l'épuisement du désir, l'incompréhension, l'habitude, l'indifférence, l'éloignement, la déception, le ressentiment . Il survient une interruption de communication, comme rien n'avait jamais existé
Sans compter d'autres facteurs, comme l'absence, la frustration, le manque.
La haine apparait dès qu'on se rends réelement compte que l'objet de la passion peut devenir un objet de sa propre destruction. Sa propre faiblesse devient une source de conflit interieurs, à la recherche d'un bouc emissaire.
Sans oublier que l'amour ou la haine de soi sont suffisamment forts pour supplanter la représentation du jugement d'autrui et de soi meme.
Spinoza a dit que si quelqu'un imagine que qu'un autre que soi emem s'attache la chose aimée par un lien d'amitié ou un lien plus etroit que que celui par lequel il l'avait seul en sa possession, il ressentira de la haine pour la chose aimée et enviera le rival. Malin , le spi, non ?
Alors donc, craignant les consequences nefastes qui s'augurent à travers les intentions agressives d'autrui, on anticipes els eventuels represailles et nous nous mettons à vouloir le plus grand mal à l'objet aimé, car il pourrait etre en position de nous faire du mal, reaction de pure auto defense. Donc, en prenant les devant, on se laisse envahir par la tristesse, tristesse n'ayant comme consequences que de nous detruire mentalement. Tristesse, qui va nour forcer à adporter des comportements clairement agresseif, comportement qui ne pourra que valoir la declartion de l'agressivité latente egalement enfoui chez l'etre aimé.
Bien sur , ces brusques acces de colere ne sont motivés par rien de concret, le sentiments de colere ou de joie n'ayant aucune base réelle , des le depart

Freud simplifiait en disant simplment que dans la notion d'amour, la possession rentre en grande part. ès lors que la possession est menacée, la haine surgit, arme au poing, oposant la libido à la destructo, les deux plus grandes pulsions humaines.

L'amour , c l'un des rares trucs qui se controle pas , tout comme la haine.


Alors , vivez heureux, vivez pragmas

Dimanche 12 février 2006 à 23:39

Ses bras m'enserrent mais mon ame reste de glace
Mes mots restent plaqués au fond de ma gorge.
Quelle importance auraient ils vraiment apres tout ?
Je la regarde, mais mes yeux, toujours sont flous
J'aimerais revenir abien vant que ne se forgent
Ses sentiments troublés qui ne me laissent que las

Le monstre vert me devore les entrailles , peu à peu
Ne laissant que la carcasse, un cadavre vivant mais creux
Comme j'aimerais que cette vision me laisse enfin
Je voudrais juste pouvoir me refugier contre son sein
Mais cela m'est interdit, maintenant, peut etre à jamais
Tant que cela restera ainsi, une perte de temps stérile
Un bete reve perdu dans une réalite sortide et servile
Tant pis, c'etait un joli reve, juste un peu surfait
J'aimerais dire que cette sensation puérile disparaitra
Mais cela ne serait etre, plus maintenant, plus apres ca
Cette situation m'emprisonne dans un oroboros infini
Et cela, je ne pourrais le supporter, je deviendrais fou
Alors, je pars, je me laisse endormir par ce cri
Cet appel lanscinant pour me trainer au fond de ce trou
Ce precipice sans fou qu'on appele la solitude
Mais apres tout ,n'est elle pa ma plus vielle camarade ?
Alors , je la rejoindrait, elle et ses turpitudes
Apres tout, ca ne sera qu'un episode de la vie d'un barde

Dimanche 12 février 2006 à 23:17

c'est l'histoire de pierrot

c'est un ptit meunier

il n'a pas de fric

mais bon

il ferait nimporte quoi pour y arriver

alors

en plus de la farine

il decide de faire un trafic d'heroine

farine : blanc

heroine : blanc

donc , il se dit qu'il se fera pas chopper

alors, pierrot commence à melanger les deux poudres

resultat, dans sa ville, on vient acheter son pain par kg
Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( jeet defends de raconter des histoires a des enfanst toi..)

et il commence à se faire plein de thunes


mais , tu vois, la boulangerie, elle est pa à lui

Ses tendres levres se sont pose sur moi; je me suis sentie emmerge par la mort de sa passion.. dit :
( Je t'interdit de regarder la tv aussi. )

et un jour, le maitre boulanger lui demande de remoudre toute la farine, pour le punir, parce qu'il etait jaloux

resultat, periot se tape 2 kg d'heroine dans le nez

et il a le bad trip du siecle


il commence par se voir devenir gigantesque

puis, soudain , une fée lui apparait

et lui dit ; pierrooooooooooooooooooooooooooot , c'est pas bien ce que tu as fait

comme pierot, il est geant, il l'ecrase contre un mur comme si c'était un mousitque

" ta gueule connasse "

puis, 20 minutes apres, une autre fée apparait

pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot , c'est pa bien

paf, une autre tache sur le mur

il en ecrase 20 des comme ca

il est tout gueze et tout

et puis

soudain, il voit une superbe épée flamboyante

il la prends en main

et une voix lui apparait soudainement, et lui dit : pierrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooot, il fo que tu affrontes l'horrible brutos

l'horrible brutos etant un etre maléfique qui passe son temps à terroriser les femmes et les pitits nenfants

alors, pierrot prends son epée magique et affronte brutos

c un combat epique de 3 minutes ( pierrot , il est shooté , alors il est rapide, ce con )

et paf, il delivre la charmante princesse

super bonne et tout

et bon

elle commence à le remercier

et paf

il la saute

et c tellement bien

qu'il s'endort comme un pepere

kan il se reveille , il est au poste

au final , il a gifflé sa mere 20 fois ( pierroooooooooooooooooooooooooooooooot , c pa bien ), il a ecrasé les gateaux ( il etait geant paskil marchait sur les figurines ) il a egorgé son boss ( brutos ) et il c tapé la femme du patron ( qui le remerciait vraiment, ce con )

moralité : fo moudre l'héroine au mixer



Ceci ,n'est bien sur pas un conte pour enfant ( fasse le ciel que vous l'ayez compris ) mais juste un conte pour adulte demandé à 4h du matin ( fo pa me demander de raconter une histoire à 4h du mat, ca degenere toujours )
Désolé pour l'orthographe, c du copier coller

Dimanche 12 février 2006 à 22:08

Fellings
L'amour et le bonheur , les 2 concpets les plus subjectifs et les plus abstraits chez l'homme et pourtant qui assujetissent sa vie concretements.

L'amour et le bonheur sont totalement liés aux perceptions et au ambitions du penseur
Mais l'amour , c'est pire car lui, il l'est egalement à celles du ciblés.

Je me dis que ce sont deux notions totalement discosiables et pourtant entremélées.
La quete de l'amour est une quete qui est liée au succes du bonheur, et pourtant , le bonheur peut se passer de l'amour et vice versa

Mais qu'est ce qeu l'amour ?

Est simplement le fait d'eprouver une passion indiscible pour quelqu'un ? Non , l'amour est plus grand. Plus noble, je ne sais, mais plus grand, assurement. L'amour, c'est avant tout un maelstrom de tous les sentiments se melangeant , se confrontaient, dans le seul but de jauger un etre que l'on considere plus ou moins idéal. Mais c'est tellement plus que ca. Les senitments n'ont qu'une taille infime. La vraie force reste les emotions. L'amour se nourrit et nourrit les emotions. C un cercle vicieux. Quand on eprouve de l'amour, la joie se propage , augmentant l'intensité de lamour. Mais cela marche egalement avec les sentimes negatifs lié à l'amour, et qui sont pourtant un bagage indiscosciable.
Mais est ce donc que cela, l'amour ? Non, il manque encore quelques données.
Telle la foi en l'etre aimé, l'abnegation, l'envie de reconfort, le plaisir de la rencontre, le flirt perpetuel, etc etc etc .....
L'amour, c big, ca peut etre fade ou transcendant. Gratifiant ou douloureux. L'amour est un combat entre 2 voies possibles. Bref, c'est quelque chose

Mais , il n'est qu'une condition pas forcement sine qua non au bonheur

La, c legerement plus compliqué. Le bonheur est une notion VRAIMENT subjective
Pour certains, ca sera les bien materiels, pour d'autre, une paix interieure, pour d'autre une vie familliale sans histoire , pour d'aure de menus plaisirs. La notion de bonheur est personnelle et mouvante. Elle bouge selon les experiences, les rencontres, les plasirs. Et c'est assez deroutant. On ne sait meme pas si c'est ressenti de la meme facon, si c'est forcement rattaché à un but. C compliqué le bonheur. Peut etre encore plus que l'amour
Pour moi, le bonheur et l'amour sont intrasecement liés. L'un ne va pas sans l'autres. Mais mon probleme, c'est que mes sentiments ne rentrent jamais en ligne de compte. Seul le plaisir de l'autre compte. Ent fait, je ne suis heureux que si l'eventuelle est heureuse. Peu importe avec qui. Peut importe le fait que ce que je ressens soit enfoui profond sans espoir de remonter. Seul compte le fait qu'elle soit vraiment heureuse. Le reste n'est qu'aditionnel. Je dois etre masochiste dans le fond. Ou juste vraiment minable. Mais pourquoi se battre, n'est ce pas ? Cela serait sans interet. Et puis, c long à faire, quand meme. Ca demande l'entrainement, et tout, et tout.

Ma notion de bonheur personnelle est assez limitée. Un ptit trou, un peu de thé glacé, un pc et une connection internet avec des relations irl de temps à autre et de la tendresse de temps à autre.
Dis comme ca, ca a l'ar si minable comme objectifs.
Et pour etre franc, ca l'est. Mais, c le cas. J'aimerais juste etre tranquille. Avoir un coin à moi. Quelqu'un avec moi. Une paix relative. Un peu de distraction. Un peu de talent à distraire ma compagne. Pouvoir voyager, si cela est possible. Avoir un travail gratifiant qui aide les autres. Ca, pour moi, c'est la notion ultime du bonheur. Nul besoin d'argent, de conquetes, de renomée. Tout cela est sans aucune importance pour moi. Je ne recherche pas le faste , mais la paix . Je n'ai jamais aimé la gloire, et ne pense pas le faire un jour. C'est ainsi

Dimanche 12 février 2006 à 22:05

C kan meme embetant de ne pas être capable de parler de ses sentiments. Et je parle pas que pour moi.
J'ai toujours eu du mal à me confier. C pa ma faute. Avoir confiance, c kekchose de difficile pour moi. Ché pa. Se mettre à nu comme ca devant quelqu'un alors qu'il risque de le sortir à nimporte quel moment, ou pire qu'il s'en foute, je trouve ça....... embarassant. Et pis, je me suis toujours dit qu'on en a rien à foutre de ma vie. C ptet pour ca que je suis de bon conseil. Paske je considere ma vie comme etant un bourbier. Donc je sers de ciment pour les autres.
Au rythme ou ca va, je vais finir dans les courriers du coeur d'un magazine pourrave. Triste moi. Devrait ptet faire assistant social qui sait. Mais bon , je crois pa que g le style pour ca. Tro je m'en foutiste. Et pis je me vois pa avec l'avenir de quelqu'un entre mes doigts. Je risquerais de flipper. Nan , je crois pa etre fait pour ca.
Je devrais aller voir un psy, vous croyez pas ?
Koike , non , c pa de la folie, juste de la solitude et un manque de confiance. Devrais peut etre me mettre à courir tout nu dehors. Ca me guerirait ptet

Dimanche 12 février 2006 à 22:04

Me suis rendu compte y a 5 min que je suis un androgyne ( et pa une meuf déguisée, imbecileuuuuuuuu ).

Deja le physique est contre moi. Une personne sur deux m'appele madame ( je vais buter la moitié de la france si ca continue ).
Bof, je dois etre le seul mec que je connais qui regarde le foot à l'occaz ( et je dis bien à l'occaz ), qui aime pa se battre (koike) qui s'en fout des trucs à moteurs ( ca c kler ), qui s'en fout un peu du sport. Qui peut regarder une meuf à poil sans que popole se leve. Je sais faire la cuisine, le repassage, lavage, vaisselle et autre truc du genre. j'ai un gout esthétique de pédé kan je daigne y mettre du mien(dixit ma meilleure amie ). Et g (presque) des valeurs morales
Heureusement qeu j'aime les femmes sinon , je jurerais que je suis gay
Ciel quel cauchemard qu'est ma vie

Dimanche 12 février 2006 à 1:22

 J'aimerais tant me laisser aller
Pouvoir crier sans discontinuer
Juste me laisser porter par le vent
Que l'on me devore lentement
Pourtant, toujours, cela me refusera
Car c'est toujours le voeu de fortuna
Elle me fait, je ne saurais dire
Mais moi, je l'aime , elle m'attire
C'est ma nemesis, cette malchance honteuse
Et pourtant, elle rends ma vie creuse


Soit, si tel est mon destin , je m'y plie
Apres, aurais je vraiment un jour le choix
C'est ainsi qu'elle me voit, déesse impie
Toi qui me harcele sans cesse, jour et nuit
Et pourtant, tu es et reste mon egerie
Toi qui ne m'apporte que souffrance voire pis
 Je t'aime, je t'admire, et c'est ma croix
Et pourtant, en mon coeur reste la pluie
          
Pourkoi n'ai je pas droit comme les autres
Au soleil, ne serait ce que quelques rayons
Je ne demande pa le bonheur eternel
Apres tout, je ne le merites pas, je le crains
Non, non, je ne demande qu'un peu de lumiere
Dans cette obscurité perpettuel qu'est ma vie   
Laisse moi juste un moment, je t'en pris
Voire mon plaisir fleurir en cette terre
Qui me rejette toujours loin de son sein
pourtant, en moi peine et plaisir se melent
Peut etre jouis je de cet etat de pion
Apres tout, sans lui je ne serais ton apotre

Samedi 11 février 2006 à 4:13

IL la ramena à la voiture, grignotant rageusement ses pâtisseries. Il devait être mort de faim, apparemment
- Attend. t'a pas manges depuis 2 jours et c'est ce que tu trouves à bouffer ? Mais on devait pas aller manger quelque part par toi et moi?
- Si, mais tu me connais deja, tu sais que je manges pour un regiment.
Elle rit doucement
- Bon, enchaîna t'elle, alors quelle plage tu préfères, demanda t'elle en regardant négligemment par la portiere.
- Aucune idée. la ou y a de l'eau, c parfait répondit il sans même la regarder
Cela l'étonna un peu, mais elle fit comme si elle n'avait rien remarqué
Bon je me suis payes un maillot je ne sai si te conviendra, mais au moins je sai ce que je pourrais me baigner
Il mâchouilla un Ok entre ses lèvres et continua à fixer froidement la route.
Son comportement commençait à l'inquiéter, donc elle prefera calmer le jeu;
- Tu sais que j'ai des devoirs a afire ce soir glissa t-elle ? Donc tu tien ta parole de 10h, ok ?
Il ne daigna même pas répondre. Il semblait totalement perdu dans ses reflexions
- Euh, bon tu m'as promis une heure de rentrée me fais pas avori trop de problème ce soir ok?
- Ok promis, répondit-il enfin. C'est juste un diner je vois pas pourquoi tu stress. Relax... . termina t'il en mordant tranquillement dans un croissant.
Le long du chemin ,il l'examina du coin de l'oeil, scrutant les cernes sous ses yeux. Elle avait l'air épuisée. Voyant cela, il mis un peu de musique, histoire de distraire son esprit sur cette fichue école ( qui cesse pas de lui pourrir la vie, d'après ses propres termes)
- Alors Max tu es la pour combien de temps encore? est ce que j'aurais le e plaisir de te revoir aussi souvent que ca?
- En fait,je sais pas, je suis la que pour une semaine, question de régler deux ou trois petites affaires comme ca.
- Ok, mais tu aurais au moins pu me prevenir de ton arrive, je me serais mis en valeur au moins. T'es chiant des fois...mais enfin.. si ce n'ai pas trop indiscret, tu es venu régler quoi?
- Tu sais quoi ? Je me suis toujours demande pourquoi les filles étaient toujours aussi curieuse, pas toi?
- Il lui lanca un regard flatteur sur une expression un peu banal, la réponse n'était pas vraiment loin ( faut pas chercher quoi!!)

Elle se tue, comme vexée par ses commentaires.
Arrivés sur la plage,il s'étira longtemps et en grand. Mais elle resta assise, un peu hébétée par le voyage et demanda innocemment :
- Je me change où moi, demanda t'elle ??? je veux bien me baigner, mais s'il faut que je mette le maillot...?
- Ben tu fous ton maillot répondit t'il du tac au tac , regarde, il n'y a pas beaucoup de monde,je vois pas ce que tu as caches...
Il eut tout juste le temps de se baisser pour éviter la chaussure qu'elle lui lanca et sorti de la voiture en s'esclaffant
Elle ferma violemment la portière, maugréa quelques jurons bien sentis, placa son paréo de maniere à dissimuler l'intérieur de l'habitacle et se contorsionna, se débrouillant comme elle pu pour se changer.
Un peu déçue de son choix, elle descendit de la voiture, un peu persuadé par les appels de son compagnon attendant pour aller se baigner. Elle détacha innocemment le pareo, le laissa glisser à terre et lui demanda si au moins ca lui faisait plaisir ce qu'elle avait pris
Le maillot était un bikini plutôt Sexy, quoi que banal , mais comme si elle le connaissait depuis toujours , elle avait choisi des couleurs qu'il aimait par dessus tout, un bleu turquoise comme l'eau d'un lagon avec des filament de rouge virant de l'orange et au jaune com un couche de soleil; Le maillot jouait un faux role de Balconnet, laissant apparaître une généreuse partie de sa personne. Bref, bonnasse ; quoi
Il resta bouche bee, littéralement fasciné devant ce qu'il voyait, tous ses doutes sur ce qu'elle pouvait être s'étaient dissout tout d'un coup. Elle le regarda, lui demandant pourquoi il la fixait et bêtement. il repris son air paisible et dis calmement
- Non juste que si il n'y avait pas plus moche oche que ca.
S'il était honnête avec lui même; ce maillot n'était pas vraiment sa proie a ce moment precis.
Presque furieuse d'avoir à subir autant de plaisanteries douteuses, surtout d'une personne qui lui aussi avait tant attendu pour la voir. Elle remis son Tee shirt aussi vite que possible et le poursuivit sur la plage
Ils se mirent alors a courir sur la plage, lui se moquant de sa lenteur et elle préparant un plan pour l'attraper ( aucune sens de l'humour, les meufs). Mais elle n'était pas vraiment au bout de ses surprises; il s'arrêta juste un instant pour lui donner du leste afin qu'elle le rattrape, et une fois arrive vers lui, elle sauta , de façon à le déstabiliser:
-Non ne fais pas ca tu vas me faire tomber
- C'est bien mon but, cretin
-Quelle gamine tu fais des fois.
- Attend, tu vois pas les conneries que tu me dis ? Entre te noyer et t'étrangler pas grand choix
- Tssssss, pourquoi tant de haine
ll la souleva et la plaqua dans l'eau. Immobilisée par son poids par lui qui la maintenant sous lui, elle tentait en vain de se débattre. Mais il continu de l'étreindre en la fixant...
-Tu regarde quoi com Ca toi?
Il la releva doucement, et passa tendrement la main dans ses cheveux. Et dis tout doucement........
- Rien, tu avais une algue dans les cheveux
Il l'enleva d'une pichenette et se glissa légèrement dans l'eau, se laissant porter par la vague
Elle le regarda, légèrement surprise. Mais il était tranquillement bercé par le roulis des vagues, dormant presque
Elle l'éclaboussa légèrement et se mis à nager nonchalamment dans l'eau
quelques temps après, elle le chercha du regard, bien décidé à le faire bouger. Elle en avait un peu assez de son comportement lymphatique. Depuis le temps qu'ils devaient se voir, il était trop distant, trop glacial. C'était pas normal, ca cachait quelque chose
Mais il était introuvable. Ca sentait le coup fourré
Elle le chercha quelques minutes, puis se dirigea vers la voiture, se préparant à s'appeler un taxi , quand elle le trouva tranquillement en train de dresser une table de fortune sur la banquette arrière de la voiture
-Je te devais un diner , non ?
Surprise par ce diner de fortune, elle se sécha comme elle pu de Sa serviette, elle s'assit provisoirement dans la voiture en le gardant faire, elle regardait d'étonnement mais aussi d'admiration
Lui poussait la chansonnette, une musique sortie de je ne sais ou et quelques minutes après déclara que c'était prêt
Tout les 2 s'assirent devant cette table improvise en tête a tête. Comme s'il avait deja tout prepare, il y avait un chandelier a 2 branches, ils éclairaient déjà suffisamment, car le soleil était deja coucher depuis 1/2 heure deja.
il s'assirent face a face se baignant chacun dans le regarde d l'autre, quand soudain un vent frais Vint caresser son dos, et son visage a lui, elle frissonna doucement, pour jouer son galant homme? Il sorti de table et pris sa chemise qu'il mit sur ces épaules, il faisait enfin preuve de rapprochement après tant de temps... ( putain de cabotin )
-Merci c'est gentil de ta part, je me doutais pa ce que tu pouvais être galant, ajouta t'elle d'un ton ironique
il la regarda d'un air moqueur, et se remit a table
les lumières des flammes des Bougies dansait sur son visage encore salé et ensablé, il la regarda une fois encore plus fixement, mais cette fois l'excuse de l'algue ne pouvait plus fonctionner.
- Je peux savoir pk tu me regarde Comme ca depuis un moment?
Comme surpris par un réveil il sursauta
-euh non pour rien laisse tomber, tu comprendrais pas!!
-Comment ca je comprendrais pas? je suis trop bete pour ca?? ou bien...
Pour éviter encore une fois de s'embrouiller inutilement avec elle, il avoua que dans le noir , mais en vrai cette fois, Sa beauté était une vrai merveille
Stupéfaite de cette réponse, elle rougit sur place
- le problème , c'est que je rêve de t'embrasser depuis si longtemps. Et maintenant que j'en ai l'occasion, ma raison me dit de te ramener chez toi , le plus rapidement possible. C'est bete hein ? Tant de temps à rêver que de ca , et à deux doigts d'y arriver, c'est une bêtise
Elle écarquilla les yeux, littéralement abasourdie. Elle eut beau chercher une réponse, elle ne put que le regarde fixement, l'air hagard
- Je ne reste qu'une semaine, continua t'il. Si je me laisse aller, kan je repartirais, je deviendrais fou. Je ne t'ai jamais encore touché et je le suis deja; je n'ose même imaginé ce qui se passerait si on allait plus loin. Alors la, on va finir tranquillement de manger,et la, je te raccompagne et je vais me coucher
il était en dilemme avec sa conscience, un coup il se disait si je me laissais aller je deviendras fou, mais s'il ne réalisait pas se rêve tant desire ils ne seraient plus que Frustre. Deja l'avoir touche dans l'eau l'avait presque hypnotise , lors l'embrasser...
il agit alors comme automatiquement, comme si il n'était plus maître de quoi que ce soit, il passa entre le chandelier, et d'un geste simple, il la tin (ouais c vrai) par le menton et l'embrassa plus langoureusement. Il se pencha si lentement, elle encore hagarde par ces paroles, me laissant faire et rougissant par un baiser plus profond et voulu.
Soudain, il se rassit ,la laissant hasardeuse dans ses pensées. Elle se remit quand même vite, et comme pour se venger de son geste, elle se leva brusquement et se rapprocha de lui. Elle s'assit à califourchon contre lui, l'enlaça en l'embrassant beaucoup plus tendrement et mensuellement qu'il ne l'avait fait auparavant.
Perdu pr ces geste, il reste Stupéfait , ls bras ballant dans le vent , les yeux encore ouvert de stupefaction. Puis reprenant peu a peu ces esprit, il l'enlaça aussi doucement que si elle était faite de cristal, la pencha lentement en arrière et l'embrassa dans le cou doucement.
Elle planta soudain son regards dans le sien et demanda :
- Alors ce baiser tant rêves ressemblait a ca au moins? Ce baiser était il aussi inintéressant que tu l'imaginais?
Il sourit lentement et déclara
- Mmmmmmmm, je suis pas sur, je me rappelle pas bien. On recommence histoire de me le remettre en mémoire ?
Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle , descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule

Vas t'il continuer ou sa raison reprendra t'elle le dessus ? Suite au moins quand je serais debout
La fatigue, ca me roussit pas

Samedi 11 février 2006 à 4:12

Quelques fois , j'envie les femmes de pouvoir pleurer sur un coup de tete, quand elles sont en colere ou juste tristes.
Moi, la derniere fois que j'ai pleuré , ctait pour l'enterement de mon oncle, et c paske g vu ma mere pleurer comme je l'avais jamais vu pleurer. A part ca, niet, nib , que dalle. Mon coeur est sec comme de la pierre. Par moment , il pleut un peu , mais au bout du compte, la pierre absorbe l'o , et il ne reste plus que dureté et secheresse.
J'arriverais jamais à comprendre comment je fais pour donner aussi bien le change. Kan je me regarde, toujours souriant, toujours ok , je me demande comment et surtout pourkoi je fais ca ? Au moins, je sais pourkoi personne ne me vient jamais en aide kan je suis dans la deche . Je suis incapable de montrer mes emotions. Kan je suis triste, je souris. Kan je suis en colere, je souris, fatigué, meme biten, melancolique ,rebolote.
Juste un sourire enigmatique sur la figure. Et meme pas assez stylé pour etre celui de la joconde. J'aurais du aller voir de vinci, il aurait ptet pu tirer un truc interessant de ca.
C ptet cette secheresse de coeur qui fait que je suis d'aussi bon conseil. Le pragmatisme. Toute ma vie , rien que ma vie. Je ne suis en gros, qu'un reptile qui n'aime pas manger froid. Donc je rechauffe mes proies. Mais je ne mange jamais.
On peut etre altruiste sans etre gentil ? c bizarre comme situation.
La dualité de mon etre m'etonnera toujours. Comment fait on pour eter à la fois ange et demon ? On devrait etre capable de n'en choisir qu'un, non ?
Mais moi, le choix m'est refusé, je dois me contenter de la petite voix qui chuchote à mon oreille gauche des pensées scabreuses et de la petite voix qui refute ces choix à mon oreille droite.
J'aimerais juste me fixer, etre quelqu'un ,pas quelques uns. Au rythme ou ca va , je vais finir par vraiment passer à la schysophrenie. Quoique , ca pourrait etre marrant. Ca me ferait enfin quelqu''un d'interessant à qui parler.
C bizarre, mais je me sens pas different du bonhomme d'un metre 50 à carnot
En 8 ans, j'aurais du avoir evolué. Ne serait ce qu'un peu. Mais non, i'm stll the same. C ptet que je suis incapable de changer . Ou pire, que le changement est inopérent. J'en sais rien. Fodra ptet que je verifie. Mais j'ai bo chercher , je ne vois aucune difference notable entre les deux, 30 centimetres execptés.
Je devrais arrter de penser , de regarder ma vie, de cogiter sur moi meme. Je fais partie des gens qui à force d'aider les gens à enlever le negatif, finissent par le prendre pour eux. Je suis peut etre juste une sorte de john caffey , en plus petit , et qui sait pas le refiler. J'aurais pas du lire la ligne verte autant de fois. Ca m'a filé le blues.
Je sais ce que vous allez me dire. Je devrais pas rester seul devant un pc le soir, paske ca fait resortir mes mauvais corés. Moi je dirais plutot que ca ne fait ressortir que ma vraie personnalité. N'empeche, il est etrange que pour un type ailllant autant de nevroses, de phobies, de tics, de trucs bizarres, je n'ai aucune pratique sexuelle bizarres. Pas de sm, pas de fetischimes. Meme aps un peu uro. Tsssssssssssss, la honte des nevropathes. Koike je me disperse un peu la. Bon , je vais aller dormir avant que mon esprit ne se barre definitivement en couille. C u later all

Samedi 11 février 2006 à 4:07

C fou la bande de branleur sur le net qui n'arretent pas de hurler un peu partout " a mort le rap"
Moi je trouve ca pathétique. Kombien de fois un rappeur a hurlé à mort les métalleux ?
Franchement, je trouve ca d'un naze. Vous aimez pas ca ? zappez. C pas bcp plus dur. µ
En plus, c toujours les meme trucs qu'on entend.

- C'est pas de la musique !
Non , en fait, le truc que tu entends , ce sont des vibrations de l'air qui se deplacent en tyhtme. Mais c pas du tt de la musique. Les gens qui dansent dessus sont possédés par le rap

- C'est juste une défonce pour les kayera qui vivent juste pour faucher des sacs( je suis dsl, mais la fois ou j'ai vu ecrit ca comme ac, g pété de rire pendant 3 bonnes heures )
Non , mais c vrai, c comme les métalleux. C juste des suicidés qui passsent leur temps à decouper leurs parents à la tronconneuse, c bien connu

- Ils ont l'air con avec leurs survets trop grands et leurs bonnets
C'eest vrai que c'est tres objectif venant de gens portant des colliers de chiens à pointes autours du cou. Si si si. Non mais le collier de iench, c pour la vibe, le symbole. C pas comme c caillera qui font ca juste pask'il y a des chanteurs qui font pareils. Hein.

- Les mecs ils chantent meme pas, ils composent pas leur musiques , ils se contente de parler sur des vieux samples
Je me demande parfois si le fait d'hurler comme un chat qu'on cuit à l'étouffé est beaucoup, beaucoup , beaucoup plus intelligent.

Moi , je m'en fous, toute facon , j'écoute les deux. Mais si vous pouviez arreter ca deux minutes, ca serait pas mal.
C fou de voir qu'on stygmatise une musique pour un truc que des blaireaux font dans la rue. Je trouve ca d'un pathétique.
Kan je pense que c ca qui est supposé avoir le "nouvel esprit punk". Kel blague
Mais je dois avouer que depuis 2000, le rap est en perte de vitesse.
Sinon , diams n'aurait pas vendu tt ca d'album.
Ou sont donc passé raggasonic et sniper ??????
Vais me jeter un coup de korn pour me consoler tiens

Samedi 11 février 2006 à 4:04

Jusqu'ou s'arretont les méandres de ma vie ?
Est ce que je n'ai pas droit à un peu de bonheur

Mes ideaux disparaissent emporté par le flot des evenements
Et je n'arrive pas à les retenir, malgré tous mes efforts
Nul ne peux m'aider
Nul ne vient m'aider
Une main charitable ne peut elle pas me soutenir
Inutile à ce point suis je donc pour que nul ne vienne ?
Est ce que mon sort n'interesse personne ?

Samedi 11 février 2006 à 4:03

A quand remonte mon dernier instant de paix
Une idée me vient en tete , mais je prefere la refouler.
Des desirs, des envies,mais aucune réalité.
Reste dans mon esprit, des pensées fultiles ou dépassées
En quoi puis-je trouver la paix si longtemps désirée
Y a t'il un moyen de l'appaser sans devoir t'enlever

Tu reste mon ultime idéal, mon seul but
Un amalgame de toutes mes aspirations

Et jamais je ne crois que cet appel sera tu
Soupirant à jamais apres une illusion

Ma vie restera morne et terne, car tel est mon fardeau
Ou pourrais trouver un instant de reconfort, un ocean entre nous
N'est ce pas une utopie, des desirs en echo

Alors que j'écris ces mots, mon ame est transpercée
Ici et là, de traits cruels, nommé envie, desespoir
Jalousie. Je hais fortuna pour ne m'avoir laissé que trois jours
O mon aimée, trois jours alors qu'il en aurait fallu mille

Samedi 11 février 2006 à 4:02

Si vous deviez vous choisir un totem, ca serait koi ?

Moi , ça serait un loup. Mais un loup solitaire. ( pas un lion contrairement à ce qu'expirme ma tignasse )
Courir librement au mileu d'immenses terres gelées. Etre mon propre maitre. Me satisfaire d'un trou dans la neige. Etre le maitre des steppes. Ca serait cool.

Mais bon , on me dit à chaque fois que je doit un oisieau , paske je me laisse porter dans le sens du vent. C ptet ca, j'en sais rien 

Samedi 11 février 2006 à 4:00

Je vais vous demander un truc mechant , sadique et cruel : faire marcher votre imagination à fond la caisse.
En klair, la question est : si vous deviez vous faire un monde imaginaire , qu'est ce que ça serait ?

Moi , c'est pas tres compliqué. Mais ca risque d'etonner pas mal de gens qui me connaissent.
En fait , je me vois sur une planete environ 2 fois plus grandes que la terre.
plein de regions, toutes dissossiables.
Moi , ca serait plutot le monde d'advanced dunjons et dragons

Des regions diverses, tantot polaires, tantot arides, des déserts glacés peuplés de cadavres. Des regions boisées rempli d'orc , de loup, de wargs , d'ours; des trucs comme ac. Des montagnes caverneuses avec des dragons.
PAS DE TECHNOLOGIES ( ca fait bizarre d'entendre ça dans la bouche d'un otakon )
Des mages, des maitres d'armes, des archers.
Je voudrais des guerres. Des quetes. Des combats sanglants avec des betes enragées.


Je voudrais être different de celui que je suis right now. Me battre pour la justice. Ou mieux, du pognon.
Jouer les mercenaires quelque part ou on vole sur le dos de faucons géants. Ca, ça serait le pied. De l'aventure, de la vraie.
M'ennuie moi

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