Mardi 9 juin 2009 à 14:35

Ma vie s’est arrêtée le jour ou je t’ai rencontré, mon cœur a vraiment démarré quand tu m’as souri. Ma vie était un océan de noirceur et tes yeux m’ont servi de soleil. Comment avais je fait pour seulement respirer avant que tu n’arrives dans ma vie ? Tu es mon air, ma chaleur, ma bouffe, ma came. Ta voix fait vibrer chaque vibre de mon être, de la peau aux viscères.
Je t’aime. Je t’aime comme le vent aime les montagnes, comme la terre aime le soleil, comme la mer aime le ciel. Tu es celle qui fait se lever le soleil dans mon âme.

Je t’aime à en mourir. Je t’aime à en souffrir.

J’aimerais être l’air que tu respires, la nourriture que tu manges, l’eau que tu bois, le sommier où tu pourrais te reposer. Etre les phrases qui te font rire, les idées dont tu t’inspires, les souvenirs qui te bercent.

Je t’aime.
Dire ces mots m’arrachent le cœur, et pourtant, ils le remplissent. J’aimerais que tu puisses voir ce que je vois, ressentir ce que je ressens. Tu aurais alors la pleine mesure des sentiments que j’ai pour toi. Je t’aime toi, tout entière. J’aime ton rire, j’aime tes cris, j’aime tes larmes. Je veux être celui avec qui tu partagerais ta joie et ta peine, tes colères et tes frustrations. Je veux être celui qui t’accompagnera pas à pas sur le chemin de la vie. J’aimerais être celui qui t’ôte tous tes soucis.

J’aime ton rire, cascade de perle descendant le long de mon échine, petites fleurs caressant mes sens.
J’aime tes yeux, pétales d’or et de vie lâchés en ce monde pour réduire à néant la volonté des hommes.
J’aime tes lèvres, promesses de plaisir et d’échange.
J’aime ton odeur, flagrance suave et sucrée qui perturbe ma logique.
J’aime ta folie, grain de sable dans la logique moisie du monde actuelle. Elle est un phare planté dans la nuit glaciale de mon ennui.
J’aime ta candeur. Elle me laisse croire que ce monde n’est pas forcement voué aux flammes du rien.

Je t’aime toi, entière, complète, pleine. J’aime ton potentiel que tu sous estimes. Je t’aime toi, et ton toi en devenir. Je vois l’étoile incandescente que tu deviendras et qui brûlera la rétine de tous ceux qui s’approcheront. Mais si pour t’aimer il faut devenir aveugle, je veux bien me crever les yeux tout de suite.
Laisse toi aller, vois ce que nous pourrions être, si tu me laissais ma chance. Je ne te promets pas les étoiles, mais je te jure la vie. Tu ne seras peut être pas riche, et certainement pas célèbre, mais tu seras aimée autant que faire ce peut. Je te protégerai de tout, des autres, de toi-même. Chaque jour ne verra qu’un sourire affiché sur tes lèvres divines. Je ne peux pas te promettre de te rendre heureuse. Mais je peux te jugerai que j’essaierai à chaque seconde de chaque minute. Jamais une larme ne perlera à cause de moi. Ton rire est si divin que je veux m’en abreuver toute ma vie.
Laisse moi une place dans ta bulle et je la ferai éternelle, avant goût du paradis en cette terre honnie.
Tes baisers sont mon ambroisie, tes caresses, mon hydromel. Je ne suis rien, mais laisse moi porter tes couleurs et tu seras reine, reine de mes rêves, reine de mon cœur, reine de mes rires, reine de mon âme. Non, cela, tu l’es déjà, o toi, mon erato, ma Cassiopée, mon anima.
Viens à moi, je t’en supplie.
Comme j'aimerais trouver les mots qui te toucheraient, qui te flatteraient , qui te montreraient à quel point tu es à moi. Que je suis celui qui transformera le gris de ta vie en arc en ciel de félicité. Je ferai de chacun de tes pas une danse, de tes soupirs un rire, de tes larmes un nectar, de tes jours un plaisir sans fin.


Aime moi un milliardième de ce que je t’aime et je me verrai combler du plus dantesque des bonheur. Laisse moi juste une place infime dans ton cœur et je pourrai partir satisfait.

Dimanche 18 janvier 2009 à 20:40

Amis du soir, bonsoir.
L'on vient de me faire remarqué que je n'ecrivais plus depuis un moment, donc je m'y réattele, l'instant d'une pause dans mon (court) travail.


Une question me taraude depuis quelques jours. A partir de quel moment l'altruisme devient il de la bétise ?
C'est vrai, apres tout. La définition ultime de l'altruisme, c'est faire passer les gens avant soi. Ce qui est assez vaste, mais pas tant que ca, en fin de compte.
Alors, quelle est la limite ? Quand on y perds plus que la personne en face ? Quand la douleur devient intolerable ? Quand on n'y gagne rien ? Ou quand faire passer la personne avant soi fait qu'on se retrouve au fond du gouffre sans réél espoir de retour ? C'est assez vague, assez vaste.

La dessus, je dois avouer que je n'ai pas énormement d'avis. Pour une raison qui m'echappe, je fais partie des gens altruistes ........ ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!! L'ironie transparait ? Parfait. Je deteste ca. Je me demande si l'altruisme , ce n'est pas du masochisme déguisé sous des tonnes de bons sentiments. C'est vrai, apres tout , ca devient quasiment du " viens, fais moi mal , j'en redemanderai ". A moins que ce ne soit un exercice yogi " courage, petit jedi , apprends à vaincre la souffrance . T'a pas reussi ? Pas grave, exercice suivant !! " L'atruisme, la générosité, rien que des trucs étranges. D'ou peuvent ils bien prendre leur source ? De la pitié ? A moins que je ne sois tout simplement pretentieux et que je considere que je suis tellement mieux que les autres que je peux bien leur donner 5 min de mon temps . Sauf que c'est un peu des minutes norveigiennes. Pfff, non, je crois tout simplement qeu je n'aime pas faire de la peine aux gens. Je me dis toujours que si quelqu'un a besoin d'aide, il faut lui en donner. Ne serait ce que parce que je n'en ai jamais quand j'en ai besoin.

sauf que c'est une boucle qui ne s'arrete pas. je me demande à kel moment j'ai fait la transition : salaud inconsistant - petit jesus ...... Mais c'etait une idée tres tres tres tres mauvaise. paske keske j'en bave. Et bien sur, les gens sont ravis. Un type taillable et corvéable à merci qui ne dit jamais rien et à ki on est meme pas obligé de dire merci, quelle extase !!!!!!!!! Apres tout , max réussit tous les miracles, max connait toutes les reponses. Peu importe si les reponses lui en coutent ou lui font mal. De toute facon, il ne souffre jamais.. ... .. .. . .. . .Peut etre devrais je apprendre à dire en direct live cke je pense réelement au lieu de me plaindre improductivement sur une page web. D'un autre coté , étant ( grrrrrr) altruiste, je ne vois pas l'interet de faire de la peine à quelqu'un qui ne veut pas vriament m'en faire. Surtout que c'est un peu ma faute, je passe mon temps à dire " t'inquieeeeeeeeetes, ca me derange pas" Y a une meuf qui m'a sorti une fois qu'elle était certaine que je ne m'etais jamais mis en colere de ma vie ...... La pauvre, si elle savait ^^ Je ne suis qu'une cocotte minute qui a appris à evacuer le trop de plein de vapeur à l'exterieur. Mais que ce passera t'il quand la soupape petera? Allez savoir, peut etre que je redeviendrai celui que j'aime tellement etre. Voila qui serait une solution assez satisfaisante, de mon point de vue. Malheureusement, ce n'est pas pour tout de suite, donc j'imagine que je resterai encore quelques temps l'homme à tout faire le plus gentil de la pleine ............ Beeeeeeeh merde.

Dimanche 9 novembre 2008 à 21:13

Apres une semaine assez bad bad, max est de retour, pour le meilleur, mais surtout pour le pire. 

Néanmoins, ça m'a permis de me ressourcer et de réapprendre à être un peu moi même.

Et première constatation : les femmes me prennent toujours autant pour une peluche ^^.  Ayant eu un karma pire que ça, je ne vais pas spécialement me plaindre, mais ça m'épate toujours de voir comment j'arrive à développer des élans tactiles chez les gens. Je vais faire un moulage de moi et le vendre sur le net, ça devrait faire de jolies ventes ^^. Mais c'est fou ce qu'un simple contact peut déclencher comme émotion. Le simple battement d'un coeur senti à travers un poignet me fait voyager. Et le son de son coeur me fait partir si loin. Apres tout, tout le monde n'a pas la chance d'entendre un chant pareil. Il nous fait voler jusqu'au début de l'humanité. Quand le monde était encore sauvage et presque pur. Quand les gens étaient simples. Et la, il y avait LA femme. Celle qui fut à la fois la mère, la soeur, l'ami, le réconfort. Le son de son coeur me fait voir la première berceuse, le premier élan, le premier câlin. Les premières larmes accompagnent chaque battement.  Les chants premiers, promesses d’apaisement, de soulagement et de consolation. De douces mélopées chantant la cicatrisation et la guérison.

En tendant un peu plus l'oreille, on arrive à entendre l'air des sekhem voletant ici et la, promesses de grandeurs et de conquêtes. Le son des trompettes de Saba et des tamtam de Numidie, grondement de conquêtes annoncés et d’horizons dévoilés. La force de caractère et l’ambition se flairent partout.

Et si on se laisse porter, le kalong est partout, prophète des plaisirs. La sérénade des odalisques joue avec vos sens, annonçant faste et stupre, cri et morsure, jeu et danger.

Vi vi, tout ça est bien contenu dans un baboum cardiaque ^^  Les gens capables de montrer tant de choses avec si peu sont si rares. Et sachant comment elle est avare de tendresse ouverte, je m'en sens encore plus flatté.  J'avais oublié le plaisir de temps sans enjeu. Juste deux personnes parlant à bâtons rompus, en riant et en appréciant chaque instant. Remarque, c'est peut être la rareté de la chose qui a tout fait. Mais je ne vais franchement pas m'en plaindre. Apres tout, de quand date la dernière fois ou j'ai été en paix, en phase avec moi même sans forcement me demander " ai je dit la bonne chose ? " " J’ai rien dit de trop compromettant ? " " Qu’est ce qui va m'arriver ? " ou tout autre question stupide mais ô combien récurrente ? Se retrouver avec les gens qui comptent, c'est vraiment ça le plaisir, je crois. Et j’en avais terriblement besoin. Quelque fois, être celui qui est écouté, ça fait vraiment plais.

Deuxième constatation : faut vraiment que je me trouve quelqu’un. Passer une semaine à dormir étroitement enlacé avec une demoiselle qui respire la féminité et la douceur par tous les pores de sa peau, ça aide pas à refermer les vannes de ses désirs ^^. Moi qui arrivais enfin à jouer les moines de service sans en faire pâtir trop ma libido, snif.  Donc, j’ai décidé d’écouter mes envies de câlins que je tais depuis des semaines. Méfiez vous, dames et damoiselles, je vais vous vampiriser votre tendresse.

Troisième constatation : mes cheveux sont vraiment insupportables ^^

Et enfin, pour finir : j’aime bien être moi, c top, apparemment, d’après l’avis de certain ^^


Samedi 30 septembre 2006 à 14:30

Amis du soir, bonsoir

Je sais , je sais , caa fait un looooooooooooooooong moment. Mais en fait, j'avais rien de special à dire. Ma vie est un long fleuve de merdes tranquille. La routine , koii. Je suis juste le type le plus chtarbe que je connaisse. Mais ma vie pourrait eventuellement avoir les bouleverserments que je desirais depuis si longtemps
Je tacherai de remplir cette page quand j'aurais letemps
ciao a tous

Mercredi 23 août 2006 à 3:59

C'est naze !!!!!!!!!!!!!!

J'etais deja ravi, CA Y EST JE PEUX PLEURER. J'etais deja tout content, je suis redevenu humain, je suis normal , youpi mon coeur bat encore.
Tu parles, ctait juste un des effets secondaires de 3 nuits blanches d'affilées. Depuis que j'ai dormi, je me sens comme une fleur. Bon, j'ai la haine, c'est sur. Mais c'est tout. C'est nul, tres nul, tres nul, tres tres nul.
Le monde est mal fait.
Pourkoi il n'y aurait que les femmes qui auraient le droit de pleurer tranquillement ? 
Pffffffffffffffff, machisme de merde

Mercredi 23 août 2006 à 0:24

Bof, bof, bof
On va dire que j'ai vecu mieux, que j'ai vecu pire
Mais soyons franc, j'ai envie de faire un carnage

Mais bon, c'est pas tres grave, en fait. Je suis juste un chouia pathétique. Je vux une femme qui m'humilie. So pathétic, you are. Noté, je fantasme sur les differentes d'arracher son coeur. Avec les dents. Sans les dents. Avec les doigts. Avec un scalpel. Avec une lime à ongle rouillée.
Je crois que je m'en veux surtout à moi. Comment fait on pour etre aussi bete aussi longtemps ?
L'amour ne rend  pas aveugle, juste tres tres con.
J'emmerde les femmes. J'admet, je deviens mysogine. Je deviendrais pédé, s'il fallait pas coucher avec des mecs. Damnée soit mon hétérosexualité

Lundi 21 août 2006 à 23:47

Vous etes vous deja senti stupide ? Vraiment stupide ? Au point d'avoir envie de jouer au foot avec votre tete ronde completement vide de bon sens ?
J'avoue que c'est un sentiment assez desagreable. Or , c'est celui la qui m'etreins depuis un moment. Non pas que ce soit une surprise. C'est juste qu'on a l'impression d'etre tellement stupide quand ca arrive. Mais j'avoue que je ne suis qu'haine et mepris. Comment on fait pour mentir deliberement comme ca sans vergogne pendant autant de temsp. N'a t'on donc aucun sens moral ? Non , le probleme, ce n'est ps le sens moral, c'est l'egoisme. Juste l'egoisme. Tu feras souffrir tous les types qui s'approcheront de toi, parce qu'ils ne t'offriront jamis ce que tu veux. Tu vas juste rester là et grignoter peu à peu ce que tu preferes chez chacune de tes proies, sous couvert de " l'amour " . Sais tu seulement ce que c'est qu'aimer ? Tu en as peut etre une idée, mais juste une idée. Tu ne sais pas ce que c'est qu'aimer quelqu'un au point de la faire passer avant soi meme. La seule personne qui t'intersse , c'est ta petite personnne. Juste ta petite personne. Peu importe combien les gens souffrent , pour peu que toi non. Tu t'en fiches de ce qui arrivera au gens qui t'entoures. Tu t'en fiches. Tu vas juste rester la, comme le rapace que tu es , et tenir tes victimes, dans le creux de ta main et t'ennorgeuillir de leurs cabrioles. Comme j'ai du etre ridicule, à ce moment la. Comme j'ai du etre stupide. Tellement stupide. Ca a du t'amuser de me voir, jour apres jour ramper apres toi, jour apres jour, heure apres heure. Tu avais le paillasson ideal. Celui qui te filerait les conseils que tu veux, celui qui te dirait ce que tu veux entendr qund tu veux entendre. Ce souffle de renouveau dans ta charmante vie. Mais le probleme, c'est uqe peut etre qu'il allait se rebeller. Que faire, dans ce cas, lui donner un peu de fil, un os à ronger. Ca devait ere pratique. Oh oui, tellement pratique à imaginer. Quel effet ca fait de devenir l'objet de desir d'un typet et de s'en ficher ? Royalement. Le seul truc que je refuse de comprendre, c'est pourkoi c'est toi qui es venue apres moi. Je ne te demandais rien. J'etais juste la, c'est toi qui m'a poursuivi, traquer comme un animal. combien de fois t'ai je dit que c'etait une mauvaise idée ? Combien de fois t'ai je dit que ca allai mal finir, combie nde fois t'ai je dit de me laisser tranquille ? Peu importe à tes yeux, car , c'est ce que tu voulais
Tu as passé une année à me sucer chaque fibre de la moelle de ma vie
Tu devais etre ravie
J'espere que tu pourriras sur pied, et que le prochain mec sur qui tu tomberas te fera souffrir le martyr


Lundi 21 août 2006 à 22:57

Un type pas trop con que je connais a dit qu'il ne regardait plus la télé parce que c'est de la merde et uqe ca pousse à consomer, et qu'il prefere s'occuper avec de vrais trucs .....................


Quand comprendrons nous que nous sommes des consommateurs nés, et c'est ainsi que ca se fait, non pas par materialisme, mais juste que la principale qualité de l'homme, c'est la curiosité. Hors , il lui faut constamment quelque chose pour allimenter sa curiosité. Mettez le dans un carcan, il en choisira un autre, parce que l'homme est ainsi fait. Prenons un exemple.
Un homme sensé se debarasse de sa télé et decide de se mettre à la lecture. Au bout de 3 semaines, il aura lu plus d'une 20aines de bouquins ( enfin, s'il lit comme moi , koiken se labs de temps, on peu en rajouter une dizaine pour moi ), et bien, il va finir par avoir une idée, germée à partir de ce bouquin, uqe ce soit faire du sport, partir, lire de nouvelles choses, bref, il va se degotter une passion temporaire. Et il va donc chercher à l'assouvir, et donc, il va consommer pour soit pouvoir l'acheter , soit pouvoir en approcher. Une fois celle ci assouvie, il va passer à autre chose, qui aura le meme effet, et ainsi de suite. L'esprit humain est une chose qui fait que sa tete doit rester occupée à tout moment. Est ce la télé le meilleur moyen pour ca, je suis pas sur. Maintenant, les gens qui crachent sur dessus, mais qui vont discretment regarder kolantha le dimanche soir à 1 h du mat, ils me font encore plus rire que lse autres. C'est de l'hypocrisie

Mardi 8 août 2006 à 2:05

C'est une question que je me pose depuis un moment.Serieusement, pourquoi seules les femmes auraient elles cet avantage. Parce qu'en fait, c'est un avantage. Un gros avantage. Une bonne crise de larme, c fou ce que ca detends. Nous, on a pas d'equivalent. Quand on souffre, on encaisse. Et c'est tout. C'est assez pauvre. J'aimerais tellement pouvoir chialer un bon coup, des fois. Mais ca veut pas venir. Je vous jure que c'est desagreable, quand les larmes montent  mais restent bloquées. On aimerait tellement uqe ca coule, qu'on puisse se soulager de son stress. Mais ca reste la, et ca part pas. Ca dure. C'est l'angoisse. C'est l'horreur. J'aimerais tellement pouvoir pleurer. C'est un truc que j'ai perdu avec l'adolescence, je crois. Qu'est ce que j'aimerais pouvoir pleurer quand j'en ai envie. Ces temps ci, ca m'arrive,m ais seul, dans mon coin, et jamais longtemps. C'est surtout parce que je craque. Rien ne va, tout m'ennerve. Je dois me transformer en chiffe molle, j'imagine. C'est un fait, j'imagine. C'est quand meme desagreable, faut avouer

Lundi 24 juillet 2006 à 5:51

Amis du soir, bonsoir
Ben, je reviens sur mon blog, vu que ces temps ci , je m'ennuis
Que dire, ben, je suis toujours en train d'hesiter. Je vais peut etre partir, qui sait ? En fait, si je suis accepté dans une certaine ecole ( ce qui m'etonnerait , vu les dates) , ben, je me casse à paris pour 5 ans non stop ( vu que dans l'ecole en question, le mot vacances est une invention tirée de l'imagination des gens qui vivent vraiment ) . Sinon, ben, je reste en guadeloupe et je continue la bio, saaaaauuuuuf que je vais passer en meme temps une licence d'informatique avec les cours du soir. Si si si, je vous jure, c'est vrai, jesuis serieux. En gros, je bosse la journée, et la nuit. Fini les cours à 16h, reprends à 18h jusqu'à 21h
et vous savez quoi ? Cette idée me ravit. J'arreterai de glander pour rien, enfin.
Tiens, aujourd'hui, on m'a encore dit que j'ai un sale caractere.
C'est ptet vrai. Mais generalement, quand je m'enerve vite apres queqlu'un, c'est soit que j'aime pas la personne, soit je ne lui fait plus confiance. Ce qui arrive assez rarement, vu ce que je suis capable d'encaisser. Mais le probleme, c'est qu'on peut y arriver. Et ca, c'est pas une tres bonne nouvelle. Parce qu'à partir du jour ou je n'ai plus confiance, je n'ai vraiment plus confiance. Mais bon, pour me faire perdre confiance, fo etre doué , quadn meme. Il faut pas faire un gros trucs, mais une bonne dizaine. Me prouver que faire confiance est une perte de temps inalterable.
Je connais des gens comme ca, et generalement, lje les evite, tant que je peux. Car voyez vous, quelqu'un qui a perdu ma confiance , on peut la classer dans le genre " coup dans le dos ". Et j'ai les omoplates fragiles. Un jour, quelqu'un qui a reussi à me faire perdre patience m'a demandé comment faire pour retrouver la confiance qu'il y avait autrefois entre nous. Je lui ai repondu " rien, le jour ou elle reviendra, elle reviendra, mais à ta place, je ne compterais pas trop la dessus "
Et le pire c'est uqe j'etais franc. Je ne suis pas rancunier. Ce n'est pas une histoire de colere. C'est juste une histoire de confiance. Je ne serai jamais tout à fait à l'aise avec quelqu'un qui s'est foutu un peu trop de moi. Ca serait stupide de ma part, remarquez. Donc, je me contente d'etre la, et de regarder. C'est fou ce qu'on peut imaginer avec des petits rien. Et le pire, c'est que generalement , je tombe juste. C'est dans ces cas la que je prefere rester couché et eviter de frequenter des gens.


Vendredi 14 juillet 2006 à 6:51

Il marche, dans la rue. Ame perdue parmi les autres. Il deambule, sans but, le regard noyé par les larmes. Il aimerait tellement que ce bruit dans sa tete s'arrete. Ces mots qui hurlent dans sa tete. Croyait on donc qu'il l'avait fait expres ? Apres tout, quel importance ? Il etait coupable, c'etait tout ce qui comptais. Les raisons ne comptent jamais. Seuls les actes comptent. Et celui la , il aurait preferé ne jaamais le commetre. Mais c'etait trop tard. Il devait vivre avec . Ou peut etre arreter de vivre avec ?
Oui, c'etait l'idée. Pourquoi continuer à s'accrocher quand il pouvait simplement tout laisser tomber ? De toute facon, il n'avait plus envie de se battre. Il avait deja epuisé toutes ses forces, et il ne pouvait les recuperer seul. La solitude. Pff , quelle gageure. Apres tout, il y était habitué. Non, c'est faux. Avant oui. Mais maintenant, il etait sensé ne plus l'etre. Il rit doucement. La solitude n'est pas douloureuse. C'est s'en rendre compte qui l'etait. Dire qu'il avait vecu si longtemps seul sans probleme. Apres tout, ce que l'on a pas n'est pas sensé vous manquer. Sauf que ctait trop tard. Il avait gouté au plaisir, et il ne pouvait s'en passer, désomrais. Sauf que la soource s'etait tarrie. Il devait se sevrer. Mais comment ? Pourquoi ?
Il marchait , l'oeil hagard, laissant ses pas le guider. Apres tout, la direction l'importait peu . Seul l'acte comptait. Le ferat il dans un grand coup d'eclat ? Non, il savait bien que non. Il voulait juste s'evader de sa vie, discretment , sans bruit, sans gener personne. Apres tout, quelle difference cela ferait il ? Il serait parti, point. Les raisons importaient peu. Il devait disparaitre, la était l'essentiel. Il voulait arreter de sentir cette douleur au creux de lui meme. Il ouvrit les yeux, et sourit en voyant ou il etait arrivé. Ses pas le guidaient mieux que le faisaient ses sens apparement. Il comtempla le precipice. Un frisson de plaisir se mela au frisson de peur qui le parcourait de part en part. Mourir, c'etait donc ca ? Un petit pas pouvait m'apporter la paix que je ne pourrais obtenir ici ? Tentation si tentante. Le ferait il ? Ne le ferait il pas ? Cela avait il encore une importance ? Apres tout, entre etre absent et etre mort, la diffrence etait elle réele ? Pas pour tous les gens qui l'avaient oublié en si peu de temps. Il en avait assez de tout cela. De ces monceaux de mensonges ( pas mal , comme tournure )

A suivre, pase la , j'ai la flemme, et que ca commence à me prendre à la gorge , ce jet

Mercredi 10 mai 2006 à 2:29

J'aimerais tellement pouvoir pleurer.
C'est agacant , quand meme , non ? Les gens qui se detestent leur " faiblesse " ne savent pas la chance qu'ils ont, de pouvoir laisser leur sentiments aller. J'aimerais tellement.
Mon coeur s'asseche à l'interieur. La douleur, c vraiment quelque chose d'extraordinaire, quand meme. Un tel maelstrom, je ne m'y attendais pas, je l'avoue. Ca fait mal. Vraiment. Je ne m'etais pas rendu compte d'à quel point je souffrirais. D'à quel point elle pouvait avoir de l'importance pour moi. A quel point elle avait pris de la place dans ma vie.
Bref, elle en a choisis un autre. Je m'y attendais plus ou moins. Ce qui me tue, c que je savais que ca allait finir comme ca. Et que j'ai laissé continuer cette histoire de fou.
J'ai mal. Ca m'amuse, je dois dire. Ca faisait tellement longtemps. Je coryais que j'en etais meme plus capable


Mercredi 3 mai 2006 à 4:54

Amis du soir, bonsoir

Bon ,je l'admet, je suis ne suis pas sympa, et j'ai un sale caractere. Mais que faire quaand on souffre et qu'on a mal au point d'en hurler son nom. Je hais les femmes.
Non, c'est faux. Je hais LES femmes. Qu'y puis je, si elle me plait, si elle me fait tripper, si mon ame vibre rien qu'à son idée. Et si c'est une abrutie qui n'arrive qu'à me faire mal.
Et pourtant, je ne suis pa du genre douillet. Dommage d'ailleurs. Ptet que si j'avais l'air de souffrir le martyr, elle s'interesserait à mes tourments. Mais je crois qu'elle s'en fout. Le seul et unique truc qui la branche, c elle, elle, et encore elle. J'en peux plus. Bref, j'en peux plus. Plus je reste, et plus elle me devalorise. J'ai l'impression d'etre une tache, plus le temps passe. C'est désagreabl

Samedi 22 avril 2006 à 3:17

Les gens sont amusants, des fois. 
On leur dit qu'on se sent mal, qu'on deprime. Et eux ils font quoi ? Ils embrayent sur leurs propres problemes. Amusant, hein. Tu appeles quelqu'un pour un peu de reconfort, et tu finis par redevenir la page courrier du coeur de fouillole; Et apres, quand je deviens sadique, personne ne comprends jamais pourkoi. J'en ai marre d'etre sympa. Carrement ras le bol.
Vous deconnez, serieux.
J'en ai ras la casquette de jouer les mecs heureux et enjoués. Ca vous file le cafard ? Mais je m'en bats les couilles severe. C'est ca que vous ne comprenez jamais. Vos vies ne sont q'une perte de temps à mes yeux. Que vous viviez ou  que vous soyez une meurtrissure pourrisante au fond d'une tombe, c'est kif kif bourricot, pour moi. Meme truc. Aucune difference. Vos petites histoires etriquées sont tout au plus pour moi une distraction et encore, meme pa drole. J'en ai marre d'etre un " support ". Allez tous crever. Votre vie, c'est un gachis, pour moi. Tant de mesquineries et de petites bassesses. Tous vos mensonges et vos non dits. Allez tous pourrir en enfer



Samedi 22 avril 2006 à 1:20

Le monde est dur , quelque fois. Ca devient agacant.
J'aimerais changer de vie. Pas que ma vie ne soit pas interessante, ou bien qu'elle soit stressante, ou bien si horrible que ca. C'est peut etre pour ca que c'est si insuportable de deprimer. Je devrais être heureux, non ? J'ai un appart, quasiment une petite amie,  voire plus, j'ne sais rien. Je  suis pa trop moche, en plus ou moins bonne santé, jesuis intellligent. J'aurais mon semestre, meme si fo que je bosse mucho mucho. Je suis pa trop bête, et plutot cool. Et pourtant, ma vie me debecte. J'ai envie de me jeter par la fenetre en esperant qu'il y ait une grosse pique qui sorte du sol à cet instant precis. Mais on ne me fera meme ce plaisir.
J'ai envie de disparaitre. Le monde, c'est la dèche
J'en peux plus. Vraiment plus. Je sais pas cke j'ai. Et personne ne peut m'aider. A qui me confier ? J'ai pa d'ami à ki en parler, ils vont tous me sortir des anneries meme pa digne des grosses têtes.
Pfffffffffff, j'en ai marre des fois. Je suis le soutien de tout le monde, et personne ne peut m'aider. Amusant, pas vrai ? Enfin, pas vraiment, en fait. J'aimerais tellement que ce soit different. Je ne sais dire en quoi. Mais ma vie, elle devient un calvaire


Mercredi 5 avril 2006 à 0:08

Amis du soir, bonsoir

Il semblerait que j'ai un sale caractere. Bon. Peut etre. Mais il arrive quelques fois ou on perd patience, non ?
Serieusement, quelques fois, j'en ai assez d'etre une " bonne pâte ". J'en ai assez de jouer les béni oui oui. Il faut quelques ofois laisser parler sa nature. Et la mienne, elle est assez agressive, je le crains. En gros, je suis juste un type qui n'aime pas trop qu'on l'embete trop souvent. Et dieu seul sait que jepeux encaisser, mais quelque fois, la coupe deborde. Et il faut avouer que la, elle a salement debordée. J'en ai assez d'etre toujours le perdant. C'est gavant, quelque fois. Je veux bien etre gentil, doux, compréhensif, et tout et tout , mais il arrive tuojours un moment ou il faut dire stop L Et la, c'est mon moment. J'ai encaissé, beaucoup. J'ai accepté, beaucoup. J'ai pardonné, beaucoup. J'ai été comprehensif, beaucoup. Mais si c'est pour jouer les agressives et me sortir des boniments à dix sous, ne t'etonne pas que je t'envoies severement paitre, choupette en sucre. Il arrive des fois ou la cruauté fait du bien. Et là, c'est un des cas. J'ai toujours dit que je ne me mettrais jamais en colere contre elle. Mais quelques fois, fo pa abuser. Je suis exaspété. Demerde toi, choupette. Tu veux mon aide ? Excuse toi, ce que tu ne feras pas. Et ne compte pa sur moi pour le premier pas, je suis pas mere therasa


Dimanche 19 mars 2006 à 16:39

J'ai envie de lui faire mal. Je pourrais mentir, raconter des bobards, dire que ca va, faire comme si de rien etait. Mais ca ne serait pas vraiment credible pour les personnes qui me connaissent. J'ai envie de lui faire mal, de lui faire hurler sa peine comme je voudrais hurler la mienne. Je veux qu'elle pleure, qu'elle crie, qu'elle hurle, qu'elle se griffe, qu'elle se larcere, que son sommeil disparaisse, que ses nuits ne soient que les fantomes de nos instants passés. Je veux qu'elle maudisse son absence de choix. Je veux qu'elle se rende compte de ce qu'elle a perdu. Je hais ce coté de moi qui crame toute velleité de douceur chez moi. Je veux juste qu'elle souffre. Beaucoup. Longtemps. Et atrocement. J'ai tellement d'idées qui me font frissonner. J'aurais presque peur si j'en avais pas tant envie. je veux qu'elle souffre dans sa chair. Je veux qu'elle comprenne que je ne suis pas un jouet. Tellement de moyens. Tellement. Ca pourrait etre amusant. Vais je simplment couper les ponts du jour au lendemain , brutalement, sans crier garre ? Ou vais je lui faire mal à petit feu, lentement, sournoisement ? Vais je lui faire des crasses lourdes et sans concessions ? Ou bien de toutes petites cruautés mais qui  s'ammoncellent ? Vais je la rendre encore plus amoureuse qu'elle n'est encore pour la plaquer sans pudeur ? Ou vais je juste me contentetr de couper litteralement en me prenant une petite amie. Et tout cela ne sont que les version gentilles. J'ai tellement de choses qui se bousculent. Je pourrais lui faire peur. Ou bien tout simplment la detruire moralement , lentement, lentement , si lentement, qu'elle regrette tous les jours de se lever, jusqu'à ce que la vie lui soit insurmontable et qu'au dernier momen, je lui dise que c'est ma faute pour jouir de l'instant ? Tant de possibilités. Je ne sais que choisir. Mais je choisirais, cela est sur. Je veux qu'elle souffre autant qu'elle me fait souffrir. J'en ai assez que ce soit ELLE la victime. C'est elle qui me fais mal, c'est elle qui reste avec lui alors qu'elle me jure son amour tous les matins. C'est elle qui fait l'amour avec lui alors que moi, je lui reste fidele. C'est normal , apres tout, il est l'officiel, je ne suis que l'ombre. Mais l'ombre qu'elle harcele, l'ombre " dont elle ne peux se passer " . Tu parles, faut il que je sois idiot pour gober pareilles inepties. Est ce de ma faute si les autres me paraissent fades, si les autres ne m'interessent pas, si je ne veux pas lui faire de mal. Pardon, ne voulais pas lui faire du mal. Je veux qu'elle souffre. A en hurler. A en mourir. Ca ne sera que justice. Pour 8 mois d'attentes, d'espoir , de souffrances, de mensonges


Dimanche 19 mars 2006 à 16:38

quiet
C'est amusant, la vie. On se dit toujours qu'on pourra supporter certains trucs. Et on se rend compte violement, que c'est faux. Mais fo faire avec , j'imagine. Se contenter d'oublier, de rayer le noeud qu'on a à l'estomac, brider son imagination, ne pas penser à certains, ne pas se souvenir d'autres. Ca la l'air tellement simple quand on en parle. Mais on se rends compte que c'est ridicule. Que ca ronge, que ca tue , et qu'un tournant vient d'ere passer. L'heure de l'eclipse approche, lentement mais surement. Il faut savoir faire des choix. Ou ne pas faire de choix.
Mais je crois que quelque chose s'est brisé, et que je n'ai pa envie de le recoller.
Il faut savoir arreter les frais

L'espoir, c'est vraiment kelke chose de pernitieux. On se met à esperer kelke chose, tout en sachant tres bien que c'est faux. L'automensonge, c kelke chose de litterament stupide. Pourkoi , alors ke je connaissais la reponse, ca me ronge autant ? Je ne saurais dire, mais dire que ca m'agace est quelque de tres tres petit.
Je crois que je ne pourrai plus jamais recommencer

Jeudi 16 mars 2006 à 23:55

Again, again

Encore une journée de merde. J'aurais du m'en douter, remarque, mais bon
Alors, on fait l'etendue des comptes

J'ai completement foiré ma chimie

Je me suis faché avec un imbecile

Je me suis fait embrassé par un thon ( je suis vanné, j'ai pa envei d'etre delicat )

J'ai pa pu retirer mon colis ces enculés de la poste ont un probleme avec les diminutifs

J'ai commandé une mini sdcard à la place d'une micro sdcard , ce qui fait 80€ foutus en bois.


Je sais pa pour vous, hein . Mais aujourd'hui , ce n'est pa un bon jour, pour moi. Mais alors la, vraiment pas. J'en ai marre. Mais vraiment marre. J'en peux plus . Tout ce que je fais tourne à la cata. J'en ai marre d'attendre, d'esperer, pour toujours tout voir finir en eau de boudin. Allez, j'arrete les frais. Je vais recommencer à vivre sur mon nuage. C'est mieux. L'espoir, c'est l'ennemi de la tranquillité. J'en ai assez des plans foireux, des complexes vaseux, des trucs bizarres. Je veux jsute qu'un truc normal m'arrive, pour une fois. Juste pour une fois. J'en ai assez. Cette fois ci, j'arrete les frais. Pour tout. Vraiment pour tout. J'en ai vraiment ras le bol de tous ca. C'est pourri comme situation. Et j'aime pa quand ca sent la vase.

Vivement les vacances de paques. Au moins, je vais vraiment m'amuser, pour une fois. Farniente , sortie et bon ptits plats. Pour une fois que j'ai uen invitée, je vais pa me priver

Vendredi 24 février 2006 à 5:33

Appelée Diane par les Romains, Artémis est la fille de Zeus et de Léto. Elle naquit dans l'île de Délos le même jour qu' Apollon, son frère jumeau, auquel elle emprunte bien souvent les traits de caractères et les attributs. Armée de flèches, elle tue impitoyablement ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont osé insulter sa personne divine et celle de sa mère, notamment les enfants de Niobé, et Orion, qui avait tenté de la séduire. D'une manière générale, elle responsable des morts soudaines : ses flèches sont toujours précises, foudroyantes de rapidité et mortelles ; comme Apollon, elle se trouve aux côtés des Troyens contre les Grecs et oblige Agamemnon, coupable de s'être vanté de la surpasser au tir à l'arc, à sacrifier Iphigénie, qu'elle sauve à la dernière extrémité.

Belle, chaste et vierge, ombrageuse et jalouse de ses talents de chasseresse, elle punit Actéon, qui prétendit la surpasser, en le transformant en cerf et le faisant dévorer par ses chiens. Dans le monde antique, on connaît toutefois plusieurs Artémis. Ainsi, en Tauride, on adorait une Artémis, cruelle déesse montée sur un char traîné par deux taureaux. Elle portait un flambeau à la main, et son front était surmonté d'un croissant de lune. On lui sacrifiait les étrangers ; Oreste, grâce à sa soeur Iphigénie, put s'enfuir et échapper à cette sauvage coutume. Une autre Artémis, celle d'Éphèse, diffère de la déesse traditionnelle : en effet, loin de se refuser à l'amour, elle s'y livre sans retenue et nourrit, grâce à ses multiples mamelles gonflées de lait, les hommes et la Terre. Cependant, malgré toutes ces confusions, l'Artémis grecque demeure la chasseresse et la chaste, et c'est sous ces traits et ces attributs qu'elle figure dans la plupart des légendes.


Artémis, déesse de la Lune, de la chasse et de la vie sauvage, protectrice des femmes qu'elle assiste,Ma déesse

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