Vendredi 24 février 2006 à 5:28

Désolé si c'est pa extra bien raconté, mais je suis vraiment crevé
Bon , alors ils sont dans la bagnole en train de se faire chier à savoir uqi va gauler l'autre en premmier ............................... Bon, ok , je peux faire mieux que ca

Il tapotait nerveusement sur le rebord du volant , ne sachant pas comment s'y prendre. Mais pourquoi ne disait elle rien ? Bon, mieux vallait abreger, un rateau ne tue pas.
- J'ai ....... enfin, je suis .............. Bon , je suis descendu dans une suite, dans un hotel pas tres loin. Hum, tu veux un café ? bredouilla t'il
Elle se pencha vers lui et deposa lentement un baiser sur les levres, puis, avec un regard mutin lui chuchota lentement à l'oreille
- Tu y as mis le temps

Son coeur bondit dans sa poitrine, néanmoins, il fit tout son possible pour garder un air impassible ( ce qui ne reussit pas tres bien )
Le trajet fut silencieux, aucun des deux n'osant ouvrir la bouche. Peut etre avaient ils peur que leurs voix rompent le charme et que l'un des deux ne fuit à nouveau. Il fut court, mais il lui parut interminable. Cette succession de virage et de detours lemoussait de plus en plus son courage. Il n'avait plus qu'une envie , s'eloigner le plus possible de sa nemesis. Mais il ne pourrait pas lui faire ça une seconde fois, elle ne le lui pardonnerait jamais. Et s'il pouvait se passer d'une amante, il ne pourrait survivre sans son amie. Et puis, honnetement, il n'avait qu'une envie, se retrouver sous une couette avec elle.
Enfin, l'hotel apparut au detour d'un chemin. La vue du batiment etait en train de pulveriser ses derniers restes de courage. Il avait envie de donner un coup de volant et de la ramener chez elle en quatrieme vitesse pour retourner prendre un bain glacé. L'angoisse etait en train de broyer son coeur. Qu'est ce qu'il allait faire ?
Avait elle senti ses intentions ou bien etait elle juste anxieuse elle meme, il ne le saurait jamais, toujours est il qu'elle deposa sa tete sur son epaule :
- Ne dis rien, l'implora t'elle. Emmene moi jusqu'à ta chambre, mais par pitié, ne dis rien.

Le ton suppliant de sa voix balaya toutes ses hésitations. Il ne pouvait pas partir. Elle ne le supporterait pas. Et puis, ce n'était quand même pas la mer à boire. Des centaines d'hommes auraient donné un bras pour être à sa place. Alors, quel était le probleme. En son for interieur, il savait tres bien quel etait le probleme. Une fois le seuil de cette chambre passé, plus rien ne serait comme avant etre eux. Il n'avait rien à gagner , mais tout à y perdre. Il perdrait son seul coin de reconfort. Et il n'était pas sur d'avoir envie de le risquer pour un bref instant de plaisir. Mais il n'était pas seul en jeu. Elle avait probablement eu les memes tracas et pourtant, elle, elle avait fait son choix, et elle avait choisi de se donner à lui. Pourquoi, il n'en avait aucune idée. Mais il était un peu tard pour y penser. Il n'avait plus qu'à esperer qu'il serait à la hauteur, ce dont il doutait enormement.
Il coupa le contact, inspira longuement puis, descendit, fit le tour de la voiture et la sortit de celle ci. Elle avait l'air si fragile, presque terrorisée, et portant, tout en elle respirait le charme et la sensualité. Il avait envie d'elle. Il pouvait essayer de se le cacher tant qu'l le voudrait, mais il le savait parfaitement.
Soudain, il s'empara de ses levres, longuement, avidement. Il avait faim d'elle, et ce soir, il assouvirait celle ci, peu importe ce qu'il lui en couterait apres.

Suite apres




Non, je rigole. Ca continue tout de suite apres cette courte page de pub

Buvez de l'infusion " laxa ". Avec laxa , y a plus de tracas à part des problemes de deboucheurs liquides qui peuvent pa tout enlever.

Me demandez pas pourquoi j'ai fait ca, j'en ai aucune idée.



Bon, j'en etait ou, moi ?
Ah oui , je me rappele. Pinaise, fo que j'arrive à faire ca sans choquer toutes les personnes qui me prennent pour un gentil garcon. Tssssssss, ca va etre raide. Derniere fois que je montre à quelqu'un que je sais ecrire autre choses que des poemes gnanggna


Tout en continuant à s'embrasser, ils se rendirent labourieusement jusqu'à sa chambre ( marcher, regarder et s'embrasser, c'est assez difficile, si si, je vous l'assure )
Une fois la porte ouverte, ils se regarderent, legerement embarassés. Il n'avait aucune envie de lui sauter dessus comme un soudard. Il devait faire les choses dans les regles. Ca serait peut etre son seul vrai souvenir de lui. Il n'avait aucune envie qu'il soit marqué au fer rouge.
- Tu veux quelque chose à boire, baffouilla t'il en cherchant dans le refrigerateur ? Y a plusieurs trucs, du thé , du café, du jus d'orange , de papaye.........
- Tu as vraiment l'intention de m'eviter longtemps , le coupa t'elle. Explique moi une chose. Je te plais, non ? Alors pourquoi des que tu me vois , tu adopte un regard d'animal traqué. Pourquoi te fais je peur ? Je n'ai ps de gros bouton vert qui suinte sur mon nez, pour autant que je sache. Alors crache le morceau ou ramene moi, mais plus de demi mesure.
Il poussa un long soupir lugubre, s'approcha d'elle avec un verre d'alcool et s'adossa contre le lit, entre ses jambes, ( ca veux dire que c'est son dos qui etait en contact, bande d'obsédés ).
- Tu t'es deja demandé ce que tu ferais si tu savais que celui que tu veux, tu ne le verras qu'au moins une année apres. Ca veux dire une année sans le moindre contact. C'est long. Et c'est dur, de rester seul. Tu te dis qu'il merite d'avoir une epaule sur laquelle pleurer, un dos contre lequel rire. Tu veux qu'il ait du plaisir à vivre, meme si ce n'est pa avec toi. Peut importe avec qui il est , tant qu'il est heureux, c'est l'essentiel. Tu n'as pas envie qu'il reste la, dans son coin à attendre et à penser à une ombre qui est de l'autre coté d'un ocean. Surtout si tu sens, si tu sais que tu ne le merite pas. Tu sais qu'il vaut toutes les etoiles du ciel, tous les diamands du monde. Tu sais qu'il merite ce qu'il y a de mieux. Et toi, tu n'es pas ce qu'il y a de mieux. Pas tres joli, pas si intelligent que ca, sans thune, sans travail ,sans avenir. Tu sais que tu n'as rien à donner, rien à offrir. Alors pourquoi t'enteter à faire attendre quelqu'un que tu ne pourras meme pas satisfaire correctement ? On ne met pas sur la sellete pendant des années pour une vie de boheme, ca serait ridicule. Alors, tu esperes qu'elle se trouve celui qu'il faut , et tu essaie de donner le moins possible de raison d'attendre. Tu te descends, ut fais part de tes peurs, esperant qu'elle te prenne pour un lache. Tu es brusque, sauvage, avec un sens de l'humour douteux, voire grivois. Tu essaies de le degouter le plus possible. Esperant que quand elle te laisse tomber, qu'elle te fuit. Peut etre que quand elle te fuira, toi, tu l'oublieras . Quand bien meme ne serait ce le cas, peu importe, ce n'est pa l'essentiel. Et puis, tu .............
Elle le fit taire d'un chaste baiser
- Baka !!!!! Qui t'a dit que tu avais le droit de choisir à ma place ? Je decide de qui je veux, quand je veux, ou je veux, de la facon dont je veux. S'il refuse, que ce soit pour des raisons normales. Mas pas pour une tentative imbecile d'auto destruction. Alors, tu arretes tes betises, tu reflechis trois secondes à cette question bete : veux tu de moi, ce soir ?
Il se releva, et la plaqua sur le lit , l'embrassant fougueusement, aspirant litteralement ses levres. Il carressa ses jambes , presque pieusement, tellement il avait l'impression d'etre au coté d'une déesse. Il avait faim d'elle. Il remonta maladroitement, sa jupe, carressant ses cuisses encore et toujours. Elle commenca à enlever sa chemises, arrachant plus qu'elle ne deboutonnait. Elle fouillait ses cheveux de ses doigts, cherchant à retenir ses levres, toujours plus. Elle avait attendu ca trop longtemps, elle ne voulait pas que ca s'arrete.
Il fit glisser lentement sa robe le long de ses jambes, explorant chaque partie decouverte par l'absence du vetement. ce morceau de tissu lui paraissait interminable telement son envie le rendait fou. Il voulait explorer ce corps, indéfiniment. Il finit par enlever la robe, devoilant un corps encore plus volupteux qu'il ne se le rappelait. Cette incaranation meme d'artemis etait fantasmagoriquement affolante. Et pourcette nuit, elle etait à lui. Il l'embrassa impétueusement, presque avec violence. Dire qu'il l'avait refusée une fois. Quel fiéfé imbecile il etait d'avoir laissé partir parreille vision. Peu importe ce qui se passerait apres, il voulait profiter de cette ultime nuit.
Il carressa doucement ses cheveux , humant leurs odeurs. Il devora litteralement le cou de sa "victime" aspirant les gouttes de sueur qui commencaient à perler sur sa peau. Il voulait tout d'elle. Il degraffa son soutien gorge, liberant les deux globes de chair emmurés dans ce carcan. Il ne put retenir un gemissement de surprise. Seigneur dieu, Il avait la perfection devant les yeux. Une pointrine telle que michel ange lui meme se serait incliné. Il en emprisonna un entre ses doigts. Quelle douceur sous ses doigts. Il en voualit encore, toujours plus. Il prit l'un entre ses levres, goutant cette peau, l'aspirant, l'embrasant, ses doigts se promenant le long de ses cuisses. Soudain , enhardit par un gemissement un peu plus sonore, il commenca à carresser l'antre ses souhaits à travers l'ultime barriere de tissu restait entre lui et elle. Sous ce contact, ele eu un brusque sursaut de recul, suivi par un gemissement frustré. Il n'était pas le seul à en vouloir plus, semble t'il. Il prolonga son massage, sa bouche partagée entre sa poitrine et son ventre. Pourquoi lui avait t' on donné que deux bras. Il en aurait voulu quatre, dix , cent. Il plongea un dogt dans on intimitée. Elle se raidit sous le plaisir. Elle voulut se redresser, cherchant peut etre à reprendre un peu le controle d'une situation qui lui avait totalement echappé. Mais il l'a colla contre le matelas, lu emprisonnant les main avec une des siennes
- Ce soir, c'est ma nuit, mes choix.
La maintenant toujours, il glissa entre ses cuisses et enleva l'ultime gardien de sa pudeur delicatement avec ses dents ( s si, je l'ai deja fait, c possible. Et ché meme vachemnt facile, mine de rien )
Ca y est, elle etait à lui. Fabuleuse vision, feminité incarnée. Et elle était tout à lui pour cette nuit. Il plongea sa tete entre ses jambes, lechant le creux de ses cuisses, faisant glisser ses doigts le long de son ventre et de sa poitrine. Elle gemissait de plus en plus quand soudain il baisa le fruit de son desir. Elle se cabra si violement qu'il faillit etre desarconné. Il crut qu'elle allait l'envoyer paitre quand elle ressera ses cuisses autours de son visage. Il accentua la pression de sa bouche, donnant de court coups de langue de temps à autres. L'etreinte de ses jambes se faisait de plus en plus imposante ( mourir d'un devissage de tete , ca doit etre une chouette mort, non ? ). Ce faisant, il introduit un doigt en elle. Elle attrapa sa main qui courait le long de sa poitrine et l'attira à elle, le decrochant de son nid. Elle le voulait en elle, maintenant.
Il ouvrit delicatement ses cuisses et s'introduisit lentement en elle. Elle etait si acceuillante, s'en etait fou. Il l'embrassait passionnement en augmentait la cadence de ses va et viens. Il voulait que cela dure sans arret. Elle accompagnait chaque mouvement de son coprs, le laissant monter et descendre à son rythme, tandis que le plasir affiché sur son visage semblait augmenter en proportions. Ils bougeaient à l'unisson su plaisir de l'autre sans que sa volonté parut y avoir sa place. Ils ne vivaient plus out deux que par le plaisir irradiant par l'union de leurs corps. Il sentit monter en lui un plaisir plus grand que ce qu'il avait imaginé. Plus impetueux, plus dominateur. Ils se rejoignirent dans l'extase avec un meme gemissement à la limite du hurlement.
Il s'ecroula sur le lit, presque vidé. Elle se blottit contre l'air assouvie. Elle le mordit legerment au creux du coup
- Ca veux dire non ?
Ils eclaterent de rire tout les deux. Elle l'embrassait fougueusement , tandis qu'il sentait qu'il n'avait pa envie d'arreter tout de suite. Ca serait une longue nuit


Surtout pour moi. Merdeuh, pourquoi y a jamais de femmes quand t'en a besoin. Bon, vais encore passé ma nuit à conter les roses blueus sur mon mur. Pauvre vie qu'est la mienne

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