Vendredi 24 février 2006 à 5:24

Alors, ou en etais je dans mon recit ?

Ah oui
Replentons le decor
Lui, sortais de paname, retourne chez lui et invite une jolie mamzelle à diner.
Apres un pic nic sur la banquette arriere d'une voiture, au bord d'une plage, nos deux protagonistes commence à s'embrasser. Lorsque nous les avons laissés, notre seducteur du jeudi matin commencait à delicatement embrasser l'epaule de la demoiselle. Retournons au feu de l'action


Il la la bascula contre la portiere; se pencha tendrement vers elle , descendit tranquillement une bretelle et lui embrassa l'épaule. Sa peau avait une odeur suave, entetante. Il commenca à degraffer son soutien gorge tout en l'embrassant voluptueusement. Jamais un simple baiser ne l'avait mis dans cet etat la. Et il avait bien l'intention que ca aille de mieux en mieux. Il enleva lentement cette barriere de tissu, admirant pour la premiere fois la perfection de ces globes. Seigneur dieu, à ce stade la , ce n'etait plus des seins, mais des oeuvres d'art. Il planta son regard dans le sien, ses yeux brillait d'exitation mais aussi de frusration. Un regard à rendre fou un ayatollah. Il prit l'un dans sa main et le petrir aussi delicatement que possible et commenca a prendre le deuxieme entre ses levres. Elle gemit lentement sous la carresse. Ca y est , il allait enfin assouvir son desir.
Le moment qu'il avait attendu tant de temps, qui l'avait tenu eveillé tellement de nuit etait à sa portée , et la seule pensée qui lui traversa l'esprit était qu'il ne voulait pas que sa premiere fois avec elle se passe à l'arriere d'une voiture tachée du gras d'un sandwich. Quel imbecile. Il avait une femme desirable entre ses bras qui s'etait offerte à lui , et lui, il lui, il allait la repousser. Partagé entre l'idée de se mettre des giffles et l'idée de laisser aller ses envies, il se redressa néanmoins
- C'est l'heure, je te raccompagne chez toi
Elle se redressa sur un coude et le regarda, interloquée. Elle devait avoir mal entendu
- Tu plaisantes, n'est ce pas ?
- Non. J'avais dis 10h , on a tous juste le temps de se mettre en route. Une promesse est une promesse. Tu as oublié
- Tu te crois drôle ? Tu ne l'es pas. Pourquoi tu fais ça ?
- Ca ne me plait pas plus qu'à toi. Mais c'est la seule solution qui me vient à l'esprit
Elle fit lentement glisser ses doigts le long de son epaule et lui murmura au creux du cou :
- Tu es vraiment sur que c'est la seule idée qui te vient ...............
Ses doigts étaient d'une douceur folle. Il n'avait qu'une seule envie. Tendre la main et passer ses doigts dans ses cheveux. Lui murmurer ce qu'il ressentait en cet instant. Elle etait en train de le rendre litteralement fou de desir. Mais il ne pouvait pas. Pas maintenant. Il se leva ( la demarche un peu raide, il faut bien l'avouer ) et se mit au volant.
- Reste à l'arriere, tu pourras te changer. Je ne regarderais pas dans le retroviseur. Tu peux en etre sure , soupira t'il
Elle recut cette phrase comme une gifle. Jamais elle ne s'étais senti aussi humilliée. Non, ce n'étais pas de l'humiliation. C'était purement et simplment de la frustration. Il ne pouvait pas lui faire ca. Pas maintenant. Pas apres tout ca
Il demarra la voiture et brancha la radio. Il avait besoin de se vider l'esprit. Ne pas penser. Srtout ne pas penser. Il l'entendait se changer à l'arriere. Imaginer le frolement du tissu glissant contre sa peau. Houla, mieux valait se concentrer sur la route, il allait finir dans un fossé. Soudain, il sentit des levres se presser contre son cou. Sous la surprise, il fit une legere embardée. Encore heureux qu'il ne fut pas un trop mauvais conducteur
- Encore un coup comme ca, et on finit contre un arbre, lui signala t'il doucement
- Je voulais juste savoir si je te faisais quand meme un peu d'effetL L'air mutin
Il grommela un "imbecile" préalablement machouillé, haussa le volume de la radio et se concentra sur la route. Mais comment faisait elle pour ne pas se rendre compte d'à quel point c"était douloureux pour lui. Sans doute beaucoup plus que pour elle.
Ils arriverentd devant chez elle. Il se tourna lentement
- Ca y est , on est arrivé. Hum.... Ecoute, je suis désolé pour ce qui s'est passé
Elle le regarda froidement , ouvrit la portiere. Il était vraiment stupide ou il imitait le cretinisme à la perfection ?
- Il ne s'est rien passé. Et c'est bien ca le probleme
Elle claqua la portiere et marcha rageusement vers la maison
Il la rattrapa un peu plus loin
- Je deteste quand tu es comme ca. Alors arrete. Tu crois que c'est facil pour moi ? Je sais que c'est pas vraiment comme ca que tu t'attendais que la soirée finisse. Mais on merite mieux. Non , TU merites mieux. C pas comme ca que je voyais .............
Enfin bon, fais comme tu veux.
Il deposer un baiser leger comme le vent sur ses levres et marcha ( s'enfuit ouais, couille molle ) vers la voiture


Suite plus tard

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