Vendredi 10 février 2006 à 22:58

Après un bon diner, je t'emmene chez toi.
Au moment de partir, tu me demande si je veux pas un café, vu qu'il est tard. J'accepte, tu es tellement superbe que j'ai peine à croire que tu me propose ça avec une idée en tête.
Tu as l'air fatigué, donc je vais faire le café moi-même pendant que tu t'allonge sur le canapé. Je reviens avec la cafétiere et m'installe sur le fauteuil en face de toi. On commence tranquillement à discuter.
Le temps passe et au bout d'un moment, tu me propose un irish cofee. J'accepte et tu montes à l'étage. Pendant ce temps, je regarde un peu le salon, décoré avec gout, quoique un peu solitaire. Je fouille un peu dans les cd, cherchant un peu de bonne musique. Au bout d'un moment , je sens un souffle dans ma nuque qui me fait sursauter. Mais ce n'est que toi. Tu me fixes bizarrement. Ca me mets tellement mal à l'aise que je detourne les yeux.Je prends le whisky dans ta main et vais dans la cuisine preparer les cocktails. Au bout de quelqu'un instant, j'entends une musique douce et ététente.

Je ramene les boisonns et m'instale sur le canapé.
Tranquillement , tu reviens , avec le meme regard. Soudain , tu t'assieds à califouchon sur moi et m'embrasse. Ca m'a tellement surpris que j'ai failli renverser mon verre. Je le depos
e et te regarde, essayant de comprendre. Mais toi , tu te contente de m'embrasser. Encore et encore. Le gout sucré de tes levres commence à m'enivrer. Je me sens perdre la tête. Dans un dernier sursaut de conscience, j'essaie de parler mais tu mets un doigt sur mes levres et depose un baiser leger sur mes épaules. Mes dernieres hésitations sont balayées.
Je renverse ta tête en arriere et commence à gouter le gout de ton cou. Si suave. Je remonte lentement jusqu'à ta nuque et enroule ma langue autour du lobe de ton oreille. Je te sens te raidir entre mes bras, alors j'arrete. Mais tu m'attrape par les cheveux et m'ordonne de continuer. Je retourne au creux de ta nuque et commence à descendre le long de ta colone vertebrale. Je m'etends, palpe , goute à cette peau, deja tellement teintée de sueur. Lentement, je remonte jusqu'à ton cou et je retourne à ce temple de la sensualité que sont tes levres. Je me rends compte que tu n'as jamais fermé les yeux. Je n'avais jamais encore fixé une femme en l'embrassant. Ton regard se voile au fur et à mesure que je redescent.
Je commence à enlever les boutons de ta chemise avec mes dents, tout en retirant ton soutien gorge par une manche.
Je me niche au creux de tes sens. On dirait qu'ils ont été fait pour mes doigts. J
'avais pensé à les tripoter facon melon ( désolé, mais fallait que je mette au moins une connerie sinon on aurait pa vu que c moi ).
Jamais je n'aurais cru prendre tant de plaisir juste en posant mes doigts sur un corps. J e m'ennivre de cette sueur fruitée. Tout chez toi me parais parfait. Je me sens le pretre d'une déesse antique et mysterieuse. Le pied koi ( dsl une seule, ca suffisait pas ).

Je descend encore un peu plus bas, m'attardant sur ton ventre. Ce receptacle de la vie me parait tellement armonieux avec ses courbes alléchantes. Je fixe ses courbes avec mes doigts et mes levres dans ma memoire. Je continue ma descente aux paradis. Je niche ma tête au creux de tes cuisses, si douces et si fortes à la fois . Je les caresse le plus lentements que je peux. M'approchant et m'eloignant de l'objet de mon desir. Mais je prefere prendre mon temps. Je contourne tes cuisses jusqu'à tes fesses. Ces deux globes de chairs, si allechants, si pleins. Je les carresses lentement du doigts. Je sais le raidissement de ton corps, anoncant les fureurs de la frustration.
Vu que j'aime pas les droites ( jamais 2 sans 3 ). Je commence àe remonter jusqu'à ton mont de venus, pret pour lescalade de ma vie. J'ote lentement la barriere de tissu qui me s
epare de ma proie. Quelques gouttes de nectar sont deja en train de scintiller sous la lumiere de la lampe. Je les lappes doucement sans toucher à ta peau. J'aime le gout de ta cyprine. Je palpe un doigt à l'entrée , mais je le retire, preferant ne pa te brusquer. A la place, je darde une langue afamée. Je commence à carreser lentement les deux rivieres de chair qui cache la cavité que cherche le reste de mon corps. Elles se separent d'elle meme, ton exitation montant en crechendo. Je commence à rentrer plus profondement quand soudain , un petit capuchon de chair se tent. Je commence à le masser de droite à gauche, pour voir s'il va bourgeaonner. Rien. Je le goute un peu , histoire de voir le gout. Puis je traine ma langue à gauche, a droite., le plus lentement que je peux. Tes gemissements deviennent de plus en plus sonore. Je me deshabille à mon tour et commence à te penetrer. Enfin , je suis la ou je fantasme depuis tant de temps. Soudain , tu ouvres la bouche et declare de ta voix suave

- G rien senti.
Et pof , je me reveille.
Qui dit que je fais pa des cauchemards interessants ?

Par trOuvemOi le Samedi 11 février 2006 à 0:50
*lOul tu m'as fait bien rire

biyoO a toi m'sieur

au fait harmonieux, ca prend un h !
 

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